A LA UNE

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Pour la reconstruction

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Dérives : les faits

Les faits, les mots: Voir plus.

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Écriture inclusive ?

Les dérives identitaires: les faits. Voir plus.

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Le Point du jour

Les membres de l’Observatoire sont invités régulièrement à participer à l’analyse du phénomène « Décolonialisme » dans les colonnes du Point. Voir plus

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Laïcité

Atteintes aux principes de la laïcité et du fonctionnement des institutions: Voir plus

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Antisémitisme(s)

Analyses sur un phénomène rampant. Voir plus.

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Hum.o/e.urs()

Nos actualités, humeurs et coups de gueule. Voir plus

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Entretiens exclusifs

Les textes réunis dans cet ouvrage sont issus d’un colloque consacré aux rapprochements stratégiques et aux convergences idéologiques entre extrémismes ouest-européens et monde arabo-musulman. Organisé à Grenoble les 29-30 septembre et 1er octobre 2011 par le Centre de recherches et d’histoire de l’Italie et des pays alpins (Grenoble-II) et l’Institut d’études politiques de Grenoble.

 


Flash

Personne n’ignore que l’État, dans son infinie générosité, finance la construction de la cité radieuse des sciences sociales et humaines. [Lire la suite]


De quoi s’agit-il ?

Ce site propose un regard critique, tantôt profond et parfois humoristique, sur l’émergence d’une nouvelle tendance de l’Université et de la Recherche visant à « décoloniser » les sciences qui s’enseignent. Il dénonce la déconstruction revendiquée visant à faire des Institutions (la langue, l’école, la République, la laïcité) les entraves des individus. Le lecteur trouvera outre une série d’analyses et de critiques, une base de données de textes décoloniaux interrogeable en ligne, un générateur de titre de thèses automatique à partir de formes de titres, des liens d’actualités et des données sur la question et un lexique humoristique des notions-clés.

On lit ainsi dans cette littérature des affirmations qui mériteraient d’être débattues. C’est justement notre propos:

En déclarant les émotions impropres au raisonnement scientifique, ce sont toutes les catégories non associées à la masculinité ou à la blanchité qui ont été exclues des sciences1

https://halshs.archives-ouvertes.fr/halshs-02422692/

* Pourtant Aristote, lui, dit que: « La science est connaissance démonstrative des causes et, par là même, universelle et nécessaire ». C’est la raison pour laquelle Aristote affirmera qu’il n’y a de science que du général1. Mais bon, on ne va pas trop s’embêter avec des détails coloniaux.


Image du jour

 


A la Une

Dès avant la prise du pouvoir en Iran par l’ayatollah Khomeiny, le sociologue et militant iranien Ali Shariati, mort en 1977, écrivait : L’Islam a pris les devants en Afrique et en Asie, dans la lutte contre le colonialisme et l’Occident. Pourquoi ? Parce qu’il a été leur cible


Ressources du site

Décolonialisme ?

Le discours scientifique est un outil rhétorique qui connote le sérieux. Un peu comme une vitrine de salon de massage


Lexique décolonial

Blanchisme et blanchité ? Non-blanchité ? Racialisation ? Vous êtes perdu perdu.e.s ?

Projets et articles de l’Observatoire

Projets et analyses portés par l’Observatoire pour aider à comprendre, témoigner et analyser un phénomène sociétal majeur.


Travailler sérieusement sans se prendre au sérieux

Parce qu’on peut échanger et travailler sérieusement sans se prendre au sérieux…


Citations du jour

« « Ce sont les hommes cis qui doivent maintenant initier un processus de désidentification critique par rapport à leurs propres positions de pouvoir dans l’hétérosexualité normative. Autrement dit, il faut dépatriarcaliser et décoloniser l’hétérosexualité. (…) il est nécessaire de se confronter collectivement aux conséquences de l’héritage nécropolitique du patriarcat. Seule la dépatriarcalisation de l’hétérosexualité permettra la redistribution des positions de pouvoir, seule la déshétérosexualisation des relations rendra possible l’émancipation non seulement des femmes, mais aussi et paradoxalement, des hommes. En attendant, chaque femme devrait avoir une arme, je vais dire plutôt un livre, une généalogie, un poème, un perroquet, un cyborg… et savoir s’en servir. Il n’y a pas de temps à perdre. La révolution a déjà commencé. » 

Paul Beatriz Preciado , « L’hétérosexualité est dangereuse », Mediapart, 30 novembre 2020.

Woke in progress...

Découvrez les dernières perles du wokisme universitaire

Soutien à notre collègue Bergeaud-Blackler

Florence Bergeaud-Blackler, chercheuse au CNRS, devait donner une conférence à l’Université de Lille sur un sujet brûlant : l’influence des Frères musulmans et l’entrisme islamiste dans certains syndicats et mouvements de gauche. Pourtant, sa conférence a été annulée. Cette décision, prise par le doyen, est un acte politique qui ne dit pas son nom. Une fois de plus, l’université cède aux pressions idéologiques et sacrifie le débat scientifique sur l’autel du conformisme militant.
 
Cette annulation n’est pas un cas isolé. Elle s’inscrit dans un climat où toute critique de l’islamisme est immédiatement disqualifiée, où ceux qui osent poser des questions sont taxés de “racistes” ou d’“extrême droite”. Dans les sciences sociales, en particulier, la règle tacite est claire : on se soumet ou on dégage. Ceux qui refusent de plier sont mis à l’écart, leurs conférences interdites, leurs noms jetés en pâture à des étudiants dressés à confondre débat intellectuel et offense personnelle.
 
Comment expliquer que des syndicats, censés défendre la liberté d’expression, se soient transformés en gardiens du dogme ? Pourquoi tant de collègues se taisent, sinon par peur ? Cette lâcheté collective est précisément ce qui permet aux censeurs d’imposer leur loi. Mais il faut le dire : l’Université ne peut pas devenir un espace clos où seuls certains discours sont autorisés.
 
Face à cette censure, la chercheuse a décidé de maintenir sa conférence, ailleurs s’il le faut. Le débat aura lieu le 5 mars, avec le plus grand nombre possible de participants. Car la lutte contre l’islamisme et ses complicités idéologiques n’est pas une affaire de partis : c’est une question existentielle pour notre démocratie.
L’Université doit rester un lieu de savoir et d’échange, pas un bastion du sectarisme.