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Tract # 03 -Colonisation, dette à honorer, que la France indemnise la Bretagne!

Colonisation, dette à honorer, que la France indemnise la Bretagne!
La Bretagne, victime de la colonisation française, réclame réparation !
Exactions, suppression de l'autonomie, répression de la langue et de la culture, les cicatrices sont profondes. La France doit assumer sa dette envers la Bretagne et indemniser cette période sombre de l'histoire.
S’engager dans cette démarche, c’est ENFIN favoriser la justice sociale et la reconnaissance de droits historiques scandaleusement bafoués.

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Argumentaire scientifique

La colonisation est une page sombre de l’histoire, marquée par l’exploitation, l’oppression et la spoliation de nombreux peuples à travers le monde. La Bretagne, terre autrefois indépendante et fière de sa culture, n’a pas été épargnée par cette période tourmentée. De la suppression de son autonomie à l’écrasement de sa langue et de sa culture, la Bretagne a payé un lourd tribut à la colonisation française. Aujourd’hui, il est temps de reconnaître cette dette historique et d’indemniser la Bretagne pour les blessures infligées.
 
Un passé douloureux.
Au cours des siècles, la Bretagne a été victime de multiples vagues colonisatrices. Parmi elles, la France, qui a imposé son autorité et restreint l’autonomie bretonne. L’iconique Jeanne la Flamme, symbole de la résistance bretonne contre les excès français, incarne la lutte contre l’oppression coloniale.
Prenons également le cas de Tanguy du Châtel, figure emblématique de la Bretagne médiévale. Son courage et son engagement pour la défense des droits et de l’identité bretonne furent durement réprimés par une France qui cherchait à uniformiser ses territoires.
 
La destruction de la langue et de la culture bretonne.
L’une des conséquences les plus tragiques de la colonisation en Bretagne fut la répression et la marginalisation de la langue bretonne. Interdictions, humiliations et discriminations ont conduit à une dévalorisation identitaire et à un affaiblissement culturel profond pour les Bretons. Aujourd’hui, de nombreux efforts sont déployés pour revivifier cette langue millénaire, mais l’indemnisation serait un pas essentiel pour réparer les dégâts causés par la politique coloniale française.
 
Une dette à honorer.
La France, en tant qu’héritière de cette période coloniale, a le devoir moral d’assumer sa responsabilité et de réparer les injustices infligées à la Bretagne. L’indemnisation ne se limite pas à une simple reconnaissance symbolique, mais constitue une véritable reconnaissance de la souffrance et des préjudices infligés.<br>
En reconnaissant la dette historique envers la Bretagne et en indemnisant son passé colonial, la France enverrait un message fort de réconciliation et de respect envers les peuples opprimés. Cette démarche favoriserait également la construction d’une société plus égalitaire et inclusive, où chaque région serait respectée dans sa diversité et son autonomie.
 
Conclusion.
La colonisation a laissé des cicatrices profondes dans l’histoire de la Bretagne, et il est temps que la France prenne ses responsabilités envers cette région. Indemniser la colonisation de la Bretagne ne se limite pas à un simple acte de justice, c’est une étape essentielle pour réconcilier les peuples et construire un avenir harmonieux. La Bretagne mérite d’être reconnue, valorisée et soutenue dans sa quête de réparation et de préservation de son identité culturelle. Que la France fasse preuve de courage et de générosité envers la Bretagne, et qu’elle honore sa dette historique envers cette région autrefois colonisée.

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    Florence Bergeaud-Blackler, chercheuse au CNRS, devait donner une conférence à l’Université de Lille sur un sujet brûlant : l’influence des Frères musulmans et l’entrisme islamiste dans certains syndicats et mouvements de gauche. Pourtant, sa conférence a été annulée. Cette décision, prise par le doyen, est un acte politique qui ne dit pas son nom. Une fois de plus, l’université cède aux pressions idéologiques et sacrifie le débat scientifique sur l’autel du conformisme militant.
     
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    L’Université doit rester un lieu de savoir et d’échange, pas un bastion du sectarisme.