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A la Berlinale 2023, du corps à l’ouvrage

A la Berlinale 2023, du corps à l’ouvrage

Read More  Beau à peauArticle réservé aux abonnésEntre épopée du féminin, transidentité et vieillissement, la 73e édition du festival, qui s’achève dimanche 26 février, a été marquée par des films corporels.«The Face of the Jellyfish» de Melisa Liebenthal (Gentil Cine
)par Sandra Onana, envoyée spéciale à Berlinpublié le 24 février 2023 à 14h39Un festival s’achève, l’équilibre cosmique est sauf car Spielberg a reçu un prix d’honneur pour sa carrière et les pronostics sur le palmarès vont bon train, d’ici à sa révélation, dimanche 26 février. Des questions restent entières à l’heure du départ, type : rentrer d’une Berlinale en ayant manqué le Hong Sang-soo annuel expose-t-il à une destitution de sa carte de critique ? Qui osera se prononcer en premier sur le nouveau Philippe Garrel, étrange et désuet film de transmission, où le cinéaste filme ses enfants (Louis Garrel, Esther Garrel, Léna Garrel) en artistes marionnettistes confrontés à la mort de leur patriarche ? On se réserve une re-vision à froid pour la sortie.On le pressentait aux premiers jours, les aventures corporelles ont donné à cette édition plusieurs de ses films marquants. Nombreuses étaient les histoires de cloisons et d’assignations qui sautent – du film espagnol 20 000 Species of Bees d’Estibaliz Urresola Solaguren (en compétition), sur le thème de la transidentité enfantine, au 

Beau à peau

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Entre épopée du féminin, transidentité et vieillissement, la 73e édition du festival, qui s’achève dimanche 26 février, a été marquée par des films corporels.

«The Face of the Jellyfish» de Melisa Liebenthal (Gentil Cine
)

par Sandra Onana, envoyée spéciale à Berlin

publié le 24 février 2023 à 14h39

Un festival s’achève, l’équilibre cosmique est sauf car Spielberg a reçu un prix d’honneur pour sa carrière et les pronostics sur le palmarès vont bon train, d’ici à sa révélation, dimanche 26 février. Des questions restent entières à l’heure du départ, type : rentrer d’une Berlinale en ayant manqué le Hong Sang-soo annuel expose-t-il à une destitution de sa carte de critique ? Qui osera se prononcer en premier sur le nouveau Philippe Garrel, étrange et désuet film de transmission, où le cinéaste filme ses enfants (Louis Garrel, Esther Garrel, Léna Garrel) en artistes marionnettistes confrontés à la mort de leur patriarche ? On se réserve une re-vision à froid pour la sortie.

On le pressentait aux premiers jours, les aventures corporelles ont donné à cette édition plusieurs de ses films marquants. Nombreuses étaient les histoires de cloisons et d’assignations qui sautent – du film espagnol 20 000 Species of Bees d’Estibaliz Urresola Solaguren (en compétition), sur le thème de la transidentité enfantine, au

 

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