La politique du P.I.R. sélectionnée à l’Académie de France à Rome
Sacrifiant ainsi à l’esprit du temps — ou, selon, à une idéologie devenue dominante à laquelle il conviendrait de se conformer, diraient de mauvaises langues — l’Académie de France à Rome semble donner désormais souvent l’avantage, dans son processus de sélection, à des projets qui s’autorisent d’un questionnement des normes de genre (et en particulier de l’ « hétéro-patriarcat »), d’une critique du racisme (désigné comme « systémique » ou inhérent à toutes les institutions des sociétés occidentales, cependant que l’antisémitisme demeure, dans ces approches, et sans surprise, comme un point aveugle) ou encore d’une critique, sur fond de crise écologique mondiale investie d’une dimension apocalyptique, du capitalisme « extractif » et « néo-libéral ».