Pour en finir avec les bêtises sur la liberté académique
On parle beaucoup en ce moment de « liberté académique », mais c’est surtout pour en dire des bêtises, qu’un peu de bon sens et de connaissance de la question devrait suffire à évacuer.
On parle beaucoup en ce moment de « liberté académique », mais c’est surtout pour en dire des bêtises, qu’un peu de bon sens et de connaissance de la question devrait suffire à évacuer.
Chez Mediapart, on n’est jamais à court d’absurdités. Leur dernière énormité, datée du 10 juillet, pourrait passer pour le gag de l’été : les photos de groupes des députés nouvellement élus montrent que ces derniers sont beaucoup trop blancs ! Pour Mediapart,
Entre les deux tours des législatives 2024 a été rendue publique une tribune intitulée « Revues en lutte : les sciences sociales contre l’extrême droite »…
Les partisans des idéologies identitaires de gauche – celles que nous combattons sur ce site, depuis trois ans et demi, sous le nom de « wokisme » – s’ingénient à assimiler notre démarche à « la droite » voire à « l’extrême droite »… Découvrez l’édito de Nathalie Heinich.
On apprend avec stupeur que le corps enseignant d’un petit collège savoyard arefusé que ce collège prenne le nom de Robert Badinter…
Le viol d’une jeune fille de douze ans, à Courbevoie dans le 92, samedi 15 juin 2024, ne devrait laisser personne indifférent…
« L’imaginaire collectif forgé dans les sociétés humaines au XXème et XXIème siècle trouve en partie sa source dans le pouvoir évocateur d’images diffusées d’abord dans la presse écrite puis surtout en Mondio-vision devant des centaines de millions de téléspectateurs. » Lire l’édito de Joseph Ciccolini.
« C’en était trop pour les coupeurs de tête. Les tenanciers d’un pluralisme univoque ont décidé de le faire taire », ou comment Pascal Perrineau a perdu son éméritat.
Récemment, l’examen de fin d’année en médecine à l’Université Sorbonne Paris Nord a fait l’objet d’une vive polémique. Certaines questions posées aux étudiants comportaient des références idéologiques et géopolitiques n’ayant aucun lien avec la formation médicale, comme le conflit israélo-palestinien.
Bien que la direction ait reconnu des « maladresses », elle n’a pas pris la pleine mesure de cette inquiétante infiltration politique dans le sanctuaire académique que devrait être l’université.
Comment Alain Policar perd son poste au Conseil des sages de la laïcité, malgré tout son art d’utiliser la brosse à reluire. Un édito de Jacques Robert.