cancelled 10 mai
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Collectif des Observateurs

Ces temps-ci, on a annulé… (épisode 7)

Retour sur les progrès de la cancel culture. Ces temps-ci, on a annulé: • Napoléon, dont le bicentenaire de la mort, le 5 mai dernier, n’a pas fait oublier l’anniversaire de la naissance de Karl Marx: « Il était raciste, sexiste,

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cancelled 6
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Collectif des Observateurs

Cette semaine, on a annulé… (épisode 6)

Retour sur les progrès de la Cancel Culture, avec la Revue de presse de l’Observatoire du décolonialisme du 1er au 7 mars 2021 Cette semaine on a annulé… Six ouvrages du monstre sacré de la littérature enfantine américaine, Theodor Seuss

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Collectif des Observateurs

Cette semaine, on a annulé… (épisode 5)

La Cancel Culture progresse tellement vite cette semaine, qu’on se demande déjà s’il va rester quelque chose… Retour sur les progrès de la Cancel Culture, avec la Revue de presse de l’Observatoire du décolonialisme du 22 au 28 février 2021

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Collectif des Observateurs

Cette semaine, on a annulé… (épisode 4)

Retour sur les progrès de la Cancel Culture, avec la Revue de presse de l’Observatoire du décolonialisme du 8 au 14 février 2021 Cette semaine on a annulé… des noms de rue à Ivry-sur-Seine, lors d’une balade décoloniale: 94 Citoyens

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Collectif des Observateurs

Cette semaine, on a annulé… (épisode 3)

Retour sur les progrès de la Cancel Culture, avec la Revue de presse de l’Observatoire du décolonialisme du 1er au 7 février 2021 Cette semaine, on a annulé: La nudité en art, considérée par 39% des Français qui ont entre

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Collectif des Observateurs

Cette semaine, on a annulé… (épisode 2)

Retour sur la semaine écoulée, avec la Revue de presse de l’Observatoire du décolonialisme du 25 au 31 janvier 2021 Cette semaine, on a annulé: Babar: «Vive le Babar libre» Martine et Le Club des Cinq: «Martine, Le Club des

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Collectif des Observateurs

Cette semaine, on a annulé… (épisode 1)

Retour sur la semaine écoulée, avec la Revue de presse de l’Observatoire du décolonialisme du 18 au 24 janvier 2021 Cette semaine, on a annulé: Les pingouins de Xavier Gorce, qui dessinait pour Le Monde depuis 18 ans, mais dont

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Soutien à notre collègue Bergeaud-Blackler

Florence Bergeaud-Blackler, chercheuse au CNRS, devait donner une conférence à l’Université de Lille sur un sujet brûlant : l’influence des Frères musulmans et l’entrisme islamiste dans certains syndicats et mouvements de gauche. Pourtant, sa conférence a été annulée. Cette décision, prise par le doyen, est un acte politique qui ne dit pas son nom. Une fois de plus, l’université cède aux pressions idéologiques et sacrifie le débat scientifique sur l’autel du conformisme militant.
 
Cette annulation n’est pas un cas isolé. Elle s’inscrit dans un climat où toute critique de l’islamisme est immédiatement disqualifiée, où ceux qui osent poser des questions sont taxés de “racistes” ou d’“extrême droite”. Dans les sciences sociales, en particulier, la règle tacite est claire : on se soumet ou on dégage. Ceux qui refusent de plier sont mis à l’écart, leurs conférences interdites, leurs noms jetés en pâture à des étudiants dressés à confondre débat intellectuel et offense personnelle.
 
Comment expliquer que des syndicats, censés défendre la liberté d’expression, se soient transformés en gardiens du dogme ? Pourquoi tant de collègues se taisent, sinon par peur ? Cette lâcheté collective est précisément ce qui permet aux censeurs d’imposer leur loi. Mais il faut le dire : l’Université ne peut pas devenir un espace clos où seuls certains discours sont autorisés.
 
Face à cette censure, la chercheuse a décidé de maintenir sa conférence, ailleurs s’il le faut. Le débat aura lieu le 5 mars, avec le plus grand nombre possible de participants. Car la lutte contre l’islamisme et ses complicités idéologiques n’est pas une affaire de partis : c’est une question existentielle pour notre démocratie.
L’Université doit rester un lieu de savoir et d’échange, pas un bastion du sectarisme.