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Fatiha Boudjahiat dénonce l’opportunisme de ces pseudo-féministes qui défendent le port de voile pour les autres et le refusent pour elles-mêmes.
Par Fatiha Boudjahiat
Fatiha Boudjahiat. Essayiste. Dernier ouvrage paru : « Les Nostalgériades » (Cerf, 144 p., 16 €).
Publié le 24/02/2023 à 09h30
Le 2 octobre 2022 à Paris avait lieu un rassemblement féministe de soutien aux Iraniennes, après le meurtre par la police des mœurs de Mahsa Amini, coupable d’avoir mal porté son voile. On se souvient des sifflets qui ont couvert l’intervention de la néoféministe Sandrine Rousseau. Les manifestantes moquaient la tartuferie de la députée écologiste, dont on connaît la défense acharnée du voile, et qui avait notamment osé dire que le foulard s’inscrivait dans une « volonté d’embellissement ». C’est l’argument des islamistes et de leurs idiotes utiles néoféministes : il faut défendre le droit des femmes à se (dé)vêtir comme elles le veulent.
On assimile le port obligatoire du tchador en Iran avec la loi française de 2004 proscrivant les signes religieux ostentatoires à l’école…
Je m’abonne Sébastien Leban pour Le Point
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Par Fatiha Boudjahiat
Fatiha Boudjahiat. Essayiste. Dernier ouvrage paru : « Les Nostalgériades » (Cerf, 144 p., 16 €).
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Le 2 octobre 2022 à Paris avait lieu un rassemblement féministe de soutien aux Iraniennes, après le meurtre par la police des mœurs de Mahsa Amini, coupable d’avoir mal porté son voile. On se souvient des sifflets qui ont couvert l’intervention de la néoféministe Sandrine Rousseau. Les manifestantes moquaient la tartuferie de la députée écologiste, dont on connaît la défense acharnée du voile, et qui avait notamment osé dire que le foulard s’inscrivait dans une « volonté d’embellissement ». C’est l’argument des islamistes et de leurs idiotes utiles néoféministes : il faut défendre le droit des femmes à se (dé)vêtir comme elles le veulent.
On assimile le port obligatoire du tchador en Iran avec la loi française de 2004 proscrivant les signes religieux ostentatoires à l’école…
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