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Dégenrez-moi – Dégenrer : enjeux artistiques, intimes et politiques | Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Dégenrez-moi – Dégenrer : enjeux artistiques, intimes et politiques | Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne

Collectif

Tribune des observateurs

Read More  Le colloque Dégenrez-moi. Dégenrer : enjeux artistiques, intimes et politiques aura lieu les jeudi 9 mars (14 h – 19 h) et vendredi 10 mars (9 h – 18 h) dans la Galerie Journiac et dans l’Amphi de l’École des arts de la Sorbonne (47 rue des Bergers, 75015).  « Artiste ready made », artiste collectif, poreux, fluide, auto-indéterminé, autant de bords qui ne contiennent plus le sujet dans les mêmes catégories. Ces pratiques troublantes autour de l’ambiguïté de genre, des mouvements trans, cassent les normes de la différence sexuelle bouleversant les courants artistiques autant que les autres champs clinique, théorique et politique. Dans notre époque de crise du long terme, l’appel quasi injonctif « Dégenrez-moi ! » force au lapsus. « Dérangez-moi » se fait ainsi l’écho d’un profond désir de découvrir les plasticités psychiques et corporelles, depuis des positions d’artistes et de théoriciens, de façon à pouvoir mettre en œuvre des refontes théoriques et pratiques émancipatrices. ► Télécharger le programme 

Le colloque Dégenrez-moi. Dégenrer : enjeux artistiques, intimes et politiques aura lieu les jeudi 9 mars (14 h – 19 h) et vendredi 10 mars (9 h – 18 h) dans la Galerie Journiac et dans l’Amphi de l’École des arts de la Sorbonne (47 rue des Bergers, 75015). 

« Artiste ready made », artiste collectif, poreux, fluide, auto-indéterminé, autant de bords qui ne contiennent plus le sujet dans les mêmes catégories. Ces pratiques troublantes autour de l’ambiguïté de genre, des mouvements trans, cassent les normes de la différence sexuelle bouleversant les courants artistiques autant que les autres champs clinique, théorique et politique. Dans notre époque de crise du long terme, l’appel quasi injonctif « Dégenrez-moi ! » force au lapsus. « Dérangez-moi » se fait ainsi l’écho d’un profond désir de découvrir les plasticités psychiques et corporelles, depuis des positions d’artistes et de théoriciens, de façon à pouvoir mettre en œuvre des refontes théoriques et pratiques émancipatrices.

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