Écriture inclusive à l’université : « une mystique délirante »

Écriture inclusive à l’université : « une mystique délirante »

Collectif

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Écriture inclusive à l’université : « une mystique délirante »

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ENTRETIEN. Le linguiste Jean Szlamowicz réagit à la polémique suscitée par l’emploi du langage « inclusif » dans un examen de droit de l’université Lyon-II.

Propos recueillis par Kévin Badeau

Le pronom personnel « iel » est désormais souvent employé pour évoquer une personne, quel que soit son genre.
© Fiora Garenzi/Hans Lucas via AFP

Publié le 16/05/2023 à 15h00

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« Touz », « Als », « appelæ »… L’emploi de l’écriture dite « inclusive » n’en finit plus de percuter le débat public. Dernière illustration en date : un sujet d’examen rédigé sous cette forme et adressé le 10 mai aux étudiants de l’université Lumière Lyon-II. L’initiative du professeur – qui au passage semble inventer des mots – a provoqué une bronca à droite de l’échiquier politique. L’UNI, syndicat étudiant, qui a révélé ce devoir, estime que « les sujets d’examen ne doivent pas être le lieu de la propagande woke ». �� Voici un sujet donné aux étudiants de droit, à Lyon 2. Ceux-ci sont ainsi incités à écrire en écriture inclusive. Pire encore: sous prétexte d’inclusivité, certains mots sont inventés ! Les sujets d’examen ne doivent pas être le lieu de la propagande woke ! pic.twitt…
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ENTRETIEN. Le linguiste Jean Szlamowicz réagit à la polémique suscitée par l’emploi du langage « inclusif » dans un examen de droit de l’université Lyon-II.








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Le pronom personnel « iel » est désormais souvent employé pour évoquer une personne, quel que soit son genre.
© Fiora Garenzi/Hans Lucas via AFP


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« Touz », « Als », « appelæ »… L’emploi de l’écriture dite « inclusive » n’en finit plus de percuter le débat public. Dernière illustration en date : un sujet d’examen rédigé sous cette forme et adressé le 10 mai aux étudiants de l’université Lumière Lyon-II. L’initiative du professeur – qui au passage semble inventer des mots – a provoqué une bronca à droite de l’échiquier politique. L’UNI, syndicat étudiant, qui a révélé ce devoir, estime que « les sujets d’examen ne doivent pas être le lieu de la propagande woke ».

�� Voici un sujet donné aux étudiants de droit, à Lyon 2. Ceux-ci sont ainsi incités à écrire en écriture inclusive. Pire encore: sous prétexte d’inclusivité, certains mots sont inventés !

Les sujets d’examen ne doivent pas être le lieu de la propagande woke ! pic.twitt…

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