Read More La plaque en question a notamment recours à des points médians et l’inscription « Conseiller.e.s de Paris », provoquant l’ire de l’association Francophonie Avenir. »Conseiller.e.s de Paris », « President.e.s du conseil de Paris »… Au sein de l’Hôtel de Ville de la capitale, une plaque commémorative vient relancer le débat sur l’écriture inclusive.L’association Francophonie Avenir a attaqué la ville de Paris en justice dès mars 2022, après avoir dénoncé la décision d’Anne Hidalgo, et demandé à « remettre en français les plaques commémoratives qu’elle fait écrire en écriture inclusive ».Si l’audience s’est déroulée ce mardi matin, la décision ne sera finalement rendue que le 16 mars prochain, selon nos confrères du Parisien.Cette action menée en justice est la première de ce type pour l’association, qui défend la langue française, selon nos confrères. Elle critique, par la voix de son président, le militantisme dont fait preuve, selon elle, l’édile de Paris. »Le maire de Paris, Mme Anne Hidalgo, a donc profité de la demande de l’opposition consistant à procéder à l’actualisation de plaques commémoratives, pour, de son chef, et sans aucune délibération du Conseil, introduire l’écriture inclusive dans le domaine public », dénonce l’Afrav.L’association réclame désormais que la municipalité remette « les plaques de marbre de la mairie de Paris qu’elle a fait regraver en écriture imprononçable et non française, dans l’état initial où elles se trouvaient avant cette opération ».Cette plaque est à l’heure qu’il est la seule utilisant l’écriture inclusive au sein de l’Hôtel de Ville. La municipalité a par ailleurs indiqué à nos confrères que « la doctrine de la Ville est de ne pas retenir l’écriture inclusive dans le libellé ».
« Conseiller.e.s de Paris », « President.e.s du conseil de Paris »… Au sein de l’Hôtel de Ville de la capitale, une plaque commémorative vient relancer le débat sur l’écriture inclusive.
L’association Francophonie Avenir a attaqué la ville de Paris en justice dès mars 2022, après avoir dénoncé la décision d’Anne Hidalgo, et demandé à « remettre en français les plaques commémoratives qu’elle fait écrire en écriture inclusive ».
Si l’audience s’est déroulée ce mardi matin, la décision ne sera finalement rendue que le 16 mars prochain, selon nos confrères du Parisien.
Cette action menée en justice est la première de ce type pour l’association, qui défend la langue française, selon nos confrères. Elle critique, par la voix de son président, le militantisme dont fait preuve, selon elle, l’édile de Paris.
« Le maire de Paris, Mme Anne Hidalgo, a donc profité de la demande de l’opposition consistant à procéder à l’actualisation de plaques commémoratives, pour, de son chef, et sans aucune délibération du Conseil, introduire l’écriture inclusive dans le domaine public », dénonce l’Afrav.
L’association réclame désormais que la municipalité remette « les plaques de marbre de la mairie de Paris qu’elle a fait regraver en écriture imprononçable et non française, dans l’état initial où elles se trouvaient avant cette opération ».
Cette plaque est à l’heure qu’il est la seule utilisant l’écriture inclusive au sein de l’Hôtel de Ville. La municipalité a par ailleurs indiqué à nos confrères que « la doctrine de la Ville est de ne pas retenir l’écriture inclusive dans le libellé ».
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