Le Grand Festival 2023

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Le Grand Festival 2023

Read More  Le Grand Festival contre le racisme et l’antisémitisme revient pour sa 7e édition. Spectacles, rencontres, débat et projection : les artistes prennent la parole et s’engagent contre les discriminations à travers une programmation ouverte à toutes et tous !
À l’heure où l’actualité nous rappelle que le harcèlement est toujours aussi présent dans les établissements scolaires, le Palais de la Porte Dorée poursuit son action éducative à travers un programme engagé notamment pour le jeune public.
Le Grand Festival propose des moments de réflexion autour des notions de frontières, de racisme et de grossophobie avec une attention particulière portée sur la perception des fake news qui règnent sur les réseaux sociaux.
Pendant 5 jours, débats, théâtre, cinéma, danse et musique invitent gratuitement le public à réfléchir, à s’informer et à s’engager. En conclusion de cette semaine, le Palais donne carte blanche au collectif Art’Press Yourself (aka APY) pour une grande journée Bienvenue dans NOTRE WAKANDA où sont réunis ateliers, stands, studio photos, arts visuels et percussions.
Le Grand Festival est organisé avec le soutien de la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH). 

Le Grand Festival contre le racisme et l’antisémitisme revient pour sa 7e édition. Spectacles, rencontres, débat et projection : les artistes prennent la parole et s’engagent contre les discriminations à travers une programmation ouverte à toutes et tous !

À l’heure où l’actualité nous rappelle que le harcèlement est toujours aussi présent dans les établissements scolaires, le Palais de la Porte Dorée poursuit son action éducative à travers un programme engagé notamment pour le jeune public.

Le Grand Festival propose des moments de réflexion autour des notions de frontières, de racisme et de grossophobie avec une attention particulière portée sur la perception des fake news qui règnent sur les réseaux sociaux.

Pendant 5 jours, débats, théâtre, cinéma, danse et musique invitent gratuitement le public à réfléchir, à s’informer et à s’engager. En conclusion de cette semaine, le Palais donne carte blanche au collectif Art’Press Yourself (aka APY) pour une grande journée Bienvenue dans NOTRE WAKANDA où sont réunis ateliers, stands, studio photos, arts visuels et percussions.

Le Grand Festival est organisé avec le soutien de la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH).

 

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    Soutien à notre collègue Bergeaud-Blackler

    Florence Bergeaud-Blackler, chercheuse au CNRS, devait donner une conférence à l’Université de Lille sur un sujet brûlant : l’influence des Frères musulmans et l’entrisme islamiste dans certains syndicats et mouvements de gauche. Pourtant, sa conférence a été annulée. Cette décision, prise par le doyen, est un acte politique qui ne dit pas son nom. Une fois de plus, l’université cède aux pressions idéologiques et sacrifie le débat scientifique sur l’autel du conformisme militant.
     
    Cette annulation n’est pas un cas isolé. Elle s’inscrit dans un climat où toute critique de l’islamisme est immédiatement disqualifiée, où ceux qui osent poser des questions sont taxés de “racistes” ou d’“extrême droite”. Dans les sciences sociales, en particulier, la règle tacite est claire : on se soumet ou on dégage. Ceux qui refusent de plier sont mis à l’écart, leurs conférences interdites, leurs noms jetés en pâture à des étudiants dressés à confondre débat intellectuel et offense personnelle.
     
    Comment expliquer que des syndicats, censés défendre la liberté d’expression, se soient transformés en gardiens du dogme ? Pourquoi tant de collègues se taisent, sinon par peur ? Cette lâcheté collective est précisément ce qui permet aux censeurs d’imposer leur loi. Mais il faut le dire : l’Université ne peut pas devenir un espace clos où seuls certains discours sont autorisés.
     
    Face à cette censure, la chercheuse a décidé de maintenir sa conférence, ailleurs s’il le faut. Le débat aura lieu le 5 mars, avec le plus grand nombre possible de participants. Car la lutte contre l’islamisme et ses complicités idéologiques n’est pas une affaire de partis : c’est une question existentielle pour notre démocratie.
    L’Université doit rester un lieu de savoir et d’échange, pas un bastion du sectarisme.