Les masques du discours II : Les émotions au prisme du genre | Crem

Les masques du discours II : Les émotions au prisme du genre | Crem

Collectif

Tribune des observateurs

Table des matières

Les masques du discours II : Les émotions au prisme du genre | Crem

Read More  Langue des communication : français Date limite de soumission : 31 mai  2023, par voie électronique à : emotions.genre2023[at]gmail.com Retour des décisions aux auteurs et autrices des propositions : 10 juillet 2023 et le programme du                       colloque sera diffusé début septembre. Les propositions soumises devront décrire un travail original et novateur, et devront contenir un état de l’art et des références à des travaux antérieurs pertinents. Les résumés (ne dépassant pas 500 mots) doivent être en Times 12 avec interligne simple et en format Word. Ils feront l’objet d’une double  évaluation anonyme par deux experts du comité scientifique. Le résumé sera accompagné d’une page séparée indiquant le titre de la proposition, le nom de l’auteur·ice et les coordonnées professionnelles. Les propositions retenues dureront 20 minutes, suivies de 10 minutes d’échange.  Le colloque aura lieu exclusivement en présentiel les 12 et 13 octobre 2023 Une sélection sera faite par le comité scientifique parmi les présentations après le colloque, et leurs auteur.es seront ensuite invité.es à rédiger un article pour un ouvrage collectif issu du colloque. 

Langue des communication : français

Date limite de soumission : 31 mai  2023, par voie électronique à emotions.genre2023[at]gmail.com

Retour des décisions aux auteurs et autrices des propositions : 10 juillet 2023 et le programme du                       colloque sera diffusé début septembre.

Les propositions soumises devront décrire un travail original et novateur, et devront contenir un état de l’art et des références à des travaux antérieurs pertinents.

Les résumés (ne dépassant pas 500 mots) doivent être en Times 12 avec interligne simple et en format Word. Ils feront l’objet d’une double  évaluation anonyme par deux experts du comité scientifique.

Le résumé sera accompagné d’une page séparée indiquant le titre de la proposition, le nom de l’auteur·ice et les coordonnées professionnelles.

Les propositions retenues dureront 20 minutes, suivies de 10 minutes

 d’échange. 

Le colloque aura lieu exclusivement en présentiel les 12 et 13 octobre 2023

Une sélection sera faite par le comité scientifique parmi les présentations après le colloque, et leurs auteur.es seront ensuite invité.es à rédiger un article pour un ouvrage collectif issu du colloque.

 

« Ce post est un relevé d’information de notre veille d’information »

Auteur

Ce qu'il vous reste à lire
0 %

Peut-être devriez-vous vous abonner ?

Sinon, ce n’est pas grave ! Vous pouvez fermer cette fenêtre et continuer votre lecture.

    S'enregistrer:

    Soutien à notre collègue Bergeaud-Blackler

    Florence Bergeaud-Blackler, chercheuse au CNRS, devait donner une conférence à l’Université de Lille sur un sujet brûlant : l’influence des Frères musulmans et l’entrisme islamiste dans certains syndicats et mouvements de gauche. Pourtant, sa conférence a été annulée. Cette décision, prise par le doyen, est un acte politique qui ne dit pas son nom. Une fois de plus, l’université cède aux pressions idéologiques et sacrifie le débat scientifique sur l’autel du conformisme militant.
     
    Cette annulation n’est pas un cas isolé. Elle s’inscrit dans un climat où toute critique de l’islamisme est immédiatement disqualifiée, où ceux qui osent poser des questions sont taxés de “racistes” ou d’“extrême droite”. Dans les sciences sociales, en particulier, la règle tacite est claire : on se soumet ou on dégage. Ceux qui refusent de plier sont mis à l’écart, leurs conférences interdites, leurs noms jetés en pâture à des étudiants dressés à confondre débat intellectuel et offense personnelle.
     
    Comment expliquer que des syndicats, censés défendre la liberté d’expression, se soient transformés en gardiens du dogme ? Pourquoi tant de collègues se taisent, sinon par peur ? Cette lâcheté collective est précisément ce qui permet aux censeurs d’imposer leur loi. Mais il faut le dire : l’Université ne peut pas devenir un espace clos où seuls certains discours sont autorisés.
     
    Face à cette censure, la chercheuse a décidé de maintenir sa conférence, ailleurs s’il le faut. Le débat aura lieu le 5 mars, avec le plus grand nombre possible de participants. Car la lutte contre l’islamisme et ses complicités idéologiques n’est pas une affaire de partis : c’est une question existentielle pour notre démocratie.
    L’Université doit rester un lieu de savoir et d’échange, pas un bastion du sectarisme.