Les soldats de l’ombre de l’antiwokisme

Les soldats de l’ombre de l’antiwokisme

Collectif

Tribune des observateurs

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Les soldats de l’ombre de l’antiwokisme

Read More  La statue de Colbert située devant l’Assemblée nationale à Paris a été vandalisée. « Négrophobie d’Etat » a été taguée sur le socle en lettres rouges tandis que le torse et les jambes ont été recouverts de peinture rouge, mardi 23 juin 2020.
Les faits – Le mot woke (« éveillé », littéralement) est entré dans le dictionnaire et continue d’agiter les esprits. Il surgit à intervalles réguliers dans l’actualité, comme tout récemment, lors de la sortie de la dernière version de La Petite sirène, nourrissant une polémique sur la volonté des studios Disney, d’adapter le conte d’Andersen au XXIe siècle. En novembre dernier, alors que la statue de Victor Hugo par Ousmane Sow a été vandalisée à Besançon et couverte de peinture blanche au nom d’un « white power », le New York Times s’intéresse à l’affaire et contacte l’Observatoire des idéologies identitaires pour une réaction. Au téléphone, l’interlocuteur américain lance : « Vous qui êtes le leader des suprémacistes blancs… ». Xavier-Laurent Salvador, l’un des responsables de cette structure qui regroupe près de 300 universitaires et compte 1 500 abonnés à son site, s’étrangle et rectifie. Mots clés: laïcité université woke Jean-Michel Blanquer 

La statue de Colbert située devant l’Assemblée nationale à Paris a été vandalisée. « Négrophobie d’Etat » a été taguée sur le socle en lettres rouges tandis que le torse et les jambes ont été recouverts de peinture rouge, mardi 23 juin 2020.
Les faits –

Le mot woke (« éveillé », littéralement) est entré dans le dictionnaire et continue d’agiter les esprits. Il surgit à intervalles réguliers dans l’actualité, comme tout récemment, lors de la sortie de la dernière version de La Petite sirène, nourrissant une polémique sur la volonté des studios Disney, d’adapter le conte d’Andersen au XXIe siècle.

En novembre dernier, alors que la statue de Victor Hugo par Ousmane Sow a été vandalisée à Besançon et couverte de peinture blanche au nom d’un « white power », le New York Times s’intéresse à l’affaire et contacte l’Observatoire des idéologies identitaires pour une réaction. Au téléphone, l’interlocuteur américain lance : « Vous qui êtes le leader des suprémacistes blancs… ». Xavier-Laurent Salvador, l’un des responsables de cette structure qui regroupe près de 300 universitaires et compte 1 500 abonnés à son site, s’étrangle et rectifie.

 

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