Paris Event: Chantal Delsol, les aventures contemporaines de l’universalisme – Thomistic Institute

Paris Event: Chantal Delsol, les aventures contemporaines de l’universalisme – Thomistic Institute

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Tribune des observateurs

Table des matières

Paris Event: Chantal Delsol, les aventures contemporaines de l’universalisme – Thomistic Institute

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Mercredi, 24 mai 
5, rue de l’abbaye (Paris 6è)
18h45: accueil
19h00: conférence
19h45: échange avec l’intervenant
20h: apéritif
Mme Delsol vient nous expliquer comment l’universalisme chrétien et les droits de l’homme ont perdu leur influence, comment la Chine revendique maintenant des valeurs universelles, et ce qui différencie les deux universalismes. Nous n’en dirons pas plus, vous le découvrirez le 24 mai. Lors de cette soirée que vous n’oublierez pas, nous aurons le plaisir d’entendre une grande philosophe défendre une pensée sans cesse mûrie et approfondie dans une brillante carrière.
Cliquez ici pour vous inscrire. 

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Mercredi, 24 mai 

5, rue de l’abbaye (Paris 6è)

18h45: accueil

19h00: conférence

19h45: échange avec l’intervenant

20h: apéritif

Mme Delsol vient nous expliquer comment l’universalisme chrétien et les droits de l’homme ont perdu leur influence, comment la Chine revendique maintenant des valeurs universelles, et ce qui différencie les deux universalismes. Nous n’en dirons pas plus, vous le découvrirez le 24 mai. Lors de cette soirée que vous n’oublierez pas, nous aurons le plaisir d’entendre une grande philosophe défendre une pensée sans cesse mûrie et approfondie dans une brillante carrière.

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    Soutien à notre collègue Bergeaud-Blackler

    Florence Bergeaud-Blackler, chercheuse au CNRS, devait donner une conférence à l’Université de Lille sur un sujet brûlant : l’influence des Frères musulmans et l’entrisme islamiste dans certains syndicats et mouvements de gauche. Pourtant, sa conférence a été annulée. Cette décision, prise par le doyen, est un acte politique qui ne dit pas son nom. Une fois de plus, l’université cède aux pressions idéologiques et sacrifie le débat scientifique sur l’autel du conformisme militant.
     
    Cette annulation n’est pas un cas isolé. Elle s’inscrit dans un climat où toute critique de l’islamisme est immédiatement disqualifiée, où ceux qui osent poser des questions sont taxés de “racistes” ou d’“extrême droite”. Dans les sciences sociales, en particulier, la règle tacite est claire : on se soumet ou on dégage. Ceux qui refusent de plier sont mis à l’écart, leurs conférences interdites, leurs noms jetés en pâture à des étudiants dressés à confondre débat intellectuel et offense personnelle.
     
    Comment expliquer que des syndicats, censés défendre la liberté d’expression, se soient transformés en gardiens du dogme ? Pourquoi tant de collègues se taisent, sinon par peur ? Cette lâcheté collective est précisément ce qui permet aux censeurs d’imposer leur loi. Mais il faut le dire : l’Université ne peut pas devenir un espace clos où seuls certains discours sont autorisés.
     
    Face à cette censure, la chercheuse a décidé de maintenir sa conférence, ailleurs s’il le faut. Le débat aura lieu le 5 mars, avec le plus grand nombre possible de participants. Car la lutte contre l’islamisme et ses complicités idéologiques n’est pas une affaire de partis : c’est une question existentielle pour notre démocratie.
    L’Université doit rester un lieu de savoir et d’échange, pas un bastion du sectarisme.