Rencontre-débat le 4 mars 2023sur l’accès aux archives sur le passé colonial

Rencontre-débat le 4 mars 2023sur l’accès aux archives sur le passé colonial

Collectif

Tribune des observateurs

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Rencontre-débat le 4 mars 2023sur l’accès aux archives sur le passé colonial

Read More  Vous êtes ici : sur une question qui concerne les droits des citoyens à la connaissance de l’histoire L’Association histoire coloniale et postcoloniale qui gère le site histoirecoloniale.net organise le samedi 4 mars 2023 une rencontre-débat — au CICP, 21 ter, rue Voltaire, 75011 Paris, de 15 h 15 à 18 h 15 — sur l’accès aux archives concernant le passé colonial. En dépit des déclarations du président de la République, Emmanuel Macron, au moment de sa visite chez Josette Audin en septembre 2018 sur la nécessité d’ouvrir l’accès aux archives de la guerre d’Algérie, des fermetures ont été constatées à la fin de 2019, en particulier au Service historique de la Défense. Le Collectif Accès aux archives publiques s’est alors constitué et, en juillet 2021, a obtenu satisfaction auprès du Conseil d’État. D’autres textes ont été publiés depuis, mais force est de constater que des difficultés persistent.
Rencontre-débat le samedi 4 mars 2023 de 15h15 à 18h15, au CIPC, 21 ter, rue Voltaire, 75011 Paris, organisée par l’Association Histoire coloniale et postcoloniale à la suite de son Assemblée générale.

(de 14h30 à 15h15)

Ordre du jour : 1/ Le développement du site histoirecoloniale.net (rapport moral), par Gilles Manceron,
2/ Son audience, sa fréquentation, ses partenariats et sa lettre d’information (rapport d’activité), par Fabrice Riceputi,
3/ Rapport financier, demandes de subventions, par François Gèze, 4/ Projets de l’association et du site, désignation de ses responsables et de sa rédaction.
Inscription à l’AG, répondre à : contact@histoirecoloniale.net

Voici la nouvelle page pour la cotisation 2023 à l’association, nécessaire pour participer au vote : 10 €, par virement
https://www.helloasso.com/associati…
ou par chèque à l’ordre de « Histoire coloniale et postcoloniale », 21 ter, rue Voltaire 75011 Paris

François Gèze, Gilles Manceron, Fabrice Riceputi et Alain Ruscio 

Vous êtes ici :
sur une question qui concerne les droits des citoyens à la connaissance de l’histoire

L’Association histoire coloniale et postcoloniale qui gère le site histoirecoloniale.net organise le samedi 4 mars 2023 une rencontre-débat — au CICP, 21 ter, rue Voltaire, 75011 Paris, de 15 h 15 à 18 h 15 — sur l’accès aux archives concernant le passé colonial. En dépit des déclarations du président de la République, Emmanuel Macron, au moment de sa visite chez Josette Audin en septembre 2018 sur la nécessité d’ouvrir l’accès aux archives de la guerre d’Algérie, des fermetures ont été constatées à la fin de 2019, en particulier au Service historique de la Défense. Le Collectif Accès aux archives publiques s’est alors constitué et, en juillet 2021, a obtenu satisfaction auprès du Conseil d’État. D’autres textes ont été publiés depuis, mais force est de constater que des difficultés persistent.

Rencontre-débat le samedi 4 mars 2023 de 15h15 à 18h15, au CIPC, 21 ter, rue Voltaire, 75011 Paris, organisée par l’Association Histoire coloniale et postcoloniale à la suite de son Assemblée générale.

(de 14h30 à 15h15)

Ordre du jour : 1/ Le développement du site histoirecoloniale.net (rapport moral), par Gilles Manceron,
2/ Son audience, sa fréquentation, ses partenariats et sa lettre d’information (rapport d’activité), par Fabrice Riceputi,
3/ Rapport financier, demandes de subventions, par François Gèze, 4/ Projets de l’association et du site, désignation de ses responsables et de sa rédaction.

Inscription à l’AG, répondre à : contact@histoirecoloniale.net

Voici la nouvelle page pour la cotisation 2023 à l’association, nécessaire pour participer au vote : 10 €, par virement

https://www.helloasso.com/associati…

ou par chèque à l’ordre de « Histoire coloniale et postcoloniale », 21 ter, rue Voltaire 75011 Paris

François Gèze, Gilles Manceron, Fabrice Riceputi et Alain Ruscio

 

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    Soutien à notre collègue Bergeaud-Blackler

    Florence Bergeaud-Blackler, chercheuse au CNRS, devait donner une conférence à l’Université de Lille sur un sujet brûlant : l’influence des Frères musulmans et l’entrisme islamiste dans certains syndicats et mouvements de gauche. Pourtant, sa conférence a été annulée. Cette décision, prise par le doyen, est un acte politique qui ne dit pas son nom. Une fois de plus, l’université cède aux pressions idéologiques et sacrifie le débat scientifique sur l’autel du conformisme militant.
     
    Cette annulation n’est pas un cas isolé. Elle s’inscrit dans un climat où toute critique de l’islamisme est immédiatement disqualifiée, où ceux qui osent poser des questions sont taxés de “racistes” ou d’“extrême droite”. Dans les sciences sociales, en particulier, la règle tacite est claire : on se soumet ou on dégage. Ceux qui refusent de plier sont mis à l’écart, leurs conférences interdites, leurs noms jetés en pâture à des étudiants dressés à confondre débat intellectuel et offense personnelle.
     
    Comment expliquer que des syndicats, censés défendre la liberté d’expression, se soient transformés en gardiens du dogme ? Pourquoi tant de collègues se taisent, sinon par peur ? Cette lâcheté collective est précisément ce qui permet aux censeurs d’imposer leur loi. Mais il faut le dire : l’Université ne peut pas devenir un espace clos où seuls certains discours sont autorisés.
     
    Face à cette censure, la chercheuse a décidé de maintenir sa conférence, ailleurs s’il le faut. Le débat aura lieu le 5 mars, avec le plus grand nombre possible de participants. Car la lutte contre l’islamisme et ses complicités idéologiques n’est pas une affaire de partis : c’est une question existentielle pour notre démocratie.
    L’Université doit rester un lieu de savoir et d’échange, pas un bastion du sectarisme.