Le Who’s Woke 2025 – Notre Top 10
Un texte satirique de Claudio Rubiliani qui classe de façon provocante dix personnalités politiques et institutions, dénonçant leur hypocrisie et leur engagement décalé au nom du progressisme.
L’Observatoire d’éthique universitaire, crée en 2019 sous le nom « d’Observatoire du décolonialisme » puis « des idéologies identitaires », est une initiative indépendante dédiée à la défense des valeurs fondamentales de l’université et à la promotion d’un enseignement supérieur respectueux des principes d’éthique, de laïcité et de liberté académique. Nous nous engageons à préserver une université où la recherche de la vérité, le débat intellectuel libre et la transmission des savoirs s’exercent dans un cadre rigoureux et impartial.
Pour atteindre ces objectifs, nous :
Ces trois axes – accompagnement individuel, recherche analytique et sensibilisation publique – structurent notre action et nous permettent de défendre une université au service du savoir et de la société. Voir nos auteurs
Consulter nos notes, nos rapports détaillés sur la question de la pénétration des idéologies identitaires à l’université… Voir
Nous produisons presque quotidiennement des analyses, des articles ou des éditoriaux à partir de données vues depuis notre principal observatoire, l'université elle-même et les établissements qui s'y rattachent.
Sur ce site on trouvera également un "kit rhétorique" pour trouver des réponses à des demandes - en entreprise ou en collectivité - face auxquelles on se sent démunis et seul.
L'Université est née potache, et depuis Rabelais, on a du mal à se refaire. Alors pour aider à mieux comprendre, on dessine, on pastiche...
En quelques années, nous avons produit et continuons de produire, plus de 2000 articles en vue de documenter la pénétration des idéologies identitaires et du wokisme au sein de l’université – en France, et dans le monde – sur tous les sujets et couvrant tous les domaines de ce désastre. Nous remettons chaque année un rapport objectif sur la question et nous publions des analyses documentées. Vous ne pourrez pas dire que vous n’étiez pas au courant…
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Un texte satirique de Claudio Rubiliani qui classe de façon provocante dix personnalités politiques et institutions, dénonçant leur hypocrisie et leur engagement décalé au nom du progressisme.
Depuis 2020, des appels se multiplient en Occident pour effacer ou renommer les symboles publics jugés liés à un passé colonial, raciste et esclavagiste.
Ce mouvement, amplifié par des revendications contemporaines telles que celles de Black Lives Matter, cherche à expurger l’espace public de toute référence considérée comme problématique.
Ivan Burel dénonce l’approche manichéenne et l’anachronisme moral de ce phénomène, comparable à la damnatio memoriae romaine, qui risque de dénaturer la mémoire collective et de diviser la société.
Le port du costume occidental par les dirigeants du monde, y compris ceux opposés à l’Occident, illustre une homogénéisation culturelle et sociétale résultant d’un processus d’imitation des puissances dominantes. Ce phénomène, qui touche aussi l’urbanisme et les structures politiques, trouve son origine dans l’histoire coloniale et les choix technologiques de l’Occident. Même inconscient, ce mimétisme reconnaît l’impact de l’Occident sur la modernité.
Le consentement, souvent considéré comme un concept purement humain, existe aussi dans le règne animal, mais sous des formes variées et parfois brutales. Certaines espèces utilisent des stratégies de séduction trompeuse, d’autres pratiquent la contrainte. Pourtant, l’humain semble être la seule espèce à mutiler ou voiler ses femelles pour asseoir un pouvoir, posant la question de sa propre absurdité.
Une bande dessinée soutenue par le ministère de l’Enseignement supérieur explique comment identifier une étude scientifique fiable. Cependant, la représentation du charlatan sous les traits d’un vieux savant blanc suscite le débat sur les stéréotypes et le message véhiculé. Enfin, la BD soulève une question plus large : pourquoi l’éducation scientifique semble-t-elle délaissée au profit d’autres priorités éducatives ?
Les idéologies identitaires contemporaines influencent profondément les pratiques psychologiques en imposant une hypermoralisation de la vie sociale, transformant la relation thérapeutique en un espace de validation idéologique plutôt que d’analyse neutre. Le psychologue Florent Poupart nous met en garde contre cette évolution qui s’accompagne d’une défiance croissante envers la vie psychique dans sa dimension inconsciente, au profit d’un idéal de transparence et de pureté morale.
Le terme « validisme » est la traduction française d’« ableism », un concept apparu dans les années 1960-70 dans le cadre des disability studies et des mouvements militants pour les droits des personnes handicapées, contestant une vision biomédicale du handicap et promouvant une approche sociale. En France, ce concept a d’abord émergé dans les milieux activistes et on le retrouve aujourd’hui dans des publications universitaires qui dénoncent un « empire de la validité » imposant des normes oppressives aux personnes handicapées et appelant à une « dévalidation » du modèle dominant. Extension du wokisme (l’alliance du communautarisme avec une obsession de la domination), cette notion rejoint d’autres analyses intersectionnelles sur les rapports de pouvoir et suscite des débats au sein du monde académique quant à l’influence du militantisme sur la recherche.
“Nous sommes en train de perdre la science,” avertit Weiss, qui voit dans cette politisation une menace existentielle. “Quand les restes sont enterrés ou détruits, quand les musées censurent leurs expositions, il ne reste plus rien à étudier. Contrairement à d’autres disciplines, une fois les données anthropologiques perdues, elles ne peuvent pas être recréées.”
Elizabeth Weiss reste néanmoins attachée à l’idée d’une anthropologie ancrée dans la science et l’exploration du passé. Mais son témoignage, opposant la rigueur scientifique aux prétentions identitaires, laisse entrevoir un avenir incertain pour une discipline en quête de sens.
Les partisans des idéologies identitaires de gauche – celles que nous combattons sur ce site, depuis trois ans et demi, sous le nom de « wokisme » – s’ingénient à assimiler notre démarche à « la droite » voire à « l’extrême droite »… Découvrez l’édito de Nathalie Heinich.
On apprend avec stupeur que le corps enseignant d’un petit collège savoyard arefusé que ce collège prenne le nom de Robert Badinter…
Le viol d’une jeune fille de douze ans, à Courbevoie dans le 92, samedi 15 juin 2024, ne devrait laisser personne indifférent…
« L’imaginaire collectif forgé dans les sociétés humaines au XXème et XXIème siècle trouve en partie sa source dans le pouvoir évocateur d’images diffusées d’abord dans la presse écrite puis surtout en Mondio-vision devant des centaines de millions de téléspectateurs. » Lire l’édito de Joseph Ciccolini.
« C’en était trop pour les coupeurs de tête. Les tenanciers d’un pluralisme univoque ont décidé de le faire taire », ou comment Pascal Perrineau a perdu son éméritat.
Récemment, l’examen de fin d’année en médecine à l’Université Sorbonne Paris Nord a fait l’objet d’une vive polémique. Certaines questions posées aux étudiants comportaient des références idéologiques et géopolitiques n’ayant aucun lien avec la formation médicale, comme le conflit israélo-palestinien.
Bien que la direction ait reconnu des « maladresses », elle n’a pas pris la pleine mesure de cette inquiétante infiltration politique dans le sanctuaire académique que devrait être l’université.
Comment Alain Policar perd son poste au Conseil des sages de la laïcité, malgré tout son art d’utiliser la brosse à reluire. Un édito de Jacques Robert.
Christian Godin réfute les arguments de Jean-Fabien Spitz, qui prône une vision de la laïcité inspirée par le communautarisme anglo-saxon.
Le projet totalisant de l’inclusion ne viserait-il pas une forme de clôture ? On sait que la force de la pensée mythique tient notamment à sa clôture : les mythes se caractérisent par des renvois constants entre tous les domaines sémantiques qui permettent d’enfermer la pensée dans une totalisation aussi séduisante qu’illusoire.
Le fait est évident : l’islamisme, cet islam à l’offensive, banal ou guerrier, spectaculaire ou diffus, est en Europe, pour longtemps et sous toutes ses formes. Il s’étend et se développe. Le territoire français, ses institutions et, de plus en plus, ses populations sont parties prenantes de cette guerre mondiale atypique en cours.
Entretien réalisé auprès d’une sympathisante en juin 2015, initialement publié en novembre 2015 dans la brochure « n°21 Islamismes, islamogauchisme, islamophobie. Première partie : L’islam à l’offensive, de la prédication à la guerre, puis mis en ligne sur le site Lieux Communs en septembre 2016.
L’article un de la Constitution de 1958 explique que la République est indivisible, laïque, démocratique et sociale. La Laïcité fait donc partie de ces principes qui nécessitent avant tout une organisation juridique. Fondée sur le principe de séparation (sphère publique, sphère privée) qui garantit la liberté de conscience et de culte, elle est fragilisée aujourd’hui par la conjonction du politique et du religieux sous les auspices d’un wokisme galopant qui s’accorde avec des gens comme Norman Ajari pour déclarer qu’elle est tout à la fois une mesure « d’apartheid », voire « islamophobe, discriminante, injuste et d’extrême-droite ».
Dans le même temps émerge un paradoxe dans la société : d’un côté on veut abolir la frontière entre sphère publique et sphère privée par des revendications religieuses au sein des services publics (la cantine, la prière, la séparation des hommes et des femmes…) et dans le même temps, les entreprises réclament son application alors que justement elle n’y a pas sa place.
L’Institution scolaire est au coeur des tensions qui agitent évidemment le monde des adultes. Les Professeurs sont de plus en plus tiraillés entre le principe organisateur auquel ils sont soumis et les aspirations sociales des publics usagers du service public : leurs élèves et leurs parents. Le meurtre odieux commis de la plus barbare des façons
dont a été victime Samuel Patty devrait à lui seul suffire à comprendre qu’il est essentiel de résister par la réaffirmation des principes organisateurs de l’Etat. De ces derniers dépendent en partie les Institutions qui définissent l’étendue de l’identité de la nation française: la langue, sa culture et sa littérature, son école.
Nous avons eu le plaisir d’interviewer Emmanuelle Hénin autour de la parution des Actes du colloques Après la déconstruction, l’université au défi des idéologies, parus aux éditions Odile Jacob.
Notre thème engage diverses problématiques ou l’on est conduit à utiliser les termes « culture », « minorité », « majorité » et « droit ». Chaque terme doit être défini à nouveaux frais tant règne l’imprécision des mots dans les médias, la vie politique et dans notre institution universitaire, cette dernière notamment contaminée par la mouvance wokiste actuelle.
Ainsi donc nous – contempteurs du wokisme – serions animés par la « haine de l’émancipation », s’il faut en croire le titre du pamphlet de François Cusset, face à la « jeunesse du monde » qui – s’il faut en croire son sous-titre – se tiendrait enfin « debout » ? Pour cet américaniste, historien des idées et notamment de la French theory, « émancipation » est le maître- mot – mais émancipation de quoi, exactement ? On ne le saura pas, tant le mot fonctionne essentiellement comme un slogan. Il en va de même d’ailleurs avec d’autres mots-fétiches qui reviennent dans le texte, locutions codées érigées en signes de ralliement militant : « stéréotypes éculés » (non, ce ne sont pas les siens mais, prétend-il, les nôtres), « stéréotypes hétéronormés », « genre assigné à la naissance », « mâles blancs », « droites dures ou extrêmes », « panique morale », « les forces du marché », « les médias dominants », « l’ordre établi », « l’ordre social », « les élites»… Rien que de très banal, en somme – voire banalement populiste.
Pensez aux effets psychologiques possibles de ce tableau de Goya – qui ferait certainement perdre l’appétit à n’importe qui – dans lequel Saturne dévore goulûment ses propres enfants ? L’artiste espagnol a peut-être anticipé les révolutions stylistiques qui allaient survenir plus tard, mais qu’importe ? Devrions-nous montrer de telles horreurs aux jeunes ? Bien sûr que non ! Ce dont nous avons besoin, ce sont des oeuvres qui nous rendent fiers de ce que nous sommes (quoi que cela signifie), et certainement pas des oeuvres qui glorifient le cannibalisme ! Je suis épuisé… Mais je ne peux pas m’arrêter : il y a encore beaucoup de travail à faire. Nous devons faire preuve de plus de sensibilité envers les autres, effacer tout ce qui nous offense -ou, mieux : ce qui m’offense ! Ces idées ne manqueront pas de galvaniser les travailleurs et les électeurs indépendants dans les prochaines batailles électorales ! Mais c’est pour une autre fois ! Je suis encore en train d’apprendre ! Et j’ai hâte de voir quelles nouvelles leçons demain nous apportera.
Sacrifiant ainsi à l’esprit du temps — ou, selon, à une idéologie devenue dominante à laquelle il conviendrait de se conformer, diraient de mauvaises langues — l’Académie de France à Rome semble donner désormais souvent l’avantage, dans son processus de sélection, à des projets qui s’autorisent d’un questionnement des normes de genre (et en particulier de l’ « hétéro-patriarcat »), d’une critique du racisme (désigné comme « systémique » ou inhérent à toutes les institutions des sociétés occidentales, cependant que l’antisémitisme demeure, dans ces approches, et sans surprise, comme un point aveugle) ou encore d’une critique, sur fond de crise écologique mondiale investie d’une dimension apocalyptique, du capitalisme « extractif » et « néo-libéral ».
Les partisans des idéologies identitaires de gauche – celles que nous combattons sur ce site, depuis trois ans et demi, sous le nom de « wokisme » – s’ingénient à assimiler notre démarche à « la droite » voire à « l’extrême droite »… Découvrez l’édito de Nathalie Heinich.
C’est un nouveau regard sur le handicap que défendent les disability studies : bouleverser la frontière entre le normal et le pathologique et de mettre en avant le « savoir expérientiel » des personnes handicapées.
Les idéologies identitaires ? Définition, origine des luttes…
Herbert Marcuse pourrait être le grand-père du wokisme, une idée proposée par Pierre Valentin, pour le séminaire LAIC.
François Azouvi analyse l’idéologie victimaire en Occident, montrant comment la sacralisation des victimes, inspirée de la « double frénésie » de Bergson, a transformé les sociétés modernes.
Le cadre laïque de la sécularisation des espaces partagés est menacé. On promeut la « race » comme une « grille de lecture du monde », selon les mots mêmes du Président du CNRS. En réalité, la violence est bien du côté de la pensée décoloniale qui entend imposer le silence à ceux qui n’entrent pas dans le cadre qu’ils prétendent imposer au nom d’une idéologie qu’ils peinent à nommer. La société ouverte, donnée comme un improbable horizon, n’est qu’un prétexte à légitimer aux yeux de ses zélés promoteurs l’exercice de la force pour l’avénement d’un « avenir ouvert »[1]. Qui ne voit pas les ferments de la tyrannie dans cette mascarade ?
Présentation du nouveau livre de Nadia Geertz, « Woke, la tyrannie victimaire » aux éditions Deville.
Son oui est-il un vrai oui?
Comment savoir s’iel y consent vraiment ? Le moindre geste est empreint d’ambiguité. Et ce soupir, manifeste-t-il le désir ? L’ennui ? L’embarras ? Comment savoir sans vérifier?
A quelle place suis-je ? L’objet de son fantasme ? Son père ? Sa mère ? Georges Clooney ? Une infirmière ?
Et alors, si je ne suis plus moi, qui est là ? Comment savoir sans vérifier?
Y consent-iel vraiment ?
Vérifiez-le à chaque instant, à chaque mouvement… jusqu’à l’ultime moment.
Mais aussi plus tard. Le lendemain, 6 mois ou 6 ans après. Etait-ce un vrai oui, et non de l’aveuglement, ou un verre de trop ? Ou l’emprise d’un.e pervers.se narcissique ?
Avons-nous encore besoin des hommes?
De nouvelles avancées de la biologie s’annoncent. Mais dès à présent, seuls quelques reproducteurs masculins, cantonnés dans un laboratoire, suffisent à la perpétuation de l’espèce.
Dès lors, pourquoi attendre ? Pourquoi encore s’encombrer des hommes ? Ces spécialistes de l’humour sexiste, du mansplaining, de l’agressivité masquée…
Sans compter qu’un violeur se cache en chacun d’eux.
Débarrassons-nous des hommes et vivons entre nous une sororité retrouvée, réinventée, joyeuse à l’image de la bienveillance qui nous anime et colore la pléiade de nos associations.
Qui ne s’est-iel jamais senti mal dans sa peau ?
Pourquoi devrait-on accepter d’être assigné.e.s à sa peau de naissance ?
En rester là, n’est ce pas une profonde injustice ?
Et la base de multiples offenses ou discriminations ?
De toute urgence, nous réclamons des pouvoirs publics des financements de recherches scientifiques qui permettront à chacun.e d’avoir la couleur de peau qui correspond à sa VRAIE personnalité.
Exaltons l’écriture inclusive!
Force est de constater que la langue française est particulièrement obscure si pas erratique quant au genre des objets.
Afin d’y remédier il y a lieu de procéder à une purification visant à faire correspondre le genre de l’objet à cellui qui l’utilise.
Cellui qui se vit comme Valérie dira je vais m’asseoir sur cette chaise ou cette fauteuille, tandis que Kevin dira je m’assois sur ce chais ou ce fauteuil.
Cette purification aura également l’avantage de mieux identifier le genre dans lequel l’humain.e se sent et donc d’éviter toute offense.
[par Patricia Farazzi, nous reprenons ici un article qui ne nous est pas favorable, mais qui nous a au moins fait marrer, publié sur le
[Ce texte de Nathalie Heinich a d’abord été publié le 5 janvier 2022 dans Franc Tireur qui a donné l’autorisation de le reproduire ici] Voilà
[par XLS et HH] Conséquence du colloque sur la reconstruction, un passionné d’histoire et d’archives nous a contactés pour nous transmettre ce document autographe du
[par Mikhaïl Kostylev] Noël approche ! Hélas, crise sanitaire et déficit national oblige, on ne pourra pas embaucher le Vieux Barbu cette année – il est
[par V. Wiel, Professeur de Littérature du XVIIe siècle ] S’il fallait encore prouver que notre langue est fasciste, discriminatoire pour les minorités et qu’il urge de
par Yana Grinshpun et Mikhail Kostylev Dans notre (soviétique) jeunesse, on surnommait la France la « 16ème république de l’URSS ». L’émigration fut une cruelle désillusion : les
par le collectif, unanime Suite à l’injonction qui nous a été adressée de retirer l’article 1269 par l’Administrateur provisoire de la Sorbonne, voilà le courrier
par Joseph Ciccolini L’époque étant à l’auto-apitoiement et à la mise à jour de ses plaies, que chacun est dorénavant invité à gratter à qui
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