
Vous abonner
En vous abonnant, vous nous permettez de continuer à pouvoir vous informer. Ce faisant, vous créez un lien entre vous et nous et vous participez à notre mission de veille et d’analyse. Merci !
L’Observatoire d’éthique universitaire, crée en 2019 sous le nom « d’Observatoire du décolonialisme » puis « des idéologies identitaires », est une initiative indépendante dédiée à la défense des valeurs fondamentales de l’université et à la promotion d’un enseignement supérieur respectueux des principes d’éthique, de laïcité et de liberté académique. Nous nous engageons à préserver une université où la recherche de la vérité, le débat intellectuel libre et la transmission des savoirs s’exercent dans un cadre rigoureux et impartial.
Pour atteindre ces objectifs, nous :
Ces trois axes – accompagnement individuel, recherche analytique et sensibilisation publique – structurent notre action et nous permettent de défendre une université au service du savoir et de la société. Voir nos auteurs
Consulter nos notes, nos rapports détaillés sur la question de la pénétration des idéologies identitaires à l’université… Voir
Nous produisons presque quotidiennement des analyses, des articles ou des éditoriaux à partir de données vues depuis notre principal observatoire, l'université elle-même et les établissements qui s'y rattachent.
Sur ce site on trouvera également un "kit rhétorique" pour trouver des réponses à des demandes - en entreprise ou en collectivité - face auxquelles on se sent démunis et seul.
L'Université est née potache, et depuis Rabelais, on a du mal à se refaire. Alors pour aider à mieux comprendre, on dessine, on pastiche...
En quelques années, nous avons produit et continuons de produire, plus de 2000 articles en vue de documenter la pénétration des idéologies identitaires et du wokisme au sein de l’université – en France, et dans le monde – sur tous les sujets et couvrant tous les domaines de ce désastre. Nous remettons chaque année un rapport objectif sur la question et nous publions des analyses documentées. Vous ne pourrez pas dire que vous n’étiez pas au courant…
Les onglets vous permettent d’accéder au contenu, ou vous pouvez rechercher à travers tout le site.
Où il sera question de chiens cyborgs devenant queer et d’intimités canines au cœur de la lutte anticoloniale. Mikhaïl Kostylev analyse un article américain encensé où l’idéologie amène à une manipulation du langage et à la négation de la réalité.
L’exposition « Toward Joy. New Frameworks for American Art » au Musée de Brooklyn, orchestrée par Stephanie Sparling Williams, propose une relecture radicale de l’histoire de l’art américain en inversant les rapports de pouvoir : les œuvres des artistes non blancs et des femmes sont mises en avant, tandis que celles des artistes blancs sont physiquement rabaissées pour forcer une prise de conscience des inégalités historiques. Cette démarche, saluée par certains comme une déconstruction nécessaire du récit dominant, est critiquée par d’autres comme une forme de militantisme radical qui transforme l’expérience muséale en une démonstration idéologique.
Dans « Insurrection des particularités », Chantal Delsol analyse le déclin de l’universel au profit d’un wokisme marqué par le relativisme, la dictature des identités et la remise en cause de la rationalité, qui substitue l’émotion et l’idéologie au débat et à la science. Elle montre comment cette évolution entraîne une démocratie dominée par les minorités, un égalitarisme excessif déconstruisant toute hiérarchie, et une pensée performative où la vérité est remplacée par des récits militants imposés par l’intimidation. Un compte rendu d’Emmanuelle Hénin.
Bergeaud-Blackler répond aux arguments avancés par Karim Souanef et Julien Talpin (Mediapart) affirmant que l’annulation de sa conférence à l’Université de Lille reposerait sur des raisons scientifiques et déontologiques, et non politiques. Ils présentent l’affaire sous un angle politique tout en prétendant l’inverse, omettant certains éléments et biaisant leur analyse.
Dans « Les damnées de la mer », Camille Schmoll analyse le parcours des femmes migrantes en Méditerranée, mettant en évidence les violences qu’elles subissent, les obstacles des politiques migratoires et leur quête d’autonomie à travers une enquête de terrain approfondie. Elle déconstruit les idées reçues sur la féminisation des migrations et souligne le rôle du numérique comme espace de résistance et de reconstruction identitaire.
La Bibliothèque nationale de France organise une grande exposition sur l’Apocalypse, explorant son sens initial de « révélation » plutôt que de fin du monde. L’évènement, structuré en trois parties, propose une immersion dans le texte de Jean, une analyse de l’Apocalypse dans l’art et une réflexion contemporaine sur l’après-catastrophe, suscitant des controverses sur une idéologie sous-jacente.
Les Frères musulmans, organisation transnationale née en 1928, cherchent à imposer leur vision théocratique par un endoctrinement méthodique et une adaptation aux contextes locaux.
Profitant des libertés occidentales, la confrérie mène une islamisation progressive en ciblant les jeunes et en s’infiltrant dans les milieux associatifs et politiques. Compte rendu de la conférence de Florence Bergeaud-Blackler donnée au conseil régional des Hauts-de-France à Lille après son annulation à l’université de Lille.
Tout en militant avec une intransigeance absolue pour une abolition totale ici, nous devons nous garder de toute tentative de jugement hâtif sur des sociétés non occidentales qui, elles, ont peut-être trouvé dans certaines formes de servitude un équilibre civilisationnel qu’il ne nous appartient pas de déconstruire. L’essentiel est d’abolir, encore et encore, en France uniquement.
C’est aujourd’hui un étudiant de Sciences Po de vingt ans, Pablo Ladam, qui nous raconte la folie qui s’est emparée de son école dans sa lutte contre les « violences sexistes et sexuelles ». Il le fait dans un texte de grande qualité, Terreur violette, qu’il faut absolument lire et que nous espérons tous voir publier rapidement.
L’université, censée être un lieu de neutralité et de rigueur scientifique, dérive vers une politisation préoccupante, comme en témoigne la récente motion du CEPED (CNRS), qui adopte un positionnement militant pro-palestinien. Cette prise de position compromet la crédibilité de la recherche et instrumentalise les sciences sociales pour des fins idéologiques. L’institution académique doit préserver son indépendance et éviter de devenir un vecteur d’agenda politique.
C’est d’Écosse que nous parvient la nouvelle qu’un enfant est atteint de « dysphorie d’espèce » et s’identifie à un loup. L’oncologue Jacques Robert développe sur ce thème.
Le 17 septembre, le site de vulgarisation universitaire TheConversation publie un article de notre collègue Albin Wagener (« professeur en analyse de discours et communication » à l’Institut catholique de Lille) intitulé « Paniques morales : l’arme fatale de l’extrême droite ». L’illustration choisie par la rédaction est aussi éloquente que le titre : une affiche d’agit-prop déclarant « L’extrême droite vous parle tous les jours, 24h/24 », avec les logos de C8 et Europe 1. Complétons : sur TheConversation c’est l’extrême gauche qui nous parle tous les jours, mais avec un atout supplémentaire : ce n’est pas par la voix des journalistes mais sous couvert d’expertise universitaire. Double peine.
Madame Réjane Sénac est docteure de l’IEP de Paris en science politique spécialisée en « pensée politique ». Diplômée d’un master 2 de droit et d’un master
Il y aura eu la première médaillée de l’équipe des réfugiés, la boxeuse camerounaise Cindy Ngamba ; le selfie des pongistes sud- et nord-coréens, unis sur le podium ; et l’Australienne Rachel Gunn, qui s’est distinguée par une prestation de break dance qui ne lui a valu aucun point mais plutôt des flots de quolibets. Il est très probable qu’elle ait consciemment provoqué ce fiasco pour se mettre en avant dans les nombreux médias qui l’ont relaté.
On parle beaucoup en ce moment de « liberté académique », mais c’est surtout pour en dire des bêtises, qu’un peu de bon sens et de connaissance de la question devrait suffire à évacuer.
Chez Mediapart, on n’est jamais à court d’absurdités. Leur dernière énormité, datée du 10 juillet, pourrait passer pour le gag de l’été : les photos de
Les médias américains, et internationaux, se sont tout récemment fait l’écho d’une information à peine concevable : l’académie scolaire du comté de Davis (95 établissements pour 72000 élèves, tout près de Salt Lake City, Utah) venait d’annoncer sa décision d’interdire aux niveaux scolaires inférieurs (5-13 ans) l’accès à la vénérable bible de King James (1611), celle-là même sur laquelle George Washington avait prêté serment le 30 avril 1789.
« Identifier et contester les façons dont les mathématiques sont utilisées pour défendre les opinions capitalistes, impérialistes et racistes. Exposer les élèves à des exemples de personnes qui ont utilisé les mathématiques comme moyen de résistance. Offrir des opportunités d’apprentissage qui utilisent les mathématiques comme moyen de résistance. »…. On continue ?
Cette cartographie tente d’organiser de manière cohérente les grands courants idéologiques qui s’opposent à la modernité sur ses deux principes, l’autonomie (un monde commun soumis à la critique) et la souveraineté (une société démocratique).
Alexandre Portier, député LR du Rhône et membre du Conseil supérieur des programmes, réagit à l’emploi du terme « ségrégation scolaire » par le ministre de l’Éducation nationale.
C’est à redonner à cette notion de « color blindness », de « daltonisme » racial, toute sa noblesse et sa portée humaniste que je voudrais ici m’atteler.
Les textes tels que la Déclaration des droits de l’homme de l’ONU, la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne et la Convention européenne des droits de l’homme du Conseil de l’Europe reconnaissent la liberté de pensée, de conscience et de religion comme des droits fondamentaux. Cependant, au fil du temps, il y a eu un changement sémantique qui a conduit à restreindre ou à négliger ces droits.
En décembre 2022, l’Ifop informait que 56 % des professeurs du secondaire public déclarent s’être déjà auto-censurés dans leurs enseignements, pour éviter tout incident déclenché au nom de convictions religieuses ou philosophiques.
L’article un de la Constitution de 1958 explique que la République est indivisible, laïque, démocratique et sociale. La Laïcité fait donc partie de ces principes qui nécessitent avant tout une organisation juridique. Fondée sur le principe de séparation (sphère publique, sphère privée) qui garantit la liberté de conscience et de culte, elle est fragilisée aujourd’hui par la conjonction du politique et du religieux sous les auspices d’un wokisme galopant qui s’accorde avec des gens comme Norman Ajari pour déclarer qu’elle est tout à la fois une mesure « d’apartheid », voire « islamophobe, discriminante, injuste et d’extrême-droite ».
Quand une loi votée sur un malentendu permet de censurer les opposants à l’idéologie transgenre et religions »
Un journée d’étude sur la question juridique a fort heureusement été interrompue par les usagers de l’Université alors même que des professeurs contestés prenaient la parole pour défendre l’idée transphobe selon laquelle l’identité de genre devrait être inscrite à l’état civil. Des étudiantes, visiblement conscientisées aux problèmatiques légitimes de la société inclusive, ont alors simplement armées de leur courage et de quelques projectiles innocents – la preuve: on les vend au rayon bricolage ou peinture des magasins – organisé un happening afin de nuire au déroulement attendu des discours de haine professés par ces intellectuels ringards que la honte n’arrête plus. L’un des intervenants, réalisant à point son erreur, a fait amende honorable et son pardon lui fut signifié par la marque rédemptrice de l’eau colorée du baptême. En revanche, une activiste réactionnaire que son tailleur dénonçait, agressive et qui se trouvait là en renfort des activistes transphobes, a rondement été neutralisée par la jeunesse. Personne ne fut blessé ce jour-là, ce qui est heureux car il s’en est fallu de peu sans doute que la jeunesse ne périsse sous les coups redoublés du boutoir hétéro-patriarcal.
Quand le transactivisme dérape, la presse se tait.
Outre des associations et délégations interministérielles, plusieurs ministères diffusent l’idéologie du genre et particulièrement le transactivisme, notamment celui de l’Éducation nationale. Par exemple, l’ancien Institut National de la Recherche Pédagogique, devenu le Réseau Canopé, invitait récemment les écoliers à « déconstruire la parenté », tout en recherchant la signification des préfixes « hétéro », « homo », « trans », « cis », « inter » et « bi » — preuve que les langues anciennes n’ont pas dit leur dernier mot. Il propose aux enseignants un webinaire sur « la lutte contre les LGBTIphobies » où l’on apprend soudain que « l’héritage laïque » est « potentiellement LGBTIphobe »
Dans le monde d’avant, la littérature était le moyen de connaître la vie des autres, d’imaginer la sienne, et d’éprouver ses vertus, son corps, ses fantasmes, ses espérances et ses ambitions. Les professeurs de morale et de vertu n’étaient ni des fonctionnaires ni des militants rétribués, mais des penseurs et des artistes aux prises avec la question humaine. Cette bibliothèque est toujours disponible. Monsieur le ministre délégué, tenez bon !
Les analyses de ce qu’il est maintenant convenu d’appeler le « wokisme » pourraient se répartir en trois ensembles : celles qui le rattachent à la « French Theory », celles qui le font dériver de l’histoire du communisme et celles qui y décèlent un courant para-religieux. Salutaires et, finalement, complémentaires, ces approches se focalisent sur le seul angle idéologique, pouvant laisser croire que la lutte contre ces mouvances envahissantes pourrait se limiter à ce terrain. Celui-ci est loin d’être négligeable mais, outre qu’il ouvre la porte à un retour aux vieilles momies idéologiques dites « de droite », il fait l’économie des conditions d’émergence du wokisme, c’est-à-dire des analyses de fond des sociétés occidentales contemporaines.
Consacrée à ces dernières, l’œuvre de Cornelius Castoriadis (1922-1997) permettrait peut-être, rétrospectivement, d’apporter quelques lumières sur ces pseudo-subversions contemporaines, alors comprises comme les signes d’un « délabrement de l’Occident » – pour reprendre sa célèbre formule – aujourd’hui extrêmement avancé. C’est à lui qu’il faudrait faire face, sous peine de mener un combat en ignorant les grandes lignes de forces qui en déterminent l’issue.
Un spectre hante les sociétés contemporaines : celui du wokisme. Dans les universités, les administrations, les espaces publics et professionnels, une idéologie insidieuse cherche à redéfinir les normes culturelles, sociales et politiques. Elle se revendique de l’inclusion, de l’égalité et de la justice sociale, mais s’inscrit en réalité dans une logique de division, de censure et d’oppression idéologique. Nous, opposants au wokisme, nous levons pour défendre les valeurs universelles, la liberté d’expression et le pluralisme démocratique contre cette dérive intellectuelle et politique.
Les Grands Inquisiteurs de la secte inclusivo-diversitaire ne connaissent pas de frontières : la preuve ! Note: Le Rectorat de Bordeaux a suspendu pour trois
À Columbia, la présidente, Nemat Shafik, dite Minouche, avait dû faire appel à la police sur le campus pour déloger les étudiants pro-palestiniens de leurs campements et des locaux universitaires où ils n’avaient rien à faire, Hamilton Hall en particulier. Une centaine d’entre eux avaient été arrêtés : cela les a quelque peu décontenancés, ayant été élevés dans l’absence de contradiction et ne pouvant admettre qu’on leur reproche de harceler ceux qu’ils croient responsables ou approbateurs de la guerre au Moyen-Orient et qui n’ont que le « tort » d’être Juifs.
Certes, la performance athlétique de Raygunn est mauvaise, ne valait rien. Mais, invalider sa présence au prétexte qu’elle est « blanche » est un postulat raciste, communautaire et qui clôt irrévocablement le mirage olympique.
Pascal Bruckner parle d’un processus d’héroïsation de la victime et d’extension indéfinie du champ victimaire où même « les privilégiés peuvent jouer aux maudits ».
Sylvie Laurent compile dans son livre presque tous les concepts les plus creux de la sociologie contemporaine
Ces explications gagneraient à avoir l’écho qu’elles méritent. Si l’on trouve évidemment des travaux faisant état de biais de recrutement ou d’avancement chez les chercheurs (d’ailleurs parfois aussi dans le sens inverse de celui habituellement suspecté), il semble bien que globalement en France on puisse expliquer les disparités uniquement par les choix effectués et la productivité scientifique, à savoir le fait de candidater et de publier [ (Mairesse & Pezzoni, 2015) ; (Bosquet, Combes, & Garcia-Panalosa, 2014)], différentiel qui lui-même s’explique, au moins en partie, par les engagements familiaux. Au total, en regardant de près les données, force est de constater que le mystère du « plafond de verre » semble élucidé.
Il est temps de protéger les enfants de l’école de la République de l’idéologie intersectionnelle, des manipulations identitaires et raciales et de la pédagogie décoloniale, notamment au sein de la Formation des maîtres et dans l’institution universitaire. Il s’agit désormais d’alerter l’opinion publique sur les conséquences de ce fanatisme pédagogique non seulement dans les sciences humaines et sociales à l’université, mais aussi sur la nécessité de protéger les enfants de l’école de la République contre tous ceux qui voudraient instaurer des statistiques sur la race (sic) et la sexualité des enfants dès l’école primaire, à partir des cadres de l’intersectionnalité et des dérives identitaires et décoloniales. Les maquettes de formation des Masters ne sont pas épargnées par cet entrisme idéologique.
Faisons pénitence de cette dégoutante blanchéité dont nous sommes atteints.
Condamnons nos parents de nous avoir fait naître blanc.he.s.
Repentons-nous de ce monde que nous, privilégié.e.s, avons créé. Ce monde empreint du nauséabond suprémacisme blanc.
Regrettons infiniment ce privilège blanc et demandons pardon à nos sœurs et frères racisée.e.s.
Déconstruisons les mathématiques
Les mathématiques reposent sur des principes abstraits qui ne correspondent pas aux réalités sociales. Pire, qui invisibilisent les inégalités.
1 racisé + 1 blanc, font-ils 2 humains égaux ? Bien sûr que non !
L’égalité mathématique ne reflète nullement les inégalités et les différences individuelles présentes dans notre société.
Il est urgent de déconstruire les mathématiques, de remettre en question ces normes figées et amener à une réflexion plus critique sur les rapports de pouvoir et les discriminations existantes.
Kevin.e se sent femme aujourd’hui
En toute occasion, il est essentiel d’accepter qu’un homme se sente femme et vice-versa car la reconnaissance de l’identité de genre est cruciale pour le bien-être et la santé mentale de chacun.e.
En niant sentiments et ressentis, en refusant leur légitimité, nous contribuons à la stigmatisation et à l’exclusion sociale.
Accepter et respecter l’identité de genre de chacun c’est contribuer à construire une société fluide et plus inclusive.
Laissons chacun être authentique et se sentir libre dans son identité de genre.
Enceinte à 80 ans ? Il n’est jamais trop tard pour se réaliser pleinement
Aujourd’hui, grâce aux progès de la médecine, il n’existe pas d’âge ou de limite temporelle pour accomplir ses rêves et se réaliser pleinement.
Être enceinte à 80 ans, s’offrir ce cadeau, s’offrir un bébé, est un choix personnel et légitime qui peut apporter bonheur et épanouissement à une femme.
Chaque individu possède le droit inaliénable de mener son existence conformément à ses aspirations et désirs personnels, affranchi des carcans d’une société figée et des conventions désuètes.
Dorénavant, que plus un énoncé françois ne soit plus paritaire: il faut dans une phrase autant de mots masculins que de monts féminins ! Allez hop et que ça saute. On prendra donc soin de ne plus faire de phrases qui soient exclusivement masculines (« Ciao Pantin ») ni exclusivement féminines (« Chattehaute Pantine ») mais on prendra soin d’alterner les deux avec précaution et respect.
Nos étudiants sont-ils prêts à renoncer à de tels séjours pour mettre leurs actes « en cohérence » avec leurs valeurs ? Sont-ils prêts à lancer un appel au boycott d’Erasmus ? Vont-ils prôner des échanges universitaires sobres, sur le mode des circuits cours, du type Grenoble-Chambéry mais pas plus loin ?
Expulser Dieu de la Bible, c’est déjà saugrenu… mais moins que la nonchalance totale de la manière. Notre théologien liquide un dogme fondamental de sa propre religion, sans explication… mais surtout sans le moindre frémissement intérieur.
Hier encore, j’étais jeune et naïf : je me moquais à longueur d’articles des outrances wokes, sans me douter que moi aussi, je serais bientôt victime d’une terrible injustice sociale. Un sombre matin, dans ma glace, je vis que l’âge était venu… et tous mes cheveux partis.
C’est l’ouverture de la chasse ! Et certains gibiers pèsent plus lourd que d’autres. Le 21 septembre, aura lieu la première audience du procès de Sandrine Rousseau, poursuivie au pénal par la Fédération Nationale des Chasseurs.
Le journaliste : Votre association organise ses réunions en non-mixité, mais réclame que les toilettes soient non-genrées… Au fond, quelle différence y a-t-il entre la
[par Mikhaïl Kostylev] Il y a peu de choses que j’aime autant lire que de la bonne prose féministe. Politiquement, le mouvement cafouille souvent –
[par Mikhaïl Kostylev] « Le wokisme n’existe pas », s’entête Libération , , … après avoir l’avoir pourtant salué comme un « concept repris par Black Live Matters »pour
Gratuite, notre lettre d’information vous informe régulièrement de l’actualité : wokisme, islamogauchisme, néoféminisme, écriture inclusive…
En vous abonnant, vous nous permettez de continuer à pouvoir vous informer. Ce faisant, vous créez un lien entre vous et nous et vous participez à notre mission de veille et d’analyse. Merci !