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Donjons et Dragons: le virage woke et inclusif du seigneur des jeux de rôle

Donjons et Dragons: le virage woke et inclusif du seigneur des jeux de rôle

Collectif

Tribune des observateurs

Read More  Réservé aux abonnés Par Simon Cherner Publié il y a 7 heures La sortie, mercredi 12 avril, de Donjons et Dragons : L’Honneur des voleurs marque le retour du roi des jeux de rôle au cinéma, à un moment où la licence est portée par une dynamique inédite depuis 1974. Paramount Pictures, eOne ENQUÊTE – Accusé de perpétuer des stéréotypes racistes et sexistes, le jeu créé en 1974 se réinvente. Une opération assumée par son éditeur, alors que la marque jouit d’une popularité inédite dans son histoire et qu’un film dérivé sort ce mercredi sur les écrans. Il y a quelque chose de changé dans les royaumes fantastiques de Donjons et Dragons . Hollywood s’apprête à sortir un nouveau long métrage consacré à la licence reine du jeu de rôle. Le pari ne manque pas d’étonner, vu la qualité affligeante des films précédents. Il y a pourtant une raison qui pousse un grand studio à retenter le coup. Regardé d’un œil suspect dans les années 1980 – il était soupçonné de pervertir la jeunesse et de la pousser dans le satanisme -, Donjons et Dragons (D&D)caracole aujourd’hui sur des millions d’écrans et de rutilants plateaux. Fin de la cabale ? Pas vraiment. La licence a été étrillée ces dernières années pour son contenu jugé raciste et sexiste. Le plus populaire des jeux de rôle a, depuis, fait œuvre de contrition et se positionne désormais en champion de l’inclusivité. Des orcs et des dragons «wokes», il fallait y penser. Les fondamentaux du jeu de rôle ont peu changé depuis la sortie en 1974 de la première édition de Donjons et Dragons. Une poignée… Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 91% à découvrir. 

Réservé aux abonnés

Par Simon Cherner

Publié il y a 7 heures

La sortie, mercredi 12 avril, de Donjons et Dragons : L’Honneur des voleurs marque le retour du roi des jeux de rôle au cinéma, à un moment où la licence est portée par une dynamique inédite depuis 1974. Paramount Pictures, eOne

ENQUÊTE – Accusé de perpétuer des stéréotypes racistes et sexistes, le jeu créé en 1974 se réinvente. Une opération assumée par son éditeur, alors que la marque jouit d’une popularité inédite dans son histoire et qu’un film dérivé sort ce mercredi sur les écrans.

Il y a quelque chose de changé dans les royaumes fantastiques de Donjons et Dragons . Hollywood s’apprête à sortir un nouveau long métrage consacré à la licence reine du jeu de rôle. Le pari ne manque pas d’étonner, vu la qualité affligeante des films précédents. Il y a pourtant une raison qui pousse un grand studio à retenter le coup. Regardé d’un œil suspect dans les années 1980 – il était soupçonné de pervertir la jeunesse et de la pousser dans le satanisme -, Donjons et Dragons (D&D)caracole aujourd’hui sur des millions d’écrans et de rutilants plateaux. Fin de la cabale ? Pas vraiment. La licence a été étrillée ces dernières années pour son contenu jugé raciste et sexiste. Le plus populaire des jeux de rôle a, depuis, fait œuvre de contrition et se positionne désormais en champion de l’inclusivité. Des orcs et des dragons «wokes», il fallait y penser.

Les fondamentaux du jeu de rôle ont peu changé depuis la sortie en 1974 de la première édition de Donjons et Dragons. Une poignée…

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