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Festival RÉ-ELLES. Un nouveau nom pour refléter la pluralité des luttes féministes et des questions de genre

Festival RÉ-ELLES. Un nouveau nom pour refléter la pluralité des luttes féministes et des questions de genre

Collectif

Tribune des observateurs

Read More  Le festival RÉ·ELLES (ex Docs au Féminin) débarque avec un nouveau nom, six invité·e·s, huit
projections-rencontres, des séances hors les murs, une installation sonore et une rétrospective pour célébrer son
20ème anniversaire, jusqu’au 12 mars à Rennes. Pour fêter son 20ème anniversaire, Docs au Féminin devient le festival RÉ·ELLES.
La chargée de programmation, Natalia Gomez-Carvajal, explique ce changement de nom : « On voulait se démarquer des luttes exclusivement féminines. Pour nous, c’était une façon d’expliciter notre inscription dans la pluralité des luttes féministes et la diversité des genres » . Cette nouvelle dénomination évoque aussi une envie de renouveau du cinéma documentaire traitant des droits des femmes, afin de faire place à tous(tes) les « elles », via le cinéma du réel. 
Pas de réalisatrice bretonne mais une programmation de grande qualité.
Le 11 mars sera entièrement dédié aux violences faites aux femmes. A l’auditorium des Champs Libres de Rennes, deux films seront projetés : à 14h30, « Chaylla », réalisé par Clara Teper (qui sera présente) et Paul Pirritano, et à 16h30 « Sunless Shadows » (Des ombres sans soleil) réalisé par Mehrdad Oskouei (qui sera présent). Tous deux abordent le même sujet mais sur des territoires très différents : en France et en Iran.  Et le 12 mars, toujours aux Champs Libres, seront projetés deux films sur le thème des luttes face aux oppressions subies par les femmes cis et transgenres, sur les terrains intime et public : à 14h30, « Olmo et la mouette » de Petra Costa et Lea Glob (accessible aux sourds et malentendants) en présence d’Olivia Corsini, comédienne du Théâtre du soleil et protagoniste du film. Et à 17h, « Nos corps sont vos champs de bataille » d’Isabelle Solas, en présence d’Anne Riche, monteuse du film.  Le festival a aussi souhaité s’ouvrir hors des murs des Champs Libres. Il s’est notamment décentré vers le Frac ou la Cinémathèque de Bretagne.
Et ce sera encore le cas cette semaine avec la projection à TransCanal de « Cause of death » de Jyoti Mistri le 10 mars à 20h00. Ou bien encore « Jungle » de Louise Mootz, au bar La Part des Anges, le 11 mars à 19h30.  

Le festival RÉ·ELLES (ex Docs au Féminin) débarque avec un nouveau nom, six invité·e·s, huit
projections-rencontres, des séances hors les murs, une installation sonore et une rétrospective pour célébrer son
20ème anniversaire, jusqu’au 12 mars à Rennes.

Pour fêter son 20ème anniversaire, Docs au Féminin devient le festival RÉ·ELLES.

La chargée de programmation, Natalia Gomez-Carvajal, explique ce changement de nom : « On voulait se démarquer des luttes exclusivement féminines. Pour nous, c’était une façon d’expliciter notre inscription dans la pluralité des luttes féministes et la diversité des genres » .

Cette nouvelle dénomination évoque aussi une envie de renouveau du cinéma documentaire traitant des droits des femmes, afin de faire place à tous(tes) les « elles », via le cinéma du réel. 

Pas de réalisatrice bretonne mais une programmation de grande qualité.

Le 11 mars sera entièrement dédié aux violences faites aux femmes. A l’auditorium des Champs Libres de Rennes, deux films seront projetés : à 14h30, « Chaylla », réalisé par Clara Teper (qui sera présente) et Paul Pirritano, et à 16h30 « Sunless Shadows » (Des ombres sans soleil) réalisé par Mehrdad Oskouei (qui sera présent). Tous deux abordent le même sujet mais sur des territoires très différents : en France et en Iran. 

Et le 12 mars, toujours aux Champs Libres, seront projetés deux films sur le thème des luttes face aux oppressions subies par les femmes cis et transgenres, sur les terrains intime et public : à 14h30, « Olmo et la mouette » de Petra Costa et Lea Glob (accessible aux sourds et malentendants) en présence d’Olivia Corsini, comédienne du Théâtre du soleil et protagoniste du film. Et à 17h, « Nos corps sont vos champs de bataille » d’Isabelle Solas, en présence d’Anne Riche, monteuse du film. 

Le festival a aussi souhaité s’ouvrir hors des murs des Champs Libres. Il s’est notamment décentré vers le Frac ou la Cinémathèque de Bretagne.

Et ce sera encore le cas cette semaine avec la projection à TransCanal de « Cause of death » de Jyoti Mistri le 10 mars à 20h00. Ou bien encore « Jungle » de Louise Mootz, au bar La Part des Anges, le 11 mars à 19h30. 

 

« Ce post est un relevé d’information de notre veille d’information »

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