Le lynchage posthume de Mahé de la Bourdonnais

Le lynchage posthume de Mahé de la Bourdonnais

Collectif

Tribune des observateurs

Table des matières

Le lynchage posthume de Mahé de la Bourdonnais

Read More  La Fédération Reconquête de la Réunion condamne vivement le projet de Madame la Maire de Saint Denis de la Réunion de supprimer la statue de Mahé de la Bourdonnais du square éponyme.
Madame Bareigts montre par cette action qu’elle est parfaitement en phase avec la classe politique française au pouvoir depuis des décennies : « Trouvez-moi vite quelque chose à détruire ». Voilà donc les Réunionnais en général et les Dionysiens en particulier sommés de se regrouper derrière un lynchage posthume. A mort ! A mort ! Mais cette unanimité dans la haine est fausse.
Bien des Réunionnais – sans doute l’immense majorité – qu’ils soient descendants d’esclaves ou descendants d’esclavagistes – sont scandalisés de voir leur histoire et leur patrimoine vandalisés. Ils le sont d’une part, au nom d’une idéologie décoloniale et wokiste, venue d’outre-Atlantique et, d’autre part, au nom de la pseudo-expertise d’une certaine « société civile » locale, acquise aux thèses panafricanistes et anti-françaises de l’activiste Kémi Séba. Que Madame Bareigts, en cohérence avec ses idéaux de gauche, ose consulter le peuple et que lui décide !
Aimer la Réunion c’est aimer toute l’histoire de la Réunion y compris dans ce qu’elle a de tragique, c’est estimer tous les grands hommes qui ont fait cette île.
Votre Fédération de La Réunion
Recharger les commentaires 

La Fédération Reconquête de la Réunion condamne vivement le projet de Madame la Maire de Saint Denis de la Réunion de supprimer la statue de Mahé de la Bourdonnais du square éponyme.

Madame Bareigts montre par cette action qu’elle est parfaitement en phase avec la classe politique française au pouvoir depuis des décennies : « Trouvez-moi vite quelque chose à détruire ». Voilà donc les Réunionnais en général et les Dionysiens en particulier sommés de se regrouper derrière un lynchage posthume. A mort ! A mort ! Mais cette unanimité dans la haine est fausse.

Bien des Réunionnais – sans doute l’immense majorité – qu’ils soient descendants d’esclaves ou descendants d’esclavagistes – sont scandalisés de voir leur histoire et leur patrimoine vandalisés. Ils le sont d’une part, au nom d’une idéologie décoloniale et wokiste, venue d’outre-Atlantique et, d’autre part, au nom de la pseudo-expertise d’une certaine « société civile » locale, acquise aux thèses panafricanistes et anti-françaises de l’activiste Kémi Séba. Que Madame Bareigts, en cohérence avec ses idéaux de gauche, ose consulter le peuple et que lui décide !

Aimer la Réunion c’est aimer toute l’histoire de la Réunion y compris dans ce qu’elle a de tragique, c’est estimer tous les grands hommes qui ont fait cette île.

Votre Fédération de La Réunion

Recharger les commentaires

 

« Ce post est un relevé d’information de notre veille d’information »

Auteur

Ce qu'il vous reste à lire
0 %

Peut-être devriez-vous vous abonner ?

Sinon, ce n’est pas grave ! Vous pouvez fermer cette fenêtre et continuer votre lecture.

    S'enregistrer:

    Soutien à notre collègue Bergeaud-Blackler

    Florence Bergeaud-Blackler, chercheuse au CNRS, devait donner une conférence à l’Université de Lille sur un sujet brûlant : l’influence des Frères musulmans et l’entrisme islamiste dans certains syndicats et mouvements de gauche. Pourtant, sa conférence a été annulée. Cette décision, prise par le doyen, est un acte politique qui ne dit pas son nom. Une fois de plus, l’université cède aux pressions idéologiques et sacrifie le débat scientifique sur l’autel du conformisme militant.
     
    Cette annulation n’est pas un cas isolé. Elle s’inscrit dans un climat où toute critique de l’islamisme est immédiatement disqualifiée, où ceux qui osent poser des questions sont taxés de “racistes” ou d’“extrême droite”. Dans les sciences sociales, en particulier, la règle tacite est claire : on se soumet ou on dégage. Ceux qui refusent de plier sont mis à l’écart, leurs conférences interdites, leurs noms jetés en pâture à des étudiants dressés à confondre débat intellectuel et offense personnelle.
     
    Comment expliquer que des syndicats, censés défendre la liberté d’expression, se soient transformés en gardiens du dogme ? Pourquoi tant de collègues se taisent, sinon par peur ? Cette lâcheté collective est précisément ce qui permet aux censeurs d’imposer leur loi. Mais il faut le dire : l’Université ne peut pas devenir un espace clos où seuls certains discours sont autorisés.
     
    Face à cette censure, la chercheuse a décidé de maintenir sa conférence, ailleurs s’il le faut. Le débat aura lieu le 5 mars, avec le plus grand nombre possible de participants. Car la lutte contre l’islamisme et ses complicités idéologiques n’est pas une affaire de partis : c’est une question existentielle pour notre démocratie.
    L’Université doit rester un lieu de savoir et d’échange, pas un bastion du sectarisme.