Le Who’s Woke 2025 – Notre Top 10

Le Who’s Woke 2025 – Notre Top 10

Claudio Rubiliani

Biologiste, membre de l’Observatoire de la petite sirène.
Un texte satirique de Claudio Rubiliani qui classe de façon provocante dix personnalités politiques et institutions, dénonçant leur hypocrisie et leur engagement décalé au nom du progressisme.

Table des matières

Le Who’s Woke 2025 – Notre Top 10

 

1-Rima Hassan.

Attise-fadas. A été membre du Conseil d’Administration de « Médecins sans Frontières » en 2021 et 2022. Regrette de ne pas y avoir rencontré le Docteur Mengele. L’imam Mélenchon lui ayant déroulé un tapis (de prière) rouge, siège désormais comme députée du Hamas au Parlement Européen où elle peut impunément menacer de mort tous ses contradicteurs ou ceux-là charriant un peu. Si Niort l’ignore, Téhéran l’attend.

 

2-Olivier Faure.

Gôche croupion et plus que Mollet. Sinistre Esaü senestre, a vendu son droit de PS pour un plat de lentilles…que LFI a dégusté. A essayé de se rattraper en gobant du fromage de Hollande (croûte rouge, mais blanc et mou dedans). Lamentable ratage qui lui rapporte un plumage électoral. Le Crispin, jamais en retard d’un agenouillement, a réclamé la suspension des accords entre l’UE et Israël. Un second enterrement pour Blum et Mendes-France.

 

3-Dominique de Villepin.

Particule alimentaire. A une claire estime pour les privatisations. En 2010 a reçu le prix « Doha Capitale Culturelle Arabe » des mains de l’Ambassadeur du Qatar, pays dont il partage à fond(s) les valeurs. Bien qu’il n’ait retenu de Marx que le mot « Capital », a été chaleureusement accueilli à la Fête de l’Huma aux sons de l’Internationale Antisémite. Après s’être occupé de la publication du Guide Relais & Châteaux pourra s’attaquer à la réédition des œuvres de Drumont ?

 

4-Kamala Harris.

Bide(n) électoral. Immaterial Girl balayée par Hair Force One, le maroufle musklé. A mené une campagne étique et ethnique, très flageolante sur le Proche-Orient. Encore plus déroutante, sa défense de l’IVG et de l’homme enceint a donné une image confuse de son féminisme, plus trans-parents que transparente pour les électeurs hors d’Hollywood.

 

5-Claire Hédon.

Défonceuse des Droits et tout de travers. Ancienne Présidente d’ATD Quart Monde, il semble que sa vision occulte effectivement ¾ du monde : inflexible sur la surveillance de la police, elle souhaite des zones « sans contrôle d’identité pour lutter contre les discriminations ». A la grande joie de tous les dealers et clandestins. Ancienne journaliste à Radio France, il semble aussi qu’elle en ait conservé l’objectivité pravdavienne qui caractérise le Service Public de Désinformation. Ainsi, conjuguant ignorance et mauvaise foi idéologique, son ahurissant avis favorable à la castration chimique des mineurs « en questionnement de genre », avis contraire au rapport sénatorial sur le même sujet et, pire, au rapport scientifique international du Dr Hilary Cass. A la grande joie des industries pharmaceutiques, des Diafoirus du genre et des activistes outranciers.

 

6-Delphine Ernotte.

Grande prêtresse de l’Eglise Cathodique. A décidé de ne pas montrer la France telle qu’elle est mais comme elle veut qu’elle soit : décroissante, repentante et majoritairement peuplée de minorités. Projection arcomique sur petit écran ? Ecran de fumée car prêche mais ne pratique pas. En témoigne son séjour dans un palace à 1300 euros la nuit (all inclusive) pour suivre le Festival de Cannes (sur écran total…itaire ?).

 

7-Jean-Luc Mélenchon (2ème nomination).

Affront populaire. Contribue activement à la khmerisation de Sciences Po(l) Po(t). Après une petite purge néostalinienne, a regonflé les effectifs de sa secte en recrutant ses jeunes miliciens parmi les dealers, les repris de justice et les décérébrés (cumul autorisé). Toujours aussi fâché avec les chiffres, considère qu’en France, comme au Venezuela, moins de 30% constituent une large, incontestable et absolue majorité des voix.

 

8-Anne Hidalgo (2ème nomination).

Mise en Seine. A porté la flemme olympique jusqu’en Polynésie où, pendant deux semaines, elle a vérifié la hauteur des vagues pour l’épreuve de surf. Vagues qu’elle n’a pas voulu voir dans l’autre mise en Cène de l’hystérien historien Patrick Boucheron qui nous avait con-cocté une cérémonie d’ouverture à en perdre la tête. Au-delà de sa centration périphérique, zonante et trébuchante, la joie transmaniaque (mais non affichée) que lui procurent l’immobilisation des « 4 roues » et l’incivilisation des « 2 roues » l’ont engagée à poursuivre la transformation de Paris en curiosité zoologique : les rues y sont hérissées de taupinières habitées par les rats.

 

 9 & 10-L’Union Européenne de Football Association (UEFA) et le Comité International Olympique (CIO).

Les clowns Tartuefa et Compromissio.

En toute ignorance de l’article 16.4 de son propre règlement, l’UEFA a considéré que l’immense banderole propalestinienne déployée au Parc des Princes du côté des supporters du PSG et sur laquelle Israël était rayé de la carte « n’avait rien de politique ». Le fait que le PSG soit dirigé et financé par le Qatar et que Qatar Airways soit partenaire officiel de l’UEFA ne peuvent être que des coïncidences. Par cet exemple de courage désintéressé, l’UEFA rejoint ses augustes homologues intercontinentaux : la FIFA, qui a vendu la Coupe du Monde 2022 au Qatar et autorisé les joueuses en hidjab, et, bien sûr, l’insurpassable CIO et ses honoraminables présidents. Depuis les Jeux de Berlin 1936 offerts à Hitler par Avery Brundage, juteux contrats BTP à la clé, initiant ainsi une tradition de corruption (lequel Brundage, élu président du CIO en 1952, confirmera son antisémitisme viscéral au lendemain du massacre des 11 athlètes israéliens à Munich en 1972), jusqu’à nos jours où les hommes pseudohermaphrodites sont médaillés dans les épreuves féminines, où des femmes voilées peuvent trôner sur les podiums mais où Manizha Talash, sportive née à Kaboul et membre de l’équipe des Réfugiés a été disqualifiée pour avoir porté, non pas sur un stade mais Place de la Concorde, une cape avec l’inscription « Libérez les femmes afghanes ». Du pur Rousseau (Pas Jean-Jacques) ! « Le contraire d’une histoire héroïsée » à la Patrick Boucheron ?

 

PS. La CPI, métastase du « machin » ONU, a été déclarée hors concours. Si la CPI (Clique Partiale Internationale) avait existé en juin 1940, elle aurait sans doute émis des mandats d’arrêt à l’encontre de Winston Churchill et du Général de Gaulle pour crimes de guerre et, afin de faire bonne mesure, à l’encontre du Caporal Fritz Müller, de la 2ème Panzer Division, pour excès de vitesse lors du franchissement de la frontière franco-belge. 

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    Soutien à notre collègue Bergeaud-Blackler

    Florence Bergeaud-Blackler, chercheuse au CNRS, devait donner une conférence à l’Université de Lille sur un sujet brûlant : l’influence des Frères musulmans et l’entrisme islamiste dans certains syndicats et mouvements de gauche. Pourtant, sa conférence a été annulée. Cette décision, prise par le doyen, est un acte politique qui ne dit pas son nom. Une fois de plus, l’université cède aux pressions idéologiques et sacrifie le débat scientifique sur l’autel du conformisme militant.
     
    Cette annulation n’est pas un cas isolé. Elle s’inscrit dans un climat où toute critique de l’islamisme est immédiatement disqualifiée, où ceux qui osent poser des questions sont taxés de “racistes” ou d’“extrême droite”. Dans les sciences sociales, en particulier, la règle tacite est claire : on se soumet ou on dégage. Ceux qui refusent de plier sont mis à l’écart, leurs conférences interdites, leurs noms jetés en pâture à des étudiants dressés à confondre débat intellectuel et offense personnelle.
     
    Comment expliquer que des syndicats, censés défendre la liberté d’expression, se soient transformés en gardiens du dogme ? Pourquoi tant de collègues se taisent, sinon par peur ? Cette lâcheté collective est précisément ce qui permet aux censeurs d’imposer leur loi. Mais il faut le dire : l’Université ne peut pas devenir un espace clos où seuls certains discours sont autorisés.
     
    Face à cette censure, la chercheuse a décidé de maintenir sa conférence, ailleurs s’il le faut. Le débat aura lieu le 5 mars, avec le plus grand nombre possible de participants. Car la lutte contre l’islamisme et ses complicités idéologiques n’est pas une affaire de partis : c’est une question existentielle pour notre démocratie.
    L’Université doit rester un lieu de savoir et d’échange, pas un bastion du sectarisme.