Read More Dans la nuit du dimanche 2 au lundi 3 avril, les prénoms de 11 élèves de Sciences Po Lille ont été tagués sur un bâtiment en travaux, situé juste en face de l’établissement, sous la mention « Mur de la honte ».L’affaire a fait réagir le directeur de Sciences Po Lille, Pierre Mathiot, qui a condamné les agissements des auteurs de cette liste, des élèves qui « ont en commun d’avoir émis dans la période récente des critiques publiques sur la manière dont le mouvement social était conduit dans notre école, surtout contre le recours aux blocages », a-t-il écrit dans un communiqué rendu public le 4 avril. Il revient sur cette affaire.Le Point : Vous avez décidé de dénoncer publiquement des « agissements inacceptables ». Pourquoi ?Pierre Mathiot : Depuis quelques années, nous avons des groupes…
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Dans la nuit du dimanche 2 au lundi 3 avril, les prénoms de 11 élèves de Sciences Po Lille ont été tagués sur un bâtiment en travaux, situé juste en face de l’établissement, sous la mention « Mur de la honte ».
L’affaire a fait réagir le directeur de Sciences Po Lille, Pierre Mathiot, qui a condamné les agissements des auteurs de cette liste, des élèves qui « ont en commun d’avoir émis dans la période récente des critiques publiques sur la manière dont le mouvement social était conduit dans notre école, surtout contre le recours aux blocages », a-t-il écrit dans un communiqué rendu public le 4 avril. Il revient sur cette affaire.
Le Point : Vous avez décidé de dénoncer publiquement des « agissements inacceptables ». Pourquoi ?
Pierre Mathiot : Depuis quelques années, nous avons des groupes…
« Ce post est un relevé d’information de notre veille d’information »