Pour le spécialiste du jazz Jean Szlamowicz, cette musique fait partie des mouvements artistiques qui demeurent étanches aux thèses décoloniales. Vous connaissez sûrement le nouveau jouet à la mode : la décolonisation. En général, il faut l’utiliser avec le mot déconstruction. Très pratique, vous pouvez l’appliquer à tout ce que vous voulez : « décoloniser les arts », « décoloniser le droit », « décoloniser l’université »… On attend de décoloniser l’imaginaire de la baguette de pain et de la piscine municipale, mais cela ne devrait pas tarder.
Comment le jazz est imperméable au discours décolonial

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