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Catégorie : Wokisme

A la Une
Ludovic Dillenseger

La politique du P.I.R. sélectionnée à l’Académie de France à Rome

Sacrifiant ainsi à l’esprit du temps — ou, selon, à une idéologie devenue dominante à laquelle il conviendrait de se conformer, diraient de mauvaises langues — l’Académie de France à Rome semble donner désormais souvent l’avantage, dans son processus de sélection, à des projets qui s’autorisent d’un questionnement des normes de genre (et en particulier de l’ « hétéro-patriarcat »), d’une critique du racisme (désigné comme « systémique » ou inhérent à toutes les institutions des sociétés occidentales, cependant que l’antisémitisme demeure, dans ces approches, et sans surprise, comme un point aveugle) ou encore d’une critique, sur fond de crise écologique mondiale investie d’une dimension apocalyptique, du capitalisme « extractif » et « néo-libéral ».

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apolitique
Nathalie Heinich

Face au RN : mettons les choses au point

Les partisans des idéologies identitaires de gauche – celles que nous combattons sur ce site, depuis trois ans et demi, sous le nom de « wokisme » – s’ingénient à assimiler notre démarche à « la droite » voire à « l’extrême droite »… Découvrez l’édito de Nathalie Heinich.

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A la Une
François Azouvi

La victime et le sacré au fondement du wokisme

François Azouvi analyse l’idéologie victimaire en Occident, montrant comment la sacralisation des victimes, inspirée de la « double frénésie » de Bergson, a transformé les sociétés modernes.

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A la Une
Xavier-Laurent Salvador

Le rôle de la violence dans l’histoire du wokisme

Le cadre laïque de la sécularisation des espaces partagés est menacé. On promeut la « race » comme une « grille de lecture du monde », selon les mots mêmes du Président du CNRS. En réalité, la violence est bien du côté de la pensée décoloniale qui entend imposer le silence à ceux qui n’entrent pas dans le cadre qu’ils prétendent imposer au nom d’une idéologie qu’ils peinent à nommer. La société ouverte, donnée comme un improbable horizon, n’est qu’un prétexte à légitimer aux yeux de ses zélés promoteurs l’exercice de la force pour l’avénement d’un « avenir ouvert ». Qui ne voit pas les ferments de la tyrannie dans cette mascarade ?

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