Read More En mars dernier, la fédération internationale d’athlétisme a décidé d’exclure les personnes transgenres des épreuves féminines à un an des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris . Jusqu’alors, les femmes trans avaient toujours été autorisées à courir sous un certain taux de testostérone. L’athlétisme n’est pas la seule discipline à restreindre l’accès des personnes trans aux compétitions féminines : le cyclisme ou encore la natation sont aussi concernées. Alors, comment et pourquoi ces décisions ont-elles été déterminées ?
Manon Mella reçoit Eric Arassus , co-président de la Fédération Sportive LGBT+ pour en discuter dans le Talk de franceinfo.
Une question d’ « équité »Depuis le 31 mars 2023, les athlètes trans sont bannies des compétitions féminines d’athlétisme. Sebastian Coe, le président de la Fédération internationale d’athlétisme a justifié de sa décision en invoquant la volonté de privilégier « l’équité à l’inclusoion » et de « protéger l’intégrité du sport féminin » . Les règles sont alors également durcies pour les athlètes intersexes à l’instar de Caster Semenya, qui devront désormais attester d’un toux de testostérone sous le seuil de 2,5 nmol/L pendant 24 mois, au lieu de 5 nmol/L, pendant 6 mois.
Alors, pourquoi les athlètes transgenres sont-elles exclues des épreuves féminines d’athlétisme ? Pourquoi le Comité International Olympique (CIO) ne statue pas sur ce sujet ? Enfin, est-ce que l’argument de l’équité sportive est-il réellement valable ?
Rejoignez-nous dès 18 heures du lundi au vendredi sur la chaîne Twitch de franceinfo pour participer au Talk de Manon Mella. Une heure d’échange, d’éclairage, de débat autour de sujets d’actualité et de société.
En mars dernier, la fédération internationale d’athlétisme a décidé d’exclure les personnes transgenres des épreuves féminines à un an des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris . Jusqu’alors, les femmes trans avaient toujours été autorisées à courir sous un certain taux de testostérone. L’athlétisme n’est pas la seule discipline à restreindre l’accès des personnes trans aux compétitions féminines : le cyclisme ou encore la natation sont aussi concernées. Alors, comment et pourquoi ces décisions ont-elles été déterminées ?
Manon Mella reçoit Eric Arassus , co-président de la Fédération Sportive LGBT+ pour en discuter dans le Talk de franceinfo.
Une question d’ « équité »
Depuis le 31 mars 2023, les athlètes trans sont bannies des compétitions féminines d’athlétisme. Sebastian Coe, le président de la Fédération internationale d’athlétisme a justifié de sa décision en invoquant la volonté de privilégier « l’équité à l’inclusoion » et de « protéger l’intégrité du sport féminin » . Les règles sont alors également durcies pour les athlètes intersexes à l’instar de Caster Semenya, qui devront désormais attester d’un toux de testostérone sous le seuil de 2,5 nmol/L pendant 24 mois, au lieu de 5 nmol/L, pendant 6 mois.
Alors, pourquoi les athlètes transgenres sont-elles exclues des épreuves féminines d’athlétisme ? Pourquoi le Comité International Olympique (CIO) ne statue pas sur ce sujet ? Enfin, est-ce que l’argument de l’équité sportive est-il réellement valable ?
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