The Who’s Woke 2024
The Who’s Woke 2024 pour démarrer l’année sous le signe de la féroce dérision.
The Who’s Woke 2024 pour démarrer l’année sous le signe de la féroce dérision.
Démocratie, universalisme, rationalité, laïcité et liberté d’expression – toutes valeurs piétinées par le mouvement woke, par Nathalie Heinich.
Face aux militants wokistes diplômés, le diagnostic est souvent incertain : on hésite entre la bêtise enrubannée et la folie dissimulée. Ce qu’on appelle le manque de jugement ou l’altération du discernement surgit en effet entre ces deux pôles : la bêtise conformiste (ou snob) et les troubles mentaux…
En finir avec le wokisme : chronique de la contre-offensive anglosaxonne. Un compte-rendu de lecture d’Emmanuelle Hénin.
Par diverses médiations, les penseurs et idéologues nazis trouvent aujourd’hui des héritiers, revendiqués ou non. Dans le cas de Heidegger, elles vont de certains eurasistes à des islamistes chiites et sunnites jusqu’à des mouvements d’ultra-gauche.
Alors que les fondements scientifiques de la notion de genre sont questionnés, l’auteur a choisi de décaler son point de vue vers les sources ésotériques et astrologiques du genre. Petite mystique du genre, de François Rastier est paru le 15 septembre 2023 aux éditions Intervalles.
Prenons quelque recul. Judith Butler expliquait en 2006 qu’« il est extrêmement important de considérer le Hamas et le Hezbollah comme des mouvements sociaux progressistes, qui se situent à gauche et font partie d’une gauche mondiale»…
Le wokisme est né sur les campus américains. Il a gagné l’Angleterre et le continent européen. Son berceau deviendra-t-il son tombeau ? Voici quelques extraits exclusifs du livre de Sylvie Perez, « En Finir avec le wokisme ».
On constate depuis quelque temps dans les médias et dans certains ouvrages polémiques un usage fréquent de la notion de « panique morale » : nous oserons nous interroger sur la signification précise de cette notion devenue à la mode.
Les saillies de Sandrine Rousseau provoquent régulièrement incrédulité, consternation ou hilarité, au point que l’on s’est réjoui de voir promu l’insipide Yannick Jadot incarner l’écologie « de gouvernement » – c’est-à-dire impuissante. Mais il faudrait prendre au sérieux la puissance du mouvement dit « woke » dans la mouvance écologiste : faire pièce à ces discours délirants exige, surtout, de comprendre comment nous en sommes arrivé là.