Read More Cette journée d’études aux chercheuses de toutes disciplines, doctorantes ou chercheuses confirmées, un espace de productions écrites, orales et d’expressions performatives autour des violences, des rapports de force et/ou de dominations, des silences vécus au cours de leur expérience à l’université. En outre, tout au long de leur parcours, les doctorantes vivent des violences institutionnelles ordinaires. Plus nombreuses dans les filières Lettres et Sciences Humaines, elles subissent davantage la précarisation du statut de doctorant.e et abandonnent plus souvent leur thèse (Serre, 2015) que les doctorants. Elles sont davantage stressées (Gérard, Nagels, 2017) et sont plus victimes de harcèlement que leurs homologues masculins (Clasches, 2019). Elles rencontrent également des violences épistémologiques : les études féministes et décoloniales subissent des attaques en règle, aussi bien contre les cadres théoriques mobilisés, que contre les chercheur.e.s qui les développent (Belinga, Eched et Rose Ndengue, 2019). Au nom du mythe de l’objectivité et de la neutralité des sciences et des scientifiques, les approches qui questionnent l’ordre genré et racialisé sont structurellement dévalorisées et réappropriées (Haraway, 1988). Cette journée a pour origine deux séminaires de recherche-création de soi mis en place au sein du Laboratoire Caribéen de Sciences Sociales (LC2S-UMR 8053) en 2021 et 2022. Ceux-ci ont amené les doctorantes à investiguer des modes d’approche réflexifs, interactifs et créatifs de la recherche, de leur rapport à la production scientifique, à l’enseignement et à la relation aux autres chercheur.e.s, et à découvrir ce qu’une « recherche incarnée et située » pouvait apporter à leurs travaux comme à leur part intime. Ces projets se sont ainsi peu à peu constitués en véritable régulateur des rapports de force ordinaire dont les étudiantes ont pu témoigner tout au long des séances, notamment grâce aux bienfaits de cette pédagogie horizontale conçue comme « une pratique de désarmement » (Tim Ingold, 2018), qui « nous rend vulnérables et non puissants, [valorisant en parallèle] la vérité et la sagesse plus que les connaissances. » Les résultats en ont été publiés dans un dossier spécial de La Revue juridique du bonheur, paru en juin 2022, La Revue Juridique du Bonheur – Observatoire International du Bonheur (oib-france.com). Dans ce dossier intitulé « Recherche doctorale et droit au bonheur. Recherche-création de soi : Bien-être des doctorant.e.s et intelligence créative », co-dirigé par Karine Bénac, Lise Gillot et Morgane Le Guyader, les contributrices ont mis l’accent sur leur sentiment de précarité, de vulnérabilité, d’invisibilité et sur leur sentiment fréquent de manquer de légitimité. Parallèlement, la production de travaux tels que l’écriture d’une autobiographie a aidé les doctorantes à témoigner de leur expérience en proposant un retour réflexif sur leur carrière (Hughes, 1996) institutionnelle. Des performances ont également été pensées pour accompagner les processus de témoignage par le corps et la mise en mouvement de soi (Pierre Gosselin, Éric Le Coguiec, 2006). Enfin, Karine Benac et Morgane Le Guyader ont récemment participé au colloque sur les « Violences ordinaires dans les organisations académiques » à Paris les 9 et 10 juin 2022 : leurs performances se sont inscrites dans le panel intitulé « Témoigner, réguler, performer » et ont puisé dans les discussions et pratiques émergentes de la recherche-création pour non plus seulement interroger les violences mais aussi provoquer un dépassement de leur production. Dans le sillage de ces séminaires et de la participation à ce colloque, la journée d’étude s’inscrit donc dans une démarche inter/transdisciplinaire et performative. S’il paraît fondamental de « réaffirmer la place du corps et du sensible dans la mise en œuvre et la transmission d’une pensée » (Déchéry, 2022), comment les violences rencontrées, subies, appréhendées, investiguées, peuvent-elles trouver à s’incarner scéniquement ? Dans quelle mesure l’acte performatif au sein de l’institution peut-il libérer corps et paroles, et donner à voir/sentir/toucher/entendre les tabous et non-dits inhérents aux fonctionnements institutionnels ? La journée d’études vise ainsi à décrire/analyser/témoigner de/performer les dominations et violences rencontrées en milieu institutionnel, les ressorts institutionnels de domination et leurs formes de légitimation, les stratégies d’invisibilisation déployées par les acteur.rice.s – qu’il.elle.s soient dominant.e.s ou dominé.e.s – et leurs effets tant sur les individus que sur les collectifs. Ces travaux placent la focale à l’intersection des problématiques des rapports sociaux de sexe, classe et « race » qui restent largement impensés au sein de l’université française comme au sein d’autres institutions. Cette journée d’études offre, comme deuxième axe de réflexion, celui des modalités de résistance développées par les actrices en prise avec des milieux institutionnels oppressants. Comment et par quels biais l’acte performatif peut-il constituer une forme efficiente et cathartique de résistance ? De restauration de soi ? Un dernier axe de réflexion est celui, cette fois, de l’action collective. Comment, à partir des expériences individuelles, penser le changement organisationnel pour façonner des institutions plus inclusives, plus justes ? Nous souhaitons que les contributrices de toutes disciplines puissent construire un discours scientifique performatif au sens large, qu’il s’agisse de lecture performative, de conférences-performées, de témoignage ou de tout autre format singulier. Date et lieu Cette journée se déroulera le 16 juin 2023 au campus Condorcet. Modalités de contribution à karine.benac@univ-antilles.fr helene.marquie@univ-paris8.fr morganeleguyader@hotmail.com geraldine.demombynes@univ-rennes2.fr Comité d’organisation Morgane Le Guyader (UA-LC2S) Karine Bénac (UA-LC2S) Hélène Marquié (U Paris 8-LEGS) Géraldine Gaudefroy-Demombynes (Histoire et critique des arts-Université de Rennes 2) Karine Bénac (Université des Antilles) Christine Chivallon (Université des Antilles) Carine David (Université des Antilles) Géraldine Gaudefroy-Demombynes (Université de Rennes 2) Morgane Le Guyader (Université des Antilles) Hélène Marquié (Université de Paris 8) Magali Nachtergael (Université de Bordeaux-Montaigne) Michel Tondellier (Université des Antilles) Emily Sahakian (Université de Georgie) Les productions pourront se faire sous forme écrites, orales et/ou performatives. Nous encourageons tout particulièrement les doctorantes et jeunes chercheuses à répondre à cet appel à propositions. Bibliographie BENAC K., GILLOT, L., LE GUYADER M. (dir.) (2022), Dossier spécial : Recherche doctorale et droit au bonheur. « Recherche-création de soi : bien-être des doctorant.e.s et intelligence créative », La Revue juridique du bonheur, dir. Carine David, n°4, La Revue Juridique du Bonheur – Observatoire International du Bonheur (oib-france.com). BOUTET, D. (2018), « La création de soi par soi dans la recherche-création : comment la réflexivité augmente la conscience et l’expérience de soi », in Jason Luckerhoff, François Guillemette et François Labelle (dir.), Approches inductives : La place de la mobilisation des résultats de la recherche dans les approches inductives, vol. 5, n° 1. BOUDIER M., DÉCHERY C. (dir.) (2022), Artistes-Chercheur.es, Chercheur.es-Artistes. Performer les savoirs, Les presses du réel. BELINGA M-E., ECHED Y., NDENGUE R. (2019), « Les Féministes des marges peuvent-elles parler ? Retour sur un « échec » académique et ses implications épistémologiques et politiques », Genre, sexualité & société [En ligne], 22, mis en ligne le 16 décembre 2019, consulté le 06 novembre 2021. URL : http://journals.openedition.org/gss/5816 ; DOI : https://doi.org/10.4000/gss.5816 CIFALI M., GIUST-DESPRAIRIES F., PERILLEUX T. (dir.)(2019), L’accueil des affects et des émotions en formation et recherche, approches cliniques, L’Harmattan. CLASCHES (Collectif de Lutte Anti-Sexiste Contre le Harcèlement Sexuel dans l’Enseignement Supérieur) (2019), « Retourner l’arme du droit. Contre le harcèlement sexuel dans l’enseignement supérieur et la recherche », Travail, genre et sociétés, vol. 42, no. 2, pp. 191-194. COMBES A. (2022), Comment l’université broie les jeunes chercheurs. Précarité, harcèlement, loi du silence, Autrement. CONNELL, R., W. (1987), Gender & Power, Cambridge: Polity Press. HUGHES, E. C. (1996), Le regard sociologique. Essais choisis (J.-M. Chapoulie, Trans. 1971 ed.). Paris: École des Hautes Études en Sciences Sociales. DELVAUX M., LEBRUN V., PELLETIER L. (dir.) (2015), Sexe, amour et pouvoir. Il était une fois… à l’université, Les éditions du remue-ménage. GERARD, L., NAGELS, M. (2017), « Niveau de stress perçu par les doctorants et stratégies de coping dysfonctionnelles », Recherches en éducation, 29, 134-148. HARAWAY, D. (1988). « Situated Knowledges. The Science Question in Feminism and the privilege of partial perspective », Feminist Studies 14, p. 575-599. MOSCONI N. (1994), Femmes et savoir. La société, l’école et la division sexuelle des savoirs, L’Harmattan. OMAR Z., HEAS S. (dir.) (2021), Les émotions dans la recherche en sciences humaines et sociales, épreuves du terrain, Presses Universitaires de Rennes. SERRE, D. (2015), « Etre doctorant-e. Socialisations, contextes, trajectoires », Socio-logos, mis en ligne le 16 juillet 2015, consulté le 17 août 2021. URL : http://journals.openedition.org/socio-logos/2924 ; DOI : https://doi.org/10.4000/socio-logos.2924. SUCHET M. (2016), Indiscipline, Nota Bene Éditions. SUCHET M. (2016), « De la recherche comme création permanente », Revue des sciences sociales, N. 56, p. 14-21.
Cette journée d’études aux chercheuses de toutes disciplines, doctorantes ou chercheuses confirmées, un espace de productions écrites, orales et d’expressions performatives autour des violences, des rapports de force et/ou de dominations, des silences vécus au cours de leur expérience à l’université. En outre, tout au long de leur parcours, les doctorantes vivent des violences institutionnelles ordinaires. Plus nombreuses dans les filières Lettres et Sciences Humaines, elles subissent davantage la précarisation du statut de doctorant.e et abandonnent plus souvent leur thèse (Serre, 2015) que les doctorants. Elles sont davantage stressées (Gérard, Nagels, 2017) et sont plus victimes de harcèlement que leurs homologues masculins (Clasches, 2019). Elles rencontrent également des violences épistémologiques : les études féministes et décoloniales subissent des attaques en règle, aussi bien contre les cadres théoriques mobilisés, que contre les chercheur.e.s qui les développent (Belinga, Eched et Rose Ndengue, 2019). Au nom du mythe de l’objectivité et de la neutralité des sciences et des scientifiques, les approches qui questionnent l’ordre genré et racialisé sont structurellement dévalorisées et réappropriées (Haraway, 1988).
Cette journée a pour origine deux séminaires de recherche-création de soi mis en place au sein du Laboratoire Caribéen de Sciences Sociales (LC2S-UMR 8053) en 2021 et 2022. Ceux-ci ont amené les doctorantes à investiguer des modes d’approche réflexifs, interactifs et créatifs de la recherche, de leur rapport à la production scientifique, à l’enseignement et à la relation aux autres chercheur.e.s, et à découvrir ce qu’une « recherche incarnée et située » pouvait apporter à leurs travaux comme à leur part intime. Ces projets se sont ainsi peu à peu constitués en véritable régulateur des rapports de force ordinaire dont les étudiantes ont pu témoigner tout au long des séances, notamment grâce aux bienfaits de cette pédagogie horizontale conçue comme « une pratique de désarmement » (Tim Ingold, 2018), qui « nous rend vulnérables et non puissants, [valorisant en parallèle] la vérité et la sagesse plus que les connaissances. » Les résultats en ont été publiés dans un dossier spécial de La Revue juridique du bonheur, paru en juin 2022, La Revue Juridique du Bonheur – Observatoire International du Bonheur (oib-france.com). Dans ce dossier intitulé « Recherche doctorale et droit au bonheur. Recherche-création de soi : Bien-être des doctorant.e.s et intelligence créative », co-dirigé par Karine Bénac, Lise Gillot et Morgane Le Guyader, les contributrices ont mis l’accent sur leur sentiment de précarité, de vulnérabilité, d’invisibilité et sur leur sentiment fréquent de manquer de légitimité. Parallèlement, la production de travaux tels que l’écriture d’une autobiographie a aidé les doctorantes à témoigner de leur expérience en proposant un retour réflexif sur leur carrière (Hughes, 1996) institutionnelle. Des performances ont également été pensées pour accompagner les processus de témoignage par le corps et la mise en mouvement de soi (Pierre Gosselin, Éric Le Coguiec, 2006). Enfin, Karine Benac et Morgane Le Guyader ont récemment participé au colloque sur les « Violences ordinaires dans les organisations académiques » à Paris les 9 et 10 juin 2022 : leurs performances se sont inscrites dans le panel intitulé « Témoigner, réguler, performer » et ont puisé dans les discussions et pratiques émergentes de la recherche-création pour non plus seulement interroger les violences mais aussi provoquer un dépassement de leur production.
Dans le sillage de ces séminaires et de la participation à ce colloque, la journée d’étude s’inscrit donc dans une démarche inter/transdisciplinaire et performative.
S’il paraît fondamental de « réaffirmer la place du corps et du sensible dans la mise en œuvre et la transmission d’une pensée » (Déchéry, 2022), comment les violences rencontrées, subies, appréhendées, investiguées, peuvent-elles trouver à s’incarner scéniquement ? Dans quelle mesure l’acte performatif au sein de l’institution peut-il libérer corps et paroles, et donner à voir/sentir/toucher/entendre les tabous et non-dits inhérents aux fonctionnements institutionnels ?
La journée d’études vise ainsi à décrire/analyser/témoigner de/performer les dominations et violences rencontrées en milieu institutionnel, les ressorts institutionnels de domination et leurs formes de légitimation, les stratégies d’invisibilisation déployées par les acteur.rice.s – qu’il.elle.s soient dominant.e.s ou dominé.e.s – et leurs effets tant sur les individus que sur les collectifs. Ces travaux placent la focale à l’intersection des problématiques des rapports sociaux de sexe, classe et « race » qui restent largement impensés au sein de l’université française comme au sein d’autres institutions. Cette journée d’études offre, comme deuxième axe de réflexion, celui des modalités de résistance développées par les actrices en prise avec des milieux institutionnels oppressants. Comment et par quels biais l’acte performatif peut-il constituer une forme efficiente et cathartique de résistance ? De restauration de soi ?
Un dernier axe de réflexion est celui, cette fois, de l’action collective. Comment, à partir des expériences individuelles, penser le changement organisationnel pour façonner des institutions plus inclusives, plus justes ?
Nous souhaitons que les contributrices de toutes disciplines puissent construire un discours scientifique performatif au sens large, qu’il s’agisse de lecture performative, de conférences-performées, de témoignage ou de tout autre format singulier.
Date et lieu
Cette journée se déroulera le 16 juin 2023 au campus Condorcet.
Modalités de contribution
à
karine.benac@univ-antilles.fr helene.marquie@univ-paris8.fr morganeleguyader@hotmail.com geraldine.demombynes@univ-rennes2.fr
Comité d’organisation
Morgane Le Guyader (UA-LC2S) Karine Bénac (UA-LC2S) Hélène Marquié (U Paris 8-LEGS) Géraldine Gaudefroy-Demombynes (Histoire et critique des arts-Université de Rennes 2) Karine Bénac (Université des Antilles) Christine Chivallon (Université des Antilles) Carine David (Université des Antilles) Géraldine Gaudefroy-Demombynes (Université de Rennes 2) Morgane Le Guyader (Université des Antilles) Hélène Marquié (Université de Paris 8) Magali Nachtergael (Université de Bordeaux-Montaigne) Michel Tondellier (Université des Antilles) Emily Sahakian (Université de Georgie)
Les productions pourront se faire sous forme écrites, orales et/ou performatives. Nous encourageons tout particulièrement les doctorantes et jeunes chercheuses à répondre à cet appel à propositions.
Bibliographie
BENAC K., GILLOT, L., LE GUYADER M. (dir.) (2022), Dossier spécial : Recherche doctorale et droit au bonheur. « Recherche-création de soi : bien-être des doctorant.e.s et intelligence créative », La Revue juridique du bonheur, dir. Carine David, n°4, La Revue Juridique du Bonheur – Observatoire International du Bonheur (oib-france.com).
BOUTET, D. (2018), « La création de soi par soi dans la recherche-création : comment la réflexivité augmente la conscience et l’expérience de soi », in Jason Luckerhoff, François Guillemette et François Labelle (dir.), Approches inductives : La place de la mobilisation des résultats de la recherche dans les approches inductives, vol. 5, n° 1.
BOUDIER M., DÉCHERY C. (dir.) (2022), Artistes-Chercheur.es, Chercheur.es-Artistes. Performer les savoirs, Les presses du réel.
BELINGA M-E., ECHED Y., NDENGUE R. (2019), « Les Féministes des marges peuvent-elles parler ? Retour sur un « échec » académique et ses implications épistémologiques et politiques », Genre, sexualité & société [En ligne], 22, mis en ligne le 16 décembre 2019, consulté le 06 novembre 2021. URL : http://journals.openedition.org/gss/5816 ; DOI : https://doi.org/10.4000/gss.5816
CIFALI M., GIUST-DESPRAIRIES F., PERILLEUX T. (dir.)(2019), L’accueil des affects et des émotions en formation et recherche, approches cliniques, L’Harmattan.
CLASCHES (Collectif de Lutte Anti-Sexiste Contre le Harcèlement Sexuel dans l’Enseignement Supérieur) (2019), « Retourner l’arme du droit. Contre le harcèlement sexuel dans l’enseignement supérieur et la recherche », Travail, genre et sociétés, vol. 42, no. 2, pp. 191-194.
COMBES A. (2022), Comment l’université broie les jeunes chercheurs. Précarité, harcèlement, loi du silence, Autrement.
CONNELL, R., W. (1987), Gender & Power, Cambridge: Polity Press.
HUGHES, E. C. (1996), Le regard sociologique. Essais choisis (J.-M. Chapoulie, Trans. 1971 ed.). Paris: École des Hautes Études en Sciences Sociales.
DELVAUX M., LEBRUN V., PELLETIER L. (dir.) (2015), Sexe, amour et pouvoir. Il était une fois… à l’université, Les éditions du remue-ménage.
GERARD, L., NAGELS, M. (2017), « Niveau de stress perçu par les doctorants et stratégies de coping dysfonctionnelles », Recherches en éducation, 29, 134-148.
HARAWAY, D. (1988). « Situated Knowledges. The Science Question in Feminism and the privilege of partial perspective », Feminist Studies 14, p. 575-599.
MOSCONI N. (1994), Femmes et savoir. La société, l’école et la division sexuelle des savoirs, L’Harmattan.
OMAR Z., HEAS S. (dir.) (2021), Les émotions dans la recherche en sciences humaines et sociales, épreuves du terrain, Presses Universitaires de Rennes.
SERRE, D. (2015), « Etre doctorant-e. Socialisations, contextes, trajectoires », Socio-logos, mis en ligne le 16 juillet 2015, consulté le 17 août 2021. URL : http://journals.openedition.org/socio-logos/2924 ; DOI : https://doi.org/10.4000/socio-logos.2924.
SUCHET M. (2016), Indiscipline, Nota Bene Éditions.
SUCHET M. (2016), « De la recherche comme création permanente », Revue des sciences sociales, N. 56, p. 14-21.
« Ce post est un relevé d’information de notre veille d’information »