Read More Organisée par le laboratoire SOPHIAPOL (Univ. Paris Nanterre), cette journée d’étude s’inscrit à la suite du colloque qui aura lieu la semaine précédente à Nanterre (« Les théories de la reconnaissance au XXe siècle : problèmes, traditions et auteurs »). Elle vise à être un espace de mise à l’épreuve et de possible restructuration du paradigme de la reconnaissance à l’aune de la philosophie critique et de la pensée décoloniale. À cette occasion, nous offrirons aussi un large éventail de persistences et d’usages possibles du concept dans la pensée contemporaine. 9h/9h20 Accueil et présentation de la journée d’étude 9h20/11h10 I. Le concept de reconnaissance en chantier : genèses, usages et perspectives critiques Matthieu Renault (Univ. Paris 8/LLCP) : Du prestige à la reconnaissance. Mythologiques kojéviennes Alice Le Goff (Univ. Paris Cité/CERLIS) : Économie, culture et morale : construction sociale des marchés et luttes pour la reconnaissance Pause 11h30/13h20 Aurélia Peyrical (Univ. Paris Nanterre/SOPHIAPOL) : Altérité invisible et reconnaissance : ce que la “neurodiversité” fait, ou pourrait faire, à la philosophiesociale critique Frédérique Debout (CNAM) : Psychodynamique de la reconnaissance et cosmogénèse Déjeuner 14h30/16h20 II. Les théories de la reconnaissance à l’épreuve des subalternes Mickaëlle Provost (Univ. Saint-Louis Bruxelles) : L’exclusion du champ de la reconnaissance : une lecture croisée de Beauvoir et Fanon Cristóbal Balbontin-Gallo (Univ. Austral de Chile) : “Red Skins, White Masks” : une critique décoloniale des théories de la reconnaissance Pause 16h40/18h30 III. Une possible restructuration des théories de la reconnaissance ? Le cas chilien Ricardo Salas (Univ. Catolica de Temuco) : Esquisse d’une théorie contextuelle de la justice : une lecture philosophique des conflits en terre mapuche Maria Beatriz Gutierrez (Univ. Austral de Chile) : Violence et reconnaissance dans les processus de transformation sociale : le cas de la première lignedans la révolte sociale chilienne Informations pratiques La journée est ouverte à toutes et à tous, en entrée libre sur le site de l’université à Nanterre. Néanmoins, si vous souhaitez vous inscrire pour assister au colloque à distance ou pour recevoir des informations sur l’événement en présentiel, n’hésitez pas à remplir le formulaire prévu à cet effet ! Comité d’organisation Emma BARETTONI, Félix MEGRET, Valentina SANTORO.
Organisée par le laboratoire SOPHIAPOL (Univ. Paris Nanterre), cette journée d’étude s’inscrit à la suite du colloque qui aura lieu la semaine précédente à Nanterre (« Les théories de la reconnaissance au XXe siècle : problèmes, traditions et auteurs »). Elle vise à être un espace de mise à l’épreuve et de possible restructuration du paradigme de la reconnaissance à l’aune de la philosophie critique et de la pensée décoloniale. À cette occasion, nous offrirons aussi un large éventail de persistences et d’usages possibles du concept dans la pensée contemporaine.
9h/9h20 Accueil et présentation de la journée d’étude
9h20/11h10
I. Le concept de reconnaissance en chantier : genèses, usages et perspectives critiques
Matthieu Renault (Univ. Paris 8/LLCP) : Du prestige à la reconnaissance. Mythologiques kojéviennes Alice Le Goff (Univ. Paris Cité/CERLIS) : Économie, culture et morale : construction sociale des marchés et luttes pour la reconnaissance
Pause
11h30/13h20
Aurélia Peyrical (Univ. Paris Nanterre/SOPHIAPOL) : Altérité invisible et reconnaissance : ce que la “neurodiversité” fait, ou pourrait faire, à la philosophiesociale critique Frédérique Debout (CNAM) : Psychodynamique de la reconnaissance et cosmogénèse
Déjeuner
14h30/16h20
II. Les théories de la reconnaissance à l’épreuve des subalternes
Mickaëlle Provost (Univ. Saint-Louis Bruxelles) : L’exclusion du champ de la reconnaissance : une lecture croisée de Beauvoir et Fanon Cristóbal Balbontin-Gallo (Univ. Austral de Chile) : “Red Skins, White Masks” : une critique décoloniale des théories de la reconnaissance
Pause
16h40/18h30
III. Une possible restructuration des théories de la reconnaissance ? Le cas chilien
Ricardo Salas (Univ. Catolica de Temuco) : Esquisse d’une théorie contextuelle de la justice : une lecture philosophique des conflits en terre mapuche Maria Beatriz Gutierrez (Univ. Austral de Chile) : Violence et reconnaissance dans les processus de transformation sociale : le cas de la première lignedans la révolte sociale chilienne
Informations pratiques
La journée est ouverte à toutes et à tous, en entrée libre sur le site de l’université à Nanterre. Néanmoins, si vous souhaitez vous inscrire pour assister au colloque à distance ou pour recevoir des informations sur l’événement en présentiel, n’hésitez pas à remplir le formulaire prévu à cet effet !
Comité d’organisation
Emma BARETTONI, Félix MEGRET, Valentina SANTORO.
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