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“La Reine Charlotte”, sur Netflix, préquel plus politique de la saga des Bridgerton

“La Reine Charlotte”, sur Netflix, préquel plus politique de la saga des Bridgerton

Collectif

Tribune des observateurs

Read More  « La Reine Charlotte » dépasse le « color blind » pour porter la question du racisme au Royaume-Uni du XIXe siècle. Photo Liam Daniel/Netflix Par Cécile Marchand Ménard Publié le 04 mai 2023 à 08h00 Mis à jour le 05 mai 2023 à 10h31 Partage LinkedIn Facebook Twitter Envoyer par email Copier le lien Charlotte de Mecklembourg-Strelitz, épouse du roi George III, fut-elle la première monarque noire de l’histoire du Royaume-Uni ? Si historiennes et historiens peinent à démêler mythe et réalité, Shonda Rimes, elle, a fait son choix. Sa reine Charlotte (Golda Rosheuvel), monarque respectée, adepte sous cape des ragots de la mystérieuse Lady Whistledown, dépeinte avec malice dans La Chronique des Bridgerton, est bel et bien noire… Et désormais, l’héroïne d’un charmant et plus politique préquel à son nom. Loin de la demeure de la fratrie Bridgerton, particulièrement animée lors de la saison des bals, ce spin-off investit un Buckingham Palace pré-Régence. La jeune reine Charlotte (India Amarteifio, très juste) découvre alors ses nouvelles responsabilités (et les parts d’ombre de son époux), tandis que l’indépendante Lady Danbury étouffe dans un mariage arrangé, et que Violet Bridgerton n’est encore qu’une enfant. Cet article est réservé aux abonnés S’abonner – 1€ par semaine pendant 1 an, sans engagement Ou Offre exclusive : 0,99€/mois pendant 6 mois Déjà abonné ? Je me connecte 

« La Reine Charlotte » dépasse le « color blind » pour porter la question du racisme au Royaume-Uni du XIXe siècle. Photo Liam Daniel/Netflix

Par Cécile Marchand Ménard

Publié le 04 mai 2023 à 08h00

Mis à jour le 05 mai 2023 à 10h31

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Charlotte de Mecklembourg-Strelitz, épouse du roi George III, fut-elle la première monarque noire de l’histoire du Royaume-Uni ? Si historiennes et historiens peinent à démêler mythe et réalité, Shonda Rimes, elle, a fait son choix. Sa reine Charlotte (Golda Rosheuvel), monarque respectée, adepte sous cape des ragots de la mystérieuse Lady Whistledown, dépeinte avec malice dans La Chronique des Bridgerton, est bel et bien noire… Et désormais, l’héroïne d’un charmant et plus politique préquel à son nom.

Loin de la demeure de la fratrie Bridgerton, particulièrement animée lors de la saison des bals, ce spin-off investit un Buckingham Palace pré-Régence. La jeune reine Charlotte (India Amarteifio, très juste) découvre alors ses nouvelles responsabilités (et les parts d’ombre de son époux), tandis que l’indépendante Lady Danbury étouffe dans un mariage arrangé, et que Violet Bridgerton n’est encore qu’une enfant.

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