Polémique à Lyon 2 : un examen rédigé en écriture inclusive

Polémique à Lyon 2 : un examen rédigé en écriture inclusive

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Polémique à Lyon 2 : un examen rédigé en écriture inclusive

Read More  L’Université Lyon 2 (Photo Hadrien Jame) L’UNI, syndicat étudiant classé à droite, a alerté sur les réseaux sociaux qu’un examen de droit distribué aux élèves était écrit en « inclusif ». La polémique autour des « Als », « ouvertx » et autres « reconnux » enfle. « Als », « ouvertx », « reconnux »… voilà les mots employés dans un examen distribué récemment à des étudiants en droit de Lyon 2. Le syndicat étudiant classé à droite, l’UNI, a publié sur les réseaux sociaux le sujet de l’examen. Ce dernier était écrit en écriture dite « inclusive », proposant même à l’étudiant de répondre aux cas pratiques en utilisant « le français standard ou inclusif, avec la forme d’inclusivité (qu’il maîtrise) ». L’histoire de deux personnages allemands et non-binaires, Arti et Maki, était racontée, avec des termes tels que « les professionnæls de santé », « Arti s’en est ouvertx » et « l’enfant a été reconnux à l’état civil ». L’UNI Lyon a dénoncé cette pratique en qualifiant cela de « propagande woke ».
🚨 Voici un sujet donné aux étudiants de droit, à Lyon 2. Ceux-ci sont ainsi incités à écrire en écriture inclusive. Pire encore: sous prétexte d’inclusivité, certains mots sont inventés ! Les sujets d’examen ne doivent pas être le lieu de la propagande woke ! pic.twitter.com/rH6QyLpl5T 

L’Université Lyon 2 (Photo Hadrien Jame)

L’UNI, syndicat étudiant classé à droite, a alerté sur les réseaux sociaux qu’un examen de droit distribué aux élèves était écrit en « inclusif ». La polémique autour des « Als », « ouvertx » et autres « reconnux » enfle.

« Als », « ouvertx », « reconnux »… voilà les mots employés dans un examen distribué récemment à des étudiants en droit de Lyon 2. Le syndicat étudiant classé à droite, l’UNI, a publié sur les réseaux sociaux le sujet de l’examen. Ce dernier était écrit en écriture dite « inclusive », proposant même à l’étudiant de répondre aux cas pratiques en utilisant « le français standard ou inclusif, avec la forme d’inclusivité (qu’il maîtrise) ».

L’histoire de deux personnages allemands et non-binaires, Arti et Maki, était racontée, avec des termes tels que « les professionnæls de santé », « Arti s’en est ouvertx » et « l’enfant a été reconnux à l’état civil ». L’UNI Lyon a dénoncé cette pratique en qualifiant cela de « propagande woke« .

🚨 Voici un sujet donné aux étudiants de droit, à Lyon 2. Ceux-ci sont ainsi incités à écrire en écriture inclusive. Pire encore: sous prétexte d’inclusivité, certains mots sont inventés !

Les sujets d’examen ne doivent pas être le lieu de la propagande woke ! pic.twitter.com/rH6QyLpl5T

 

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