![](https://i0.wp.com/decolonialisme.fr/wp-content/uploads/edito2.png?fit=768%2C240&ssl=1)
![Pierre Vermeren](https://i0.wp.com/decolonialisme.fr/wp-content/uploads/AVT_Pierre-Vermeren_2501.webp?fit=116%2C128&ssl=1)
« Pascal Perrineau n’a pourtant pas démérité »
« C’en était trop pour les coupeurs de tête. Les tenanciers d’un pluralisme univoque ont décidé de le faire taire », ou comment Pascal Perrineau a perdu son éméritat.
L’Observatoire des idéologies identitaires, association d’intérêt général,
a pour objectif de défendre et d’illustrer
les principes qui engagent l’Université en démocratie :
la langue, l’école et la laïcité.
« C’en était trop pour les coupeurs de tête. Les tenanciers d’un pluralisme univoque ont décidé de le faire taire », ou comment Pascal Perrineau a perdu son éméritat.
La défense des personnes transgenres passionne les foules, touche les individus et intéresse les entreprises. Quelle « minorité opprimée » peut se vanter d’une telle emprise sur la société ?
Découvrez le programme du Symposium Science, Society and Values, qui a lieu à l’Université de Bordeaux le 17 juin.
Islamophobie a un clair usage politique qui a été consacré par Jean-Luc Mélenchon. Mais au-delà, quel sens véritable a le terme ? Et ce qu’il est censé désigner – une hostilité profonde à l’égard des musulmans qui se serait répandue dans la société française – est-il étayé par des faits ?
François Azouvi analyse l’idéologie victimaire en Occident, montrant comment la sacralisation des victimes, inspirée de la « double frénésie » de Bergson, a transformé les sociétés modernes.
Le numéro 28 de Woke In Progress, qui vous fait découvrir l’activisme woke dans les universités françaises.
Le numéro 27 de Woke In Progress, qui vous fait découvrir l’activisme woke dans les universités françaises.
Le numéro 26 de Woke In Progress, qui vous fait découvrir l’activisme woke dans les universités françaises.
Le cadre laïque de la sécularisation des espaces partagés est menacé. On promeut la « race » comme une « grille de lecture du monde », selon les mots mêmes du Président du CNRS. En réalité, la violence est bien du côté de la pensée décoloniale qui entend imposer le silence à ceux qui n’entrent pas dans le cadre qu’ils prétendent imposer au nom d’une idéologie qu’ils peinent à nommer. La société ouverte, donnée comme un improbable horizon, n’est qu’un prétexte à légitimer aux yeux de ses zélés promoteurs l’exercice de la force pour l’avénement d’un « avenir ouvert »1. Qui ne voit pas les ferments de la tyrannie dans cette mascarade ?
Récemment, l’examen de fin d’année en médecine à l’Université Sorbonne Paris Nord a fait l’objet d’une vive polémique. Certaines questions posées aux étudiants comportaient des références idéologiques et géopolitiques n’ayant aucun lien avec la formation médicale, comme le conflit israélo-palestinien.
Bien que la direction ait reconnu des « maladresses », elle n’a pas pris la pleine mesure de cette inquiétante infiltration politique dans le sanctuaire académique que devrait être l’université.
Gratuite, notre newsletter vous informe régulièrement de l’actualité : wokisme, islamogauchisme, néoféminisme, écriture inclusive…
Décolonialisme est une publication de l’Observatoire des idéologies identitaires.
ISSN 2777-3973