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Liberté de conscience et liberté religieuse

Les textes tels que la Déclaration des droits de l’homme de l’ONU, la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne et la Convention européenne des droits de l’homme du Conseil de l’Europe reconnaissent la liberté de pensée, de conscience et de religion comme des droits fondamentaux. Cependant, au fil du temps, il y a eu un changement sémantique qui a conduit à restreindre ou à négliger ces droits.

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La laïcité, c’est encore la faute à Voltaire

En décembre 2022, l’Ifop informait que 56 % des professeurs du secondaire public déclarent s’être déjà auto-censurés dans leurs enseignements, pour éviter tout incident déclenché au nom de convictions religieuses ou philosophiques.

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Réponse à Haoues Seniguer par l’anthropologue Florence Bergeaud-Blackler, chargée de recherche (HDR) CNRS

La revue Mizane a publié un entretien avec Haoues Seniguer intitulé « Le frérisme et ses réseaux, « un essai saturé de jugements de valeur » dans lequel elle entend faire « évaluer » la valeur scientifique de mon ouvrage. Le politiste, qui s’était déjà fait remarquer au mois de février à la tribune de Musulmans de France, s’est preté au jeu. Voici la réponse de l’anthropologue Florence Bergeaud-Blackler, chargée de recherche (HDR) CNRS.

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La gauche intersectionnelle, une providence pour l’extrême-droite

Le projet totalisant de l’inclusion ne viserait-il pas une forme de clôture ? On sait que la force de la pensée mythique tient notamment à sa clôture : les mythes se caractérisent par des renvois constants entre tous les domaines sémantiques qui permettent d’enfermer la pensée dans une totalisation aussi séduisante qu’illusoire.

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UN TOTALITARISME D’ATMOSPHЀRE

Voilà comment le multiculturalisme a glissé vers le communautarisme identitariste, et comment celui-ci vire sous nos yeux au totalitarisme. Des censures sauvages sont imposées par de micro-collectifs qui ne s’autorisent que d’eux-mêmes, au mépris du droit, tandis que la politisation tous azimuts transforme les militants en législateurs et en juges, au nom du « tout est politique » cher aux milices fascistes, aux apparatchiks staliniens et à leurs héritiers gauchistes. Et, comme dans toute atmosphère totalitaire, la peur règne en maître, sur les campus américains comme dans les bureaux des présidents d’universités françaises : peur de perdre son poste, peur de perdre la face, peur surtout de se retrouver dans le mauvais camp ou – pire – de se retrouver seul.

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