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Quand les jeunes tiktokeurs se moquent du wokisme

Collectif

Tribune des observateurs

Read More  « Xénogenrisme », « demander ses pronoms », « genderfluids »… L’application TikTok regorge de contenus vidéo revendiqués par leurs créateurs comme « inclusifs ». Initialement guère commentés ou vaguement « likés », ces tiktoks connaissent depuis quelque temps des vagues de critiques venues d’utilisateurs amusés ou agacés par ce qu’ils estiment être des « dérives ». Si le terme « wokisme » semble encore méconnu par les jeunes tiktokeurs, ces derniers n’hésitent pas à se montrer très tranchants quand on les accuse d’« offense » et rencontrent un franc succès dès qu’ils optent pour la parodie.« Le xénogenre est une identité de genre non-binaire, c’est aussi un terme parapluie qui permet de décrire son genre via des métaphores et des analogies », « personnellement, je côtoie une personne xé…
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« Xénogenrisme », « demander ses pronoms », « genderfluids »… L’application TikTok regorge de contenus vidéo revendiqués par leurs créateurs comme « inclusifs ». Initialement guère commentés ou vaguement « likés », ces tiktoks connaissent depuis quelque temps des vagues de critiques venues d’utilisateurs amusés ou agacés par ce qu’ils estiment être des « dérives ». Si le terme « wokisme » semble encore méconnu par les jeunes tiktokeurs, ces derniers n’hésitent pas à se montrer très tranchants quand on les accuse d’« offense » et rencontrent un franc succès dès qu’ils optent pour la parodie.

« Le xénogenre est une identité de genre non-binaire, c’est aussi un terme parapluie qui permet de décrire son genre via des métaphores et des analogies », « personnellement, je côtoie une personne xé…

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