D. La Divinité exige-t-elle un culte public et bruyant ?
R. Je ne le crois pas ; aussi la plûpart des momeries religieuses qui ont parcouru le monde, depuis plusieurs siècles, ont-elles été inventées par les prêtres, dont le crédit a toujours été fondé sur la superstition.
D. Mais enfin, quel culte public pourroit le mieux convenir à la Divinité ?
R. Le travail ; car la fainéantise est de tous les vices celui qui déplaît le plus à l’Etre suprême.