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Woke-Machine

Tract # 01 – Pour une empathie accrue, partagez vos urines chaque matin.

Pour une empathie accrue, partagez vos urines chaque matin
La pandémie Covid a montré tout l’intérêt de la naturopathie, des traitements holistiques.
On a notamment pu observer que la foi en l’absorption d’urine* contribuait à la lutte contre le virus.
Des témoignages plus récents indiquent que la foi, au sein d’un couple ou d’un trouple, d’un rituel matinal partagé de se donner mutuellement ses urines* renforce très considérablement la connexion empathique entre partenaires et favorise une meilleure répartition de la charge mentale.
Bien sûr, les médias mainstream, à la solde de Big PharTriarcat, nous cachent ces informations. D’où la nécessité de soutenir activement nos médias alternatifs.

*Consultez toujours votre médecin avant tout nouveau traitement

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Mireille Quivy

Recension: Susan Neiman, La gauche n’est pas #woke

Citons Susan Neiman : « En revanche la pensée woke qui prône une vision tribale de la culture n’est pas très loin de celle des nazis qui tenaient à ce que la musique allemande soit jouée exclusivement par des Aryens, ni de celle de Samuel Huntington défendant ce qu’il appelle la « culture occidentale » contre les menaces de destruction issues d’autres civilisations. Censurer l’appropriation culturelle, c’est saboter la force de la culture. »

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Woke-Machine

Tract # 00 – La fierté woke.

La fierté woke
La fierté woke, c’est l’éveil de notre joie pour un monde queer.

La fierté woke, c’est notre colère face à l’injustice et à l’oppression.

La fierté woke, c’est notre doigt d’honneur aux stéréotypes et discriminations.

La fierté woke, c’est notre engagement pour la justice sociale.

Soyons dans la fièr.e.s d’être wokes, fluides, solidaires, engagé.e.s et libres !

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Xavier-Laurent Salvador

Note de lecture : « Voulons-nous encore vivre ensemble ? » de Pierre-Henri Tavoillot

Après un diagnostic accablant sur le désastre intellectuel que constitue le wokisme en occident, Tavoillot consacre son ouvrage à des pistes de reconstruction. Il identifie des pratiques universelles qu’il qualifie de « sept piliers de la convivialité » : repas partagés, relations de couple, transmission intergénérationnelle, pratiques religieuses, entre autres. Ces piliers, profondément ancrés dans l’expérience humaine, sont envisagés comme des leviers pour restaurer un lien social authentique.

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Mikhaïl Kostylev

Viking femme ou non-binaire ?  Quand la « science » woke s’entredéchire

Toute la « preuve » de la non-binarité du défunt repose sur ces deux affirmations absurdes. Comme elles sont contredites sitôt après avoir été énoncées, les auteurs sont à l’abri de toute critique. Le jeu va consister à oublier ces réserves sitôt qu’on a fini de les écrire, et raisonner par la suite comme si elles étaient certaines.

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BigNews
Marc Fryd

La sociolinguistique entre science et idéologie. Une réponse aux Linguistes atterrées (Compte rendu de lecture de l’ouvrage de Lionel MENEY)

L’ouvrage de L.M. est d’un abord facile. Il n’a pas pour prétention de clore le débat, et est clairement destiné à un public de non-spécialistes. Si l’auteur laisse çà et là percer l’agacement qui a pu le pousser à réagir au Tract des L.A., il ne cède pas à la facilité de la polémique et parvient à conserver l’intérêt du lecteur par la cohérence des réponses critiques qu’il apporte.

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Andreas Bikfalvi

Mythes progressistes et mythes réactionnaires dans la recherche idéologisée

Voilà quelques exemples d’angles morts de la part d’individus intelligents et bien intentionnés. Il suffit finalement de peu de chose pour dépasser ces angles morts : il faut trouver le courage d’affirmer une clarté morale et de s’opposer résolument à toutes les idées ou idéologies qui exaltent le mensonge et la post-vérité. Cela demande une véritable cohérence dans la défense de la vérité, face à des attaques provenant de tous les horizons politiques, qu’il s’agit d’invention d’un passé mythifié ou du fantasme d’un avenir utopique.

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Les éditos
Pierre Vermeren

Le genre ? Ça n’existe pas

Dans le monde d’avant, la littérature était le moyen de connaître la vie des autres, d’imaginer la sienne, et d’éprouver ses vertus, son corps, ses fantasmes, ses espérances et ses ambitions. Les professeurs de morale et de vertu n’étaient ni des fonctionnaires ni des militants rétribués, mais des penseurs et des artistes aux prises avec la question humaine. Cette bibliothèque est toujours disponible. Monsieur le ministre délégué, tenez bon !

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Lieux Communs (Collectif)

Le wokisme à la lecture de C. Castoriadis

Les analyses de ce qu’il est maintenant convenu d’appeler le « wokisme » pourraient se répartir en trois en­sembles : celles qui le rattachent à la « French Theory », celles qui le font dériver de l’histoire du com­munisme et celles qui y décèlent un courant para-religieux. Salutaires et, finalement, complémentaires, ces approches se focalisent sur le seul angle idéologique, pouvant laisser croire que la lutte contre ces mou­vances envahissantes pourrait se limiter à ce terrain. Celui-ci est loin d’être négligeable mais, outre qu’il ouvre la porte à un retour aux vieilles momies idéologiques dites « de droite », il fait l’économie des condi­tions d’émergence du wokisme, c’est-à-dire des analyses de fond des sociétés occidentales contemporaines.
Consacrée à ces dernières, l’œuvre de Cornelius Castoriadis (1922-1997) permettrait peut-être, rétrospectivem­ent, d’apporter quelques lumières sur ces pseudo-subversions contemporaines, alors comprises comme les signes d’un « délabrement de l’Occident » – pour reprendre sa célèbre formule – aujourd’hui extrê­mement avancé. C’est à lui qu’il faudrait faire face, sous peine de mener un combat en ignorant les grandes lignes de forces qui en déterminent l’issue.

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