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Xavier-Laurent Salvador

Le « colonialisme », cet autre virus qui frappe la France…

[par Xavier-Laurent SALVADOR]Originellement publié sur le site du Point Saviez-vous que Socrate avait des gens dans le pif ? On les appelait des « sophistes ». Il les combattait, et ces derniers l’ont tué. La raison pour laquelle ils étaient détestables était

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inclusive
Jean Szlamowicz

Putes, coiffeurs et écriture inclusive

[par Jean Szlamowicz] Texte initialement paru en version longue dans la revue Texto ! sous le titre « L’inclusivisme est un fondamentalisme » L’écriture inclusive part d’une bonne intention. Ou plutôt, elle part d’une intention assez imprécise qui ne pose aucune des bonnes

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articles de fond
François Rastier

De l’écriture inclusive à la translangue

Par François Rastier Principe fondamental de l’économie contemporaine, la dérégulation s’étend du monde économique au monde social, notamment par le biais d’internet. Les grandes firmes entretiennent l’individualisme asservi du client-roi par la customisation qui donne à chacun l’illusion de fixer

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Humour
Collectif

La rumeur et la cible

« Ouais, ils font rien qu’à dire qu’ils ne peuvent pas parler – Ah les nuls. Ils ne comprennent rien, Ouh ! Tuez-les ». C’est en ces termes fracassant que MM. Lanavu et PStochnis firent irruption dans la salle de rédaction du

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Humour
Collectif

Syllogisme décolono-indigéniste

Par Sahar Spivak et Suha Al-Qasim (CNRC Laboratoire de logique décoloniale) Études décoloniales et indigénistes, la révolution copernicienne en sciences humaines et sociales.  Syllogisme décolono-indigéniste : Hourija Bouteldja dit qu’elle est Mohamed Merah.Mohamed Merah est mort.Par conséquent, Hourija Bouteldja est morte.

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humeur(s)
Collectif

Les amendements contre l’écriture inclusive retoqués

On lit dans le très récent article du Parisien du 19 janvier 2021 que parmi les « cavaliers » des amendements de la loi contre le séparatisme, ont été retoqués différents articles jugés totalement ineptes visiblement. Ainsi lit-on : Ainsi a-t-on vu

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articles de fond
Collectif

Sorbonne et écriture inclusive: des nouvelles du front ?

Entretien avec un Professeur fictif: toute ressemblance avec des personnes ayant existé est fortuite. La Sorbonne est et demeure aux yeux du public une référence pour les Humanités. Que reste-t-il aujourd’hui de cet esprit de conservatoire qui a caractérisé son

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Soutien à notre collègue Bergeaud-Blackler

Florence Bergeaud-Blackler, chercheuse au CNRS, devait donner une conférence à l’Université de Lille sur un sujet brûlant : l’influence des Frères musulmans et l’entrisme islamiste dans certains syndicats et mouvements de gauche. Pourtant, sa conférence a été annulée. Cette décision, prise par le doyen, est un acte politique qui ne dit pas son nom. Une fois de plus, l’université cède aux pressions idéologiques et sacrifie le débat scientifique sur l’autel du conformisme militant.
 
Cette annulation n’est pas un cas isolé. Elle s’inscrit dans un climat où toute critique de l’islamisme est immédiatement disqualifiée, où ceux qui osent poser des questions sont taxés de “racistes” ou d’“extrême droite”. Dans les sciences sociales, en particulier, la règle tacite est claire : on se soumet ou on dégage. Ceux qui refusent de plier sont mis à l’écart, leurs conférences interdites, leurs noms jetés en pâture à des étudiants dressés à confondre débat intellectuel et offense personnelle.
 
Comment expliquer que des syndicats, censés défendre la liberté d’expression, se soient transformés en gardiens du dogme ? Pourquoi tant de collègues se taisent, sinon par peur ? Cette lâcheté collective est précisément ce qui permet aux censeurs d’imposer leur loi. Mais il faut le dire : l’Université ne peut pas devenir un espace clos où seuls certains discours sont autorisés.
 
Face à cette censure, la chercheuse a décidé de maintenir sa conférence, ailleurs s’il le faut. Le débat aura lieu le 5 mars, avec le plus grand nombre possible de participants. Car la lutte contre l’islamisme et ses complicités idéologiques n’est pas une affaire de partis : c’est une question existentielle pour notre démocratie.
L’Université doit rester un lieu de savoir et d’échange, pas un bastion du sectarisme.