L’automne des poètes
Qui est vraiment de droite : ceux qui défendent les classes populaires handicapées par l’écriture excluante, ou bien ceux qui attaquent un écrivain présumé de droite tout en promouvant une écriture qui exclut les pauvres ?
Qui est vraiment de droite : ceux qui défendent les classes populaires handicapées par l’écriture excluante, ou bien ceux qui attaquent un écrivain présumé de droite tout en promouvant une écriture qui exclut les pauvres ?
L’idéologie woke a depuis longtemps pénétré le quotidien du monde de l’entreprise et de l’administration publique. Il y a des phénomènes majeurs et incontournables auxquels tout le monde pense. Et il y a ces petites choses de tous les jours, contre lesquelles on ne sait pas quoi faire, et qui grignotent chaque jour notre espace de liberté. Quels exemples ? D’où est-ce que ça vient ? Que peut-on faire ?
De quoi le wokisme est-il le nom ? Un débat entre Romuald Sciora et Nathalie Heinich qui a eu lieu à la librairie Tropiques.
« L’idéologie woke n’est qu’une pure négation » : compte-rendu de lecture du livre « Comprendre la révolution woke », de Pierre Valentin.
L’ouvrage que propose Pauline Arrighi reste des plus pertinents et des plus utiles en ces temps de grande confusion idéologique. Il y a même à saluer la démarche.
Trois présidentes d’universités américaines ont étrangement révélé, sans même s’en rendre compte, leur adhésion à la peste brune de l’antisémitisme. Interrogées par une commission parlementaire, elles ont affirmé sans honte que la condamnation de l’appel au génocide des juifs « dépendait du contexte ».
Démocratie, universalisme, rationalité, laïcité et liberté d’expression – toutes valeurs piétinées par le mouvement woke, par Nathalie Heinich.
Face aux militants wokistes diplômés, le diagnostic est souvent incertain : on hésite entre la bêtise enrubannée et la folie dissimulée. Ce qu’on appelle le manque de jugement ou l’altération du discernement surgit en effet entre ces deux pôles : la bêtise conformiste (ou snob) et les troubles mentaux…
Avez-vous déjà remarqué que le monde porté à l’écran dans la pub, au cinéma ou à la télévision ressemble de moins en moins au monde que nous connaissons ? Que désormais, dans les fictions, les Blancs paraissent surreprésentés parmi les méchants ? Que les personnages féminins sont souvent des sortes de génies qui ne rencontrent aucun obstacle, plus doués en tous points que leurs homologues masculins ? Et à l’inverse, que les hommes, surtout quand ils sont blancs et d’un certain âge, sont systématiquement toxiques ?
La conférence sur l’écriture inclusive au sein de l’Espace Mendès France a été perturbée par des agitateurs, nécessitant l’intervention de la police. Malgré cela, le directeur a résisté aux pressions pour annuler l’événement, soulignant le paradoxe où des institutions publiques ont parfois cédé à des pressions similaires, illustrant une préoccupation démocratique.