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Année : 2023

A la Une
Michel Ben Arrous (géographe) et Evelyne Sylva (journaliste)

La haine imparable, ou la ‘morale’ tordue d’Edwy Plenel

De la mécanique idéologique des discours antisionistes et de la montée des positionnements identitaires au travers de la ‘méthode Plenel’ : une manière de détourner les mots « morale » et « politique » de leur signification.

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A la Une
Jacques Robert

Pourquoi il faut lire l’ouvrage de Carine Azzopardi

Dans ce livre incisif, Carine Azzopardi apporte toute une série d’informations, toujours référencées, sur les convergences entre islamisme « radical » et wokisme, une convergence qui n’a pas toujours été remarquée par les auteurs qui écrivent sur l’une ou l’autre de ces intrusions idéologiques dans la pensée contemporaine.

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newslettre
Collectif

Wokisme, les faits, n°21

Le numéro 21 de Woke In Progress, qui vous fait découvrir l’activisme woke dans les universités françaises.

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laïcité
Collectif

Laïcité : comprendre ses origines et son sens

La Laïcité ? Un terme difficile à comprendre. Aussi avons-nous demandé à Catherine Kintzler de nous éclairer sur la notion de laïcité. Catherine Kintzler est une philosophe française, spécialiste de l’esthétique et de la laïcité. Agrégée de philosophie, docteur d’État

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A la Une
Xavier-Laurent Salvador

« Francocide » et mots français en « -icide »: les causes sémantiques d’un échec annoncé

La langue et les formes linguistiques sont un terrain de jeu de toutes les idéologies qui se rencontrent à l’heure où le wokisme prétend façonner le monde par la parole. Mais le travers de la néologie à tout-va est un fait politique majeur. L’échec de la proposition du mot « francocide » est une illustration de la vivacité de la langue qui n’a rien à voir avec la volonté politque de la façonner ni de la récupérer, et de même que l’échec de l’écriture inclusive s’expliquera par la résistance des sujet parlants à l’imposition de normes non comprises, de même la réactivation de formes étymologiques cultivées se comprend par la mécanique propre à l’histoire non pas des mots, mais de la langue elle-même. Et dans ce domaine, l’Université a des choses à dire.

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Les éditos
Monica Martinat

L’empathie est-elle la solution ou le problème ?

Ces dernières semaines, nous avons fait face au désarroi de nombreux hommes et femmes, citoyens juifs qui, devant la sauvagerie de l’attaque du 7 octobre par les terroristes du Hamas, ont ressenti un manque de solidarité criant à leur égard. Les plus touchés ont été les gens de gauche, généralement pacifistes, qui se sont exprimés de manière critique à l’égard de l’actuel gouvernement israélien. Ce désarroi est celui de ceux qui réalisent subitement qu’ils demeurent inscrits dans une indépassable altérité : à l’intérieur de leur communauté citoyenne et politique, leur souffrance rencontre non pas une émotion commune face à l’horreur, mais la froideur d’un conflit politique au sein duquel, quoi qu’ils disent ou qu’ils fassent, quoi qu’ils subissent, ils seront moins victimes que d’autres.

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