« L’idéologie woke n’est qu’une pure négation »
« L’idéologie woke n’est qu’une pure négation » : compte-rendu de lecture du livre « Comprendre la révolution woke », de Pierre Valentin.
L’Observatoire des idéologies identitaires, association d’intérêt général,
a pour objectif de défendre et d’illustrer
les principes qui engagent l’Université en démocratie :
la langue, l’école et la laïcité.
« L’idéologie woke n’est qu’une pure négation » : compte-rendu de lecture du livre « Comprendre la révolution woke », de Pierre Valentin.
L’ouvrage que propose Pauline Arrighi reste des plus pertinents et des plus utiles en ces temps de grande confusion idéologique. Il y a même à saluer la démarche.
Trois présidentes d’universités américaines ont étrangement révélé, sans même s’en rendre compte, leur adhésion à la peste brune de l’antisémitisme. Interrogées par une commission parlementaire, elles ont affirmé sans honte que la condamnation de l’appel au génocide des juifs « dépendait du contexte ».
The Who’s Woke 2024 pour démarrer l’année sous le signe de la féroce dérision.
Démocratie, universalisme, rationalité, laïcité et liberté d’expression – toutes valeurs piétinées par le mouvement woke, par Nathalie Heinich.
Face aux militants wokistes diplômés, le diagnostic est souvent incertain : on hésite entre la bêtise enrubannée et la folie dissimulée. Ce qu’on appelle le manque de jugement ou l’altération du discernement surgit en effet entre ces deux pôles : la bêtise conformiste (ou snob) et les troubles mentaux…
Avez-vous déjà remarqué que le monde porté à l’écran dans la pub, au cinéma ou à la télévision ressemble de moins en moins au monde que nous connaissons ? Que désormais, dans les fictions, les Blancs paraissent surreprésentés parmi les méchants ? Que les personnages féminins sont souvent des sortes de génies qui ne rencontrent aucun obstacle, plus doués en tous points que leurs homologues masculins ? Et à l’inverse, que les hommes, surtout quand ils sont blancs et d’un certain âge, sont systématiquement toxiques ?
Réponse de Nathalie Heinich à l’article de Simon Blin dans Libération.
Dans ce livre incisif, Carine Azzopardi apporte toute une série d’informations, toujours référencées, sur les convergences entre islamisme « radical » et wokisme, une convergence qui n’a pas toujours été remarquée par les auteurs qui écrivent sur l’une ou l’autre de ces intrusions idéologiques dans la pensée contemporaine.
Les universités occidentales commencent à inquiéter sérieusement. Le développement du wokisme et de ses dérivés, avec leur lot de délires, de censures et de haines, avait déjà alerté. Mais après les événements du Proche-Orient, un cap est franchi.
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Décolonialisme est une publication de l’Observatoire des idéologies identitaires.
ISSN 2777-3973