Dégenrer le jeu d’échecs
Reliquat d’un univers monarchique à relents sexistes et patriarcaux nauséabonds, un échiquier condense toutes les inégalités et toutes les discriminations.
L’Observatoire d’éthique universitaire, crée en 2019 sous le nom « d’Observatoire du décolonialisme » puis « des idéologies identitaires », est une initiative indépendante dédiée à la défense des valeurs fondamentales de l’université et à la promotion d’un enseignement supérieur respectueux des principes d’éthique, de laïcité et de liberté académique. Nous nous engageons à préserver une université où la recherche de la vérité, le débat intellectuel libre et la transmission des savoirs s’exercent dans un cadre rigoureux et impartial.
Pour atteindre ces objectifs, nous :
Ces trois axes – accompagnement individuel, recherche analytique et sensibilisation publique – structurent notre action et nous permettent de défendre une université au service du savoir et de la société. Voir nos auteurs
Consulter nos notes, nos rapports détaillés sur la question de la pénétration des idéologies identitaires à l’université… Voir
Nous produisons presque quotidiennement des analyses, des articles ou des éditoriaux à partir de données vues depuis notre principal observatoire, l'université elle-même et les établissements qui s'y rattachent.
Sur ce site on trouvera également un "kit rhétorique" pour trouver des réponses à des demandes - en entreprise ou en collectivité - face auxquelles on se sent démunis et seul.
L'Université est née potache, et depuis Rabelais, on a du mal à se refaire. Alors pour aider à mieux comprendre, on dessine, on pastiche...
En quelques années, nous avons produit et continuons de produire, plus de 2000 articles en vue de documenter la pénétration des idéologies identitaires et du wokisme au sein de l’université – en France, et dans le monde – sur tous les sujets et couvrant tous les domaines de ce désastre. Nous remettons chaque année un rapport objectif sur la question et nous publions des analyses documentées. Vous ne pourrez pas dire que vous n’étiez pas au courant…
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Reliquat d’un univers monarchique à relents sexistes et patriarcaux nauséabonds, un échiquier condense toutes les inégalités et toutes les discriminations.
Les Grands Inquisiteurs de la secte inclusivo-diversitaire ne connaissent pas de frontières : la preuve ! Note: Le Rectorat de Bordeaux a suspendu pour trois
Ce texte traite de l’efficacité du livre “Qui a voulu effacer Alice Recoque?” publié en février 2024, qui a rapidement réhabilité Alice Recoque, une pionnière de l’informatique et de l’intelligence artificielle, en suscitant un large élan médiatique et politique. Recoque, née en 1929 et décédée en 2021, est connue pour son rôle dans la conception d’ordinateurs français dans les années 1950-70. Le livre, porté par une théorie d’invisibilisation des femmes dans l’histoire des sciences, et amplifié par des personnalités influentes, a mené à la décision de baptiser un supercalculateur européen en son nom en 2024. Le texte analyse la manière dont une stratégie narrative bien orchestrée peut transformer un sujet oublié en figure publique majeure, et les mécanismes littéraires de désinvisibilisation qui y sont utilisés.
Le numéro 28 de Woke In Progress, qui vous fait découvrir l’activisme woke dans les universités françaises.
À Columbia, la présidente, Nemat Shafik, dite Minouche, avait dû faire appel à la police sur le campus pour déloger les étudiants pro-palestiniens de leurs campements et des locaux universitaires où ils n’avaient rien à faire, Hamilton Hall en particulier. Une centaine d’entre eux avaient été arrêtés : cela les a quelque peu décontenancés, ayant été élevés dans l’absence de contradiction et ne pouvant admettre qu’on leur reproche de harceler ceux qu’ils croient responsables ou approbateurs de la guerre au Moyen-Orient et qui n’ont que le « tort » d’être Juifs.
Dominique Schnapper, dans son récent ouvrage « Les Désillusions de la démocratie », met au centre de ses interrogations les menaces contemporaines contre nos régimes démocratiques qui se développent en leur sein.
certes la performance athlétique de Raygunn est mauvaise, ne valait rien. Mais, invalider sa présence au prétexte qu’elle est « blanche » est un postulat raciste, communautaire et qui clôt irrévocablement le mirage olympique.
Pascal Bruckner parle d’un processus d’héroïsation de la victime et d’extension indéfinie du champ victimaire où même « les privilégiés peuvent jouer aux maudits ».
Il y aura eu la première médaillée de l’équipe des réfugiés, la boxeuse camerounaise Cindy Ngamba ; le selfie des pongistes sud- et nord-coréens, unis sur le podium ; et l’Australienne Rachel Gunn, qui s’est distinguée par une prestation de break dance qui ne lui a valu aucun point mais plutôt des flots de quolibets. Il est très probable qu’elle ait consciemment provoqué ce fiasco pour se mettre en avant dans les nombreux médias qui l’ont relaté.
On parle beaucoup en ce moment de « liberté académique », mais c’est surtout pour en dire des bêtises, qu’un peu de bon sens et de connaissance de la question devrait suffire à évacuer.
Chez Mediapart, on n’est jamais à court d’absurdités. Leur dernière énormité, datée du 10 juillet, pourrait passer pour le gag de l’été : les photos de
Entre les deux tours des législatives 2024 a été rendue publique une tribune intitulée « Revues en lutte : les sciences sociales contre l’extrême droite »…
Les partisans des idéologies identitaires de gauche – celles que nous combattons sur ce site, depuis trois ans et demi, sous le nom de « wokisme » – s’ingénient à assimiler notre démarche à « la droite » voire à « l’extrême droite »… Découvrez l’édito de Nathalie Heinich.
On apprend avec stupeur que le corps enseignant d’un petit collège savoyard arefusé que ce collège prenne le nom de Robert Badinter…
Le viol d’une jeune fille de douze ans, à Courbevoie dans le 92, samedi 15 juin 2024, ne devrait laisser personne indifférent…
« L’imaginaire collectif forgé dans les sociétés humaines au XXème et XXIème siècle trouve en partie sa source dans le pouvoir évocateur d’images diffusées d’abord dans la presse écrite puis surtout en Mondio-vision devant des centaines de millions de téléspectateurs. » Lire l’édito de Joseph Ciccolini.
Les médias américains, et internationaux, se sont tout récemment fait l’écho d’une information à peine concevable : l’académie scolaire du comté de Davis (95 établissements pour 72000 élèves, tout près de Salt Lake City, Utah) venait d’annoncer sa décision d’interdire aux niveaux scolaires inférieurs (5-13 ans) l’accès à la vénérable bible de King James (1611), celle-là même sur laquelle George Washington avait prêté serment le 30 avril 1789.
« Identifier et contester les façons dont les mathématiques sont utilisées pour défendre les opinions capitalistes, impérialistes et racistes. Exposer les élèves à des exemples de personnes qui ont utilisé les mathématiques comme moyen de résistance. Offrir des opportunités d’apprentissage qui utilisent les mathématiques comme moyen de résistance. »…. On continue ?
Cette cartographie tente d’organiser de manière cohérente les grands courants idéologiques qui s’opposent à la modernité sur ses deux principes, l’autonomie (un monde commun soumis à la critique) et la souveraineté (une société démocratique).
Alexandre Portier, député LR du Rhône et membre du Conseil supérieur des programmes, réagit à l’emploi du terme « ségrégation scolaire » par le ministre de l’Éducation nationale.
C’est à redonner à cette notion de « color blindness », de « daltonisme » racial, toute sa noblesse et sa portée humaniste que je voudrais ici m’atteler.
Les textes tels que la Déclaration des droits de l’homme de l’ONU, la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne et la Convention européenne des droits de l’homme du Conseil de l’Europe reconnaissent la liberté de pensée, de conscience et de religion comme des droits fondamentaux. Cependant, au fil du temps, il y a eu un changement sémantique qui a conduit à restreindre ou à négliger ces droits.
En décembre 2022, l’Ifop informait que 56 % des professeurs du secondaire public déclarent s’être déjà auto-censurés dans leurs enseignements, pour éviter tout incident déclenché au nom de convictions religieuses ou philosophiques.
L’article un de la Constitution de 1958 explique que la République est indivisible, laïque, démocratique et sociale. La Laïcité fait donc partie de ces principes qui nécessitent avant tout une organisation juridique. Fondée sur le principe de séparation (sphère publique, sphère privée) qui garantit la liberté de conscience et de culte, elle est fragilisée aujourd’hui par la conjonction du politique et du religieux sous les auspices d’un wokisme galopant qui s’accorde avec des gens comme Norman Ajari pour déclarer qu’elle est tout à la fois une mesure « d’apartheid », voire « islamophobe, discriminante, injuste et d’extrême-droite ».
L’ouvrage que propose Pauline Arrighi reste des plus pertinents et des plus utiles en ces temps de grande confusion idéologique. Il y a même à saluer la démarche.
Le livre que publie François Rastier chez Intervalles a l’air « petit », mais il est d’une densité incomparable tant par le nombre de points abordés que par l’ampleur de la culture de l’auteur, qui nous emmène dans les labyrinthes de l’occultisme pour déboucher sur la propagande d’État en faveur du transgenrisme.
Alors que les fondements scientifiques de la notion de genre sont questionnés, l’auteur a choisi de décaler son point de vue vers les sources ésotériques et astrologiques du genre. Petite mystique du genre, de François Rastier est paru le 15 septembre 2023 aux éditions Intervalles.
Le wokisme est né sur les campus américains. Il a gagné l’Angleterre et le continent européen. Son berceau deviendra-t-il son tombeau ? Voici quelques extraits exclusifs du livre de Sylvie Perez, « En Finir avec le wokisme ».
Une recension du reportage d’infiltration chez les wokes de Nora Bussigny.
Quand une loi votée sur un malentendu permet de censurer les opposants à l’idéologie transgenre et religions »
Un journée d’étude sur la question juridique a fort heureusement été interrompue par les usagers de l’Université alors même que des professeurs contestés prenaient la parole pour défendre l’idée transphobe selon laquelle l’identité de genre devrait être inscrite à l’état civil. Des étudiantes, visiblement conscientisées aux problèmatiques légitimes de la société inclusive, ont alors simplement armées de leur courage et de quelques projectiles innocents – la preuve: on les vend au rayon bricolage ou peinture des magasins – organisé un happening afin de nuire au déroulement attendu des discours de haine professés par ces intellectuels ringards que la honte n’arrête plus. L’un des intervenants, réalisant à point son erreur, a fait amende honorable et son pardon lui fut signifié par la marque rédemptrice de l’eau colorée du baptême. En revanche, une activiste réactionnaire que son tailleur dénonçait, agressive et qui se trouvait là en renfort des activistes transphobes, a rondement été neutralisée par la jeunesse. Personne ne fut blessé ce jour-là, ce qui est heureux car il s’en est fallu de peu sans doute que la jeunesse ne périsse sous les coups redoublés du boutoir hétéro-patriarcal.
Quand le transactivisme dérape, la presse se tait.
Sylvie Laurent compile dans son livre presque tous les concepts les plus creux de la sociologie contemporaine
Recension du livre de Nellie Bowles Morning after the Revolution, Penguin Random House, 2024 par Jacques Robert.
Sacrifiant ainsi à l’esprit du temps — ou, selon, à une idéologie devenue dominante à laquelle il conviendrait de se conformer, diraient de mauvaises langues — l’Académie de France à Rome semble donner désormais souvent l’avantage, dans son processus de sélection, à des projets qui s’autorisent d’un questionnement des normes de genre (et en particulier de l’ « hétéro-patriarcat »), d’une critique du racisme (désigné comme « systémique » ou inhérent à toutes les institutions des sociétés occidentales, cependant que l’antisémitisme demeure, dans ces approches, et sans surprise, comme un point aveugle) ou encore d’une critique, sur fond de crise écologique mondiale investie d’une dimension apocalyptique, du capitalisme « extractif » et « néo-libéral ».
Les partisans des idéologies identitaires de gauche – celles que nous combattons sur ce site, depuis trois ans et demi, sous le nom de « wokisme » – s’ingénient à assimiler notre démarche à « la droite » voire à « l’extrême droite »… Découvrez l’édito de Nathalie Heinich.
C’est un nouveau regard sur le handicap que défendent les disability studies : bouleverser la frontière entre le normal et le pathologique et de mettre en avant le « savoir expérientiel » des personnes handicapées.
Les idéologies identitaires ? Définition, origine des luttes…
Herbert Marcuse pourrait être le grand-père du wokisme, une idée proposée par Pierre Valentin, pour le séminaire LAIC.
François Azouvi analyse l’idéologie victimaire en Occident, montrant comment la sacralisation des victimes, inspirée de la « double frénésie » de Bergson, a transformé les sociétés modernes.
Le phénomène dit « woke » ou « wokisme » est international : développé initialement sur les campus nord-américains vers la fin des années 2010 et ayant rapidement atteint les mondes de la culture, de la politique et même de l’entreprise, il n’a pas tardé à traverser l’Atlantique pour investir nombre de pays européens. Son succès tient pour une grande part au fait qu’il défend des causes associées, à juste titre, au progrès et à la justice, mais – et c’est là qu’il pose problème – en en faisant des grilles systématiques voire uniques de perception du monde
Le New York Times a récemment consacré un article au sujet de la défiguration de la statue de Victor Hugo par Ousmane Sow à Besançon, ayant conduit à des exactions condamnables par des identitaristes radicalisés et bien mal inspirés de s’attaquer à une statue de Victor Hugo. Ce sujet m’avait amené à évoquer le « révisionnisme opportuniste de la mairie de Besançon ».
Plusieurs études montrent que les parents perçoivent les filles comme moins douées en mathématiques, moins intéressées par cette discipline, et par conséquent plus contraintes de travailler pour réussir. Peut-être plus important encore : ces perceptions persistent y compris lorsque les filles obtiennent des notes identiques voire supérieures à celles des garçons ! Jussim et Eccles ont quant à eux interrogé une centaine d’enseignants de mathématiques à propos de la compétence et des efforts déployés dans cette discipline par chacun des élèves de leur classe de 6e (11-12 ans).
Inutile de chercher à convaincre les fanatiques, emblèmes de ce que les religions peuvent produire de pire. Non : ceux qu’il faut convaincre, ce sont ceux de nos compatriotes qui n’ont pas encore compris quelle guerre est faite à la République et à la démocratie – une guerre dont les réseaux sociaux sont le pain quotidien. Et pour mieux la combattre il faut la nommer : cette guerre, c’est celle menée par l’islamofascisme. C’est ainsi que Daniel Cohn-Bendit eut l’intelligence et le courage de qualifier les auteurs de l’attentat contre Charlie Hebdo le 7 janvier 2015. Et c’est encore un islamofasciste qui vient de tenter d’égorger Salman Rushdie.
Depuis les indépendances, le passé colonial a été souvent dénoncé par les régimes en place ; mais après trois générations, les peuples libérés sont en droit de leur demander des comptes, ou du moins de ne plus se satisfaire de l’invocation du passé : c’était le sens du remarquable essai de Hélé Béji, Nous, décolonisés (Arléa, 2008).
Rappel des faits. La règle 50.2 de la Charte olympique impose la neutralité lors des compositions sportives afin que celles-ci soient protégées des divisions politiques ou religieuses. Pour la même raison la Fédération française de football interdit « tout signe ou tenue manifestant ostensiblement une appartenance politique, philosophique, religieuse ou syndicale ». Or, en novembre, un collectif de footballeuses auto-proclamées « hijabeuses », constituées il y a deux ans en « syndicat de footballeuses musulmanes », a saisi le Conseil d’État pour faire abroger cet article. La demande a été rejetée mais elle continue d’être examinée sur le fond.
The Who’s Woke 2024 pour démarrer l’année sous le signe de la féroce dérision.
Le néo-féminisme woke n’épargne pas les publications de la Ville de Paris, comme en témoigne le dernier Petit journal du 12° arrondissement. À propos du projet d’aménagement de la place Félix Éboué, destiné à « réaménager la place au profit des piétonnes et piétons », on y lit : « Après plusieurs mois de concertations avec les Parisiennes et les Parisiens, les riveraines et les riverains, les commerçantes et les commerçants, mais également l’ensemble des usagères et des usagers, la place Félix Éboué va radicalement transformer (sic) pour toutes et tous. »
Un journée d’étude sur la question juridique a fort heureusement été interrompue par les usagers de l’Université alors même que des professeurs contestés prenaient la parole pour défendre l’idée transphobe selon laquelle l’identité de genre devrait être inscrite à l’état civil. Des étudiantes, visiblement conscientisées aux problèmatiques légitimes de la société inclusive, ont alors simplement armées de leur courage et de quelques projectiles innocents – la preuve: on les vend au rayon bricolage ou peinture des magasins – organisé un happening afin de nuire au déroulement attendu des discours de haine professés par ces intellectuels ringards que la honte n’arrête plus. L’un des intervenants, réalisant à point son erreur, a fait amende honorable et son pardon lui fut signifié par la marque rédemptrice de l’eau colorée du baptême. En revanche, une activiste réactionnaire que son tailleur dénonçait, agressive et qui se trouvait là en renfort des activistes transphobes, a rondement été neutralisée par la jeunesse. Personne ne fut blessé ce jour-là, ce qui est heureux car il s’en est fallu de peu sans doute que la jeunesse ne périsse sous les coups redoublés du boutoir hétéro-patriarcal.
Il est devenu nécessaire, en ce xxie siècle exigeant, de repenser l’oncologie, autour de trois grandes directions, comme cela sera recommandé sous peu dans le British Woke Medical Journal : le déclusivisme, la
Claude Tremblay publie en juin la première version dégenrée de la Recherche au Québec, dans sa maison d’édition post-binaire, Intersexions. Une entreprise qui s’annonce hautement controversée.
Dorénavant, que plus un énoncé françois ne soit plus paritaire: il faut dans une phrase autant de mots masculins que de monts féminins ! Allez hop et que ça saute. On prendra donc soin de ne plus faire de phrases qui soient exclusivement masculines (« Ciao Pantin ») ni exclusivement féminines (« Chattehaute Pantine ») mais on prendra soin d’alterner les deux avec précaution et respect.
Nos étudiants sont-ils prêts à renoncer à de tels séjours pour mettre leurs actes « en cohérence » avec leurs valeurs ? Sont-ils prêts à lancer un appel au boycott d’Erasmus ? Vont-ils prôner des échanges universitaires sobres, sur le mode des circuits cours, du type Grenoble-Chambéry mais pas plus loin ?
Expulser Dieu de la Bible, c’est déjà saugrenu… mais moins que la nonchalance totale de la manière. Notre théologien liquide un dogme fondamental de sa propre religion, sans explication… mais surtout sans le moindre frémissement intérieur.
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