The Who’s Woke – Perles de Printemps
Claudio Rubiliani nous livre sa sélection printanière de personnalités à l’engagement sélectif et au conformisme idéologique.
L’Observatoire d’éthique universitaire, crée en 2019 sous le nom « d’Observatoire du décolonialisme » puis « des idéologies identitaires », est une initiative indépendante dédiée à la défense des valeurs fondamentales de l’université et à la promotion d’un enseignement supérieur respectueux des principes d’éthique, de laïcité et de liberté académique. Nous nous engageons à préserver une université où la recherche de la vérité, le débat intellectuel libre et la transmission des savoirs s’exercent dans un cadre rigoureux et impartial.
Pour atteindre ces objectifs, nous :
Ces trois axes – accompagnement individuel, recherche analytique et sensibilisation publique – structurent notre action et nous permettent de défendre une université au service du savoir et de la société. Voir nos auteurs
Consulter nos notes, nos rapports détaillés sur la question de la pénétration des idéologies identitaires à l’université… Voir
Nous produisons presque quotidiennement des analyses, des articles ou des éditoriaux à partir de données vues depuis notre principal observatoire, l'université elle-même et les établissements qui s'y rattachent.
Sur ce site on trouvera également un "kit rhétorique" pour trouver des réponses à des demandes - en entreprise ou en collectivité - face auxquelles on se sent démunis et seul.
L'Université est née potache, et depuis Rabelais, on a du mal à se refaire. Alors pour aider à mieux comprendre, on dessine, on pastiche...
En quelques années, nous avons produit et continuons de produire, plus de 2000 articles en vue de documenter la pénétration des idéologies identitaires et du wokisme au sein de l’université – en France, et dans le monde – sur tous les sujets et couvrant tous les domaines de ce désastre. Nous remettons chaque année un rapport objectif sur la question et nous publions des analyses documentées. Vous ne pourrez pas dire que vous n’étiez pas au courant…
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Claudio Rubiliani nous livre sa sélection printanière de personnalités à l’engagement sélectif et au conformisme idéologique.
Les journalistes auteurs de « La Meute » dénoncent une dérive idéologique de LFI vers l’indigénisme et l’antisémitisme, un culte du chef et une hypocrisie concernant les questions de violences sexuelles. Une stratégie de conquête politique fondée sur la division sociale et la radicalité militante. Un compte rendu d’Ivan Burel.
Marie-Jo Bonnet dénonce la censure dont elle est victime au sein des milieux militants féministes et LGBT pour avoir exprimé des positions critiques sur le mariage, la PMA médicalisée pour lesbiennes, et la transition de genre, qu’elle considère comme des réponses normatives à des malaises sociaux et identitaires. Les nouvelles normes progressistes deviennent des instruments d’exclusion, de censure et de falsification de l’histoire, sous couvert de défendre les minorités.
Dans Penser ce qui nous arrive avec Hannah Arendt, Bérénice Levet nous montre toute la pertinence de la philosophe dans la compréhension des crises contemporaines. Arendt oppose à l’utopie moderne la nécessité de reconnaître nos limites humaines et de préserver un monde commun enraciné dans la tradition et la conscience morale. Une recension d’Emmanuelle Hénin.
Jacques Robert dénonce l’instrumentalisation idéologique de la science et s’insurge contre ceux qui veulent évacuer du CNRS les sciences humaines et sociales (SHS). Tout autant que les sciences dites « dures », les SHS apportent une contribution majeure à la connaissance du monde. .
L’ouvrage collectif Critique de la raison universitaire, dirigé par Arnaud Bernadet, explore comment certaines idéologies identitaires, managériales et militantes sapent les fondements de la science, de la raison et de la liberté académique au sein des universités occidentales, notamment au Canada et en France. À travers les contributions de divers universitaires, le livre dénonce l’érosion du pluralisme intellectuel causée par la censure, les politiques EDI, l’autochtonisation du savoir et la transformation du droit en instrument militant, appelant à une défense rigoureuse de l’autonomie universitaire comme exigence de vérité.
Les bonnes feuilles du dernier opus de Samuel Fitoussi qui met en lumière les dérives idéologiques et le soutien apporté par de nombreux intellectuels du XXe siècle à des régimes totalitaires, montrant que culture et intelligence ne prémunissent pas contre l’erreur, mais peuvent parfois y conduire avec zèle.
L’exemple d’une actrice trans dont la carrière s’effondre après la découverte de propos jugés racistes et islamophobes révèle les contradictions du wokisme. Claudio Rubiliani met à jour l’intersectionnalité, idéologie incohérente et autodestructrice, tournée en ridicule par ses propres excès.
L’affiche du Congrès de l’AFS révèle un utopisme militant d’une partie de la sociologie contemporaine. Vincent Tournier dénonce l’usage des sciences sociales comme outil idéologique au service du wokisme.
Un profond renversement des valeurs et des repères frappe aujourd’hui les sphères intellectuelle, éducative et sociale. Les idéologies identitaires dévoient les combats historiques pour l’égalité, les vidant de leur sens. Il est urgent de rétablir une pensée critique, armée de savoir et de rigueur, pour faire front contre cette mascarade qui brouille la transmission du réel.
L’ouvrage « Face à l’obscurantisme woke », commandé par les Presses Universitaires de France à trois chercheurs et 22 co-auteurs, a été subitement déprogrammé un mois avant sa publication, officiellement en raison d’un contexte jugé défavorable. Cette décision, perçue comme une forme de censure idéologique, a suscité de nombreuses réactions, des soutiens médiatiques aux auteurs, et l’intérêt d’autres éditeurs prêts à publier le livre.
Stand up for Science : Une mobilisation généreuse en faveur des chercheurs américains menacés… que nous n’avions pas vue à l’œuvre en faveur de ceux qui ont été ostracisés dans le passé pour délit d’opinion. Les préjugés idéologiques et le politiquement correct nuisent à la science ! Attention aux actions militantes qui portent atteinte à la rigueur scientifique…
À l’heure où l’écrivain de langue française Boualem Sansal se meurt dans les geôles d’Alger, le journaliste politique vedette de RTL déclare à l’antenne ce 25 février 2025 que la France « a fait des centaines d’Oradour-sur-Glane » en Algérie, et « que les nazis se sont comportés comme nous, nous l’avons fait en Algérie ».
Jacques Robert met en garde contre les excès du wokisme et du trumpisme, deux extrêmes menaçant la science, et appelle à la vigilance contre toutes les formes d’idéologisation du savoir.
Nous sommes les avocats des morts, non pas parce que nous entendons leurs voix, mais parce que nous refusons d’assujettir le savoir à des illusions séduisantes. La science ne peut être un terrain d’expériences « exceptionnelles » ; elle est, avant tout, un espace d’exigence intellectuelle.
Dans le monde d’avant, la littérature était le moyen de connaître la vie des autres, d’imaginer la sienne, et d’éprouver ses vertus, son corps, ses fantasmes, ses espérances et ses ambitions. Les professeurs de morale et de vertu n’étaient ni des fonctionnaires ni des militants rétribués, mais des penseurs et des artistes aux prises avec la question humaine. Cette bibliothèque est toujours disponible. Monsieur le ministre délégué, tenez bon !
Fabrice Balanche, chercheur à l’université Lyon-2, a été empêché de donner cours par des militants masqués se revendiquant propalestiniens. L’Observatoire d’éthique universitaire réagit à ce climat d’intimidation dans une tribune exigeant des sanctions et un engagement fort des autorités universitaires et gouvernementales.
Un profond renversement des valeurs et des repères frappe aujourd’hui les sphères intellectuelle, éducative et sociale. Les idéologies identitaires dévoient les combats historiques pour l’égalité, les vidant de leur sens. Il est urgent de rétablir une pensée critique, armée de savoir et de rigueur, pour faire front contre cette mascarade qui brouille la transmission du réel.
Bergeaud-Blackler répond aux arguments avancés par Karim Souanef et Julien Talpin (Mediapart) affirmant que l’annulation de sa conférence à l’Université de Lille reposerait sur des raisons scientifiques et déontologiques, et non politiques. Ils présentent l’affaire sous un angle politique tout en prétendant l’inverse, omettant certains éléments et biaisant leur analyse.
C’est d’Écosse que nous parvient la nouvelle qu’un enfant est atteint de « dysphorie d’espèce » et s’identifie à un loup. L’oncologue Jacques Robert développe sur ce thème.
Il y aura eu la première médaillée de l’équipe des réfugiés, la boxeuse camerounaise Cindy Ngamba ; le selfie des pongistes sud- et nord-coréens, unis sur le podium ; et l’Australienne Rachel Gunn, qui s’est distinguée par une prestation de break dance qui ne lui a valu aucun point mais plutôt des flots de quolibets. Il est très probable qu’elle ait consciemment provoqué ce fiasco pour se mettre en avant dans les nombreux médias qui l’ont relaté.
David Lappartient et Amélie Oudéa-Castéra ont soutenu la décision d’interdire à l’athlète Sounkamba Sylla de porter un voile aux Jeux Olympiques, conformément aux principes de laïcité et de neutralité, malgré les critiques d’Amnesty International, en insistant sur l’universalité des droits humains et l’égalité républicaine.
On parle beaucoup en ce moment de « liberté académique », mais c’est surtout pour en dire des bêtises, qu’un peu de bon sens et de connaissance de la question devrait suffire à évacuer.
La période du Mars voit proliférer les annonces de poste pour les recrutements dans les établissements du supérieur dont les INSPE font partie désormais en toute autonomie. Le mot « autonomie » est sans doute inapproprié lorsque l’on parle de la fonction publique tant certains se croient affranchis par la magie performative du mot de tout compte à rendre au public qui les finance. Par notre mobilisation sans précédent, nous sommes parvenus à faire reculer l’administration !
“Nous sommes en train de perdre la science,” avertit Weiss, qui voit dans cette politisation une menace existentielle. “Quand les restes sont enterrés ou détruits, quand les musées censurent leurs expositions, il ne reste plus rien à étudier. Contrairement à d’autres disciplines, une fois les données anthropologiques perdues, elles ne peuvent pas être recréées.”
Elizabeth Weiss reste néanmoins attachée à l’idée d’une anthropologie ancrée dans la science et l’exploration du passé. Mais son témoignage, opposant la rigueur scientifique aux prétentions identitaires, laisse entrevoir un avenir incertain pour une discipline en quête de sens.
Nonobstant ces quelques réserves, il n’en demeure pas moins que Transmania est un livre percutant et utile. Achetez-le, lisez-le… et, si possible, faites-le dédicacer (le port du casque est recommandé).
Madame Réjane Sénac est docteure de l’IEP de Paris en science politique spécialisée en « pensée politique ». Diplômée d’un master 2 de droit et d’un master
Céline Maçon et Caroline Eliacheff, discutent du sujet de la transidentification chez les adolescents. Ils remettent en question le diagnostic de dysphorie de genre et proposent le terme d’angoisse de sexuation pubertaire.
La défense des personnes transgenres passionne les foules, touche les individus et intéresse les entreprises. Quelle « minorité opprimée » peut se vanter d’une telle emprise sur la société ?
Le 15 décembre 2022, le Café Laïque de Bruxelles était attaqué par une meute de militants trans. Intrusion en force dans le local, bris de mobilier, jets d’excréments… un autre de ces cancels violents dont le wokisme nous en a donné l’habitude.
Christian Godin, philosophe, réagit au dernier article du Monde dont la teneur est délibérément en faveur d’un transactivisme militant.
Le genre, construction culturelle du sexe biologique, est devenu central dans les études sociales et politiques, influençant significativement l’idéologie du capitalisme tardif.
Le 7 octobre a révélé l’échec d’une gauche occidentale, divisée par son soutien au Hamas et déconnectée de ses valeurs historiques comme l’antiracisme, la laïcité et la lutte pour l’égalité. Cette fracture est symptomatique du wokisme et de l’islamo-gauchisme qui gangrènent le débat politique.
Cartographie de la galaxie des Frères Musulmans en France [UOIF, associations satellites, alliés et soutiens] (Version 2.12) initialement publiée sur le site Lieux Communs en février 2020 et fréquemment mise à jour depuis.
Les hijabeuses voulaient la lune : pouvoir jouer au foot le hijab juché sur la tête. Epaulées par plusieurs associations déboussolées, les hijabeuses n’ont pas obtenu gain de cause. Seule aux côtés de la Fédération Française de Football (FFF), la Ligue du Droit International des Femmes (LDIF) s’est dressée contre l’intégrisme religieux et a gagné la partie. Nous avons interviewé sa présidente Annie Sugier.
L’ambition de ce texte est d’avancer quelques éléments d’analyse à des fins de compréhension du phénomène islamiste. Cela exige de se défaire d’un certain nombre d’idées reçues…
Une sélection d’interventions et d’émissions consacrées à l’ouvrage « Face à l’obscurantisme woke ».
Dans Penser ce qui nous arrive avec Hannah Arendt, Bérénice Levet nous montre toute la pertinence de la philosophe dans la compréhension des crises contemporaines. Arendt oppose à l’utopie moderne la nécessité de reconnaître nos limites humaines et de préserver un monde commun enraciné dans la tradition et la conscience morale. Une recension d’Emmanuelle Hénin.
L’affiche du Congrès de l’AFS révèle un utopisme militant d’une partie de la sociologie contemporaine. Vincent Tournier dénonce l’usage des sciences sociales comme outil idéologique au service du wokisme.
Dans « Le Sermon d’Hippocrate », Caroline Éliacheff et Céline Masson dénoncent les dérives idéologiques de la médecine transaffirmative, en particulier chez les mineurs, des pratiques contraires à l’éthique médicale traditionnelle et sources de graves atteintes physiques et psychiques. En s’appuyant sur des cas concrets, des analyses historiques et le rapport Cass, elles appellent à une remédicalisation rigoureuse fondée sur la psychologie, la prudence clinique et la protection de l’enfant. Un compte rendu d’Emmanuelle Hénin.
La Bibliothèque nationale de France organise une grande exposition sur l’Apocalypse, explorant son sens initial de « révélation » plutôt que de fin du monde. L’évènement, structuré en trois parties, propose une immersion dans le texte de Jean, une analyse de l’Apocalypse dans l’art et une réflexion contemporaine sur l’après-catastrophe, suscitant des controverses sur une idéologie sous-jacente.
Un texte satirique de Claudio Rubiliani qui classe de façon provocante dix personnalités politiques et institutions, dénonçant leur hypocrisie et leur engagement décalé au nom du progressisme.
Une bande dessinée soutenue par le ministère de l’Enseignement supérieur explique comment identifier une étude scientifique fiable. Cependant, la représentation du charlatan sous les traits d’un vieux savant blanc suscite le débat sur les stéréotypes et le message véhiculé. Enfin, la BD soulève une question plus large : pourquoi l’éducation scientifique semble-t-elle délaissée au profit d’autres priorités éducatives ?
Jacques Robert met en garde contre les excès du wokisme et du trumpisme, deux extrêmes menaçant la science, et appelle à la vigilance contre toutes les formes d’idéologisation du savoir.
Le concept de « déconstruction » est né des ouvrages de Derrida et, selon ses aimables suiveurs, « il est devenu, dans l’esprit des réactionnaires de tout poil, le mot-valise désignant tout ce qu’ils haïssent dans la pensée, lorsque celle-ci cherche à émanciper davantage qu’à ordonner ».
Islamophobie a un clair usage politique qui a été consacré par Jean-Luc Mélenchon. Mais au-delà, quel sens véritable a le terme ? Et ce qu’il est censé désigner – une hostilité profonde à l’égard des musulmans qui se serait répandue dans la société française – est-il étayé par des faits ?
L’idéologie woke a depuis longtemps pénétré le quotidien du monde de l’entreprise et de l’administration publique. Il y a des phénomènes majeurs et incontournables auxquels tout le monde pense. Et il y a ces petites choses de tous les jours, contre lesquelles on ne sait pas quoi faire, et qui grignotent chaque jour notre espace de liberté. Quels exemples ? D’où est-ce que ça vient ? Que peut-on faire ?
Le budget du Conseil européen de la recherche (ERC) alloué au programme de sept ans d’Horizon Europe s’élève à 16 milliards d’euros dédiés aux pays membres de l’UE ainsi qu’aux nations associées, dans le cadre du programme-cadre européen pour la recherche et l’innovation (PCRI). La France est-elle autonome dans sa politique d’enseignement supérieur ? Non, car elle se conforme aux politiques européennes inspirées par les Nations unies visant à atteindre des objectifs fixés de l’extérieur. Au cours des 15 dernières années, la recherche et l’enseignement supérieur en France ont été transformés en silence, en partie influencés par les modèles libéraux anglo-saxons établis par Bruxelles.
l n’est plus nécessaire de rappeler la perméabilité de pans entiers de la recherche académique aux théories elles-mêmes issues de la French Theory et du déconstructivisme à tout crin. D’abord cantonnée aux sciences humaines et sociales, cette lame de fond touche désormais les sciences dures puisque des articles perchés de type « Queer identity and theory intersections in mathematics education: a theoretical literature review » ou « A quantum physics explanation for polyamory, BDSM, and queer people » sont désormais monnaie courante (1, 2).
Aux USA, cette tendance et notamment l’irruption de la Critical Race Theory (ou Théorie Critique de la Race) touche désormais les sciences médicales et c’est avec un mélange d’amusement et de consternation que l’on voit fleurir, dans les grands congrès internationaux usuellement tenus en Amérique du Nord, des travaux lunaires visant désormais à dénoncer le racisme systémique endémique et patriarcal WASP dans la prise en charge du patient atteint de cancer.
La prétention à contribuer au progrès social de l’écriture inclusive (EI) se fonde sur des prémisses fausses, liées à une interprétation partiale déformant la réalité des fonctionnements grammaticaux attestés de la langue française. L’écriture inclusive est une réforme militante de la langue construite sur la dénonciation d’injustices imaginaires dérivant d’interprétations symboliques qui ne correspondent à aucune réalité proprement linguistique. Elle entend y inscrire diverses identités de sexe ou « visibiliser » les femmes, marketing politique qui n’a rien de commun avec la description des classes nominale du français et constitue une revendication politique fondée sur des croyances et non sur des connaissances empiriquement vérifiées. Ses partisans, même parmi les linguistes, prescrivent des ouvrages et références qui vont à rebours des méthodes, données et savoirs admis en sciences du langage.
Citons Susan Neiman : « En revanche la pensée woke qui prône une vision tribale de la culture n’est pas très loin de celle des nazis qui tenaient à ce que la musique allemande soit jouée exclusivement par des Aryens, ni de celle de Samuel Huntington défendant ce qu’il appelle la « culture occidentale » contre les menaces de destruction issues d’autres civilisations. Censurer l’appropriation culturelle, c’est saboter la force de la culture. »
Découvrez les bonnes feuilles du livre de Stéphane Louryan, Autopsie de l’université.
Extrait exclusif du livre de Sabine Prokhoris, « Qui a peur de Roman Polanski ? » S’il est une chose dont Roman Polanski a eu à faire, sous plusieurs formes, l’expérience funeste, c’est le pouvoir destructeur de la falsification érigée en norme.
Le wokisme est né sur les campus américains. Il a gagné l’Angleterre et le continent européen. Son berceau deviendra-t-il son tombeau ? Voici quelques extraits exclusifs du livre de Sylvie Perez, « En Finir avec le wokisme ».
Le puissant ouvrage de Samuel Fitoussi mérite qu’on s’y arrrête. Voilà quelques extraits exclusivement prêtés à l’Observatoire qui vous donneront à coup sûr l’envie d’en lire plus !
Voilà comment le multiculturalisme a glissé vers le communautarisme identitariste, et comment celui-ci vire sous nos yeux au totalitarisme. Des censures sauvages sont imposées par de micro-collectifs qui ne s’autorisent que d’eux-mêmes, au mépris du droit, tandis que la politisation tous azimuts transforme les militants en législateurs et en juges, au nom du « tout est politique » cher aux milices fascistes, aux apparatchiks staliniens et à leurs héritiers gauchistes. Et, comme dans toute atmosphère totalitaire, la peur règne en maître, sur les campus américains comme dans les bureaux des présidents d’universités françaises : peur de perdre son poste, peur de perdre la face, peur surtout de se retrouver dans le mauvais camp ou – pire – de se retrouver seul.
Jean-Claude Michéa me fait remarquer que le meurtre de la fonctionnaire de police de Rambouillet n’a pas été présenté par les médias comme un féminicide. C’est vrai. Ni dans ce cas, ni dans aucun autre semblable, jamais un meurtre de policière n’a été qualifié de féminicide. Que faut-il en conclure? Grâce à Monique Wittig, nous avons appris, il y a longtemps, que «les lesbiennes ne sont pas des femmes »!. Grâce à nos journalistes, nous savons désormais que les policières, même hétéro-sexuelles, ne le sont pas non plus.
[par Renée Fregosi, extrait avec son autorisation de Penser Salman Rushdie, Coordonné par Daniel Salvatore Schiffer, Éditions de l’Aube Sortie le 10 novembre 2022] L’ennemi
Pas de naissance sans consentement!
Tout individu a le droit de disposer de son corps et de sa vie. Pourtant, nous imposons à nos enfants la violence de leur naissance.
Le consentement à la naissance vise à respecter le principe fondamental d’autodétermination en demandant l’accord de l’enfant avant sa venue au monde.
Il ne s’agit pas de retarder la naissance indéfiniment, mais d’ouvrir un dialogue entre les parents et leur futur enfant, en tenant compte de ses besoins et aspirations.
Le consentement à la naissance : une utopie ? Non, une nécessité !
Pour un foot inclusif
L’inclusivité dans les équipes de football est essentielle pour promouvoir la diversité, combattre les discriminations et stimuler la performance.
En mixant genres, origines et orientations, les équipes peuvent montrer l’exemple, définitivement tourner le dos au masculinisme, favoriser l’innovation et créer un environnement bienveillant pour tous…sans compter des matchs d’autant plus passionnants à suivre.
Exigeons que, dans des actes concrets, les équipes célèbrent un football plus inclusif, égalitaire, capacitant et inspirant pour tous !
L’humour est offensant, interdisons-le!
L’humour est incompatible avec la Vérité, c’est une forme de blasphème (Jorge de Burgos)
L’humour est profondément réactionnaire.
Le bouffon cynique passe outre les offenses qu’il provoque, il blesse et perpétue une violence systémique.
Il est temps de prendre en compte que l’humour est l’expression d’une agressivité inconsciente à bannir.
De la même manière que l’on a arrêté de cracher en rue, il est grand temps d’arrêter de faire de l’humour. Interdisons-le
Notre droit à la restauration capillaire.
L’alopécie androgénétique, le fait d’être chauve, est un handicap profond tant en terme d’estime de soi que de discrimination, voire de stigmatisation. Donc une atteinte aux droits humains.
Revendiquons notre droit au soutien psychosocial, aux traitements de restauration capillaire, par implants notamment.
Tout en militant avec une intransigeance absolue pour une abolition totale ici, nous devons nous garder de toute tentative de jugement hâtif sur des sociétés non occidentales qui, elles, ont peut-être trouvé dans certaines formes de servitude un équilibre civilisationnel qu’il ne nous appartient pas de déconstruire. L’essentiel est d’abolir, encore et encore, en France uniquement.
Un texte satirique de Claudio Rubiliani qui classe de façon provocante dix personnalités politiques et institutions, dénonçant leur hypocrisie et leur engagement décalé au nom du progressisme.
Reliquat d’un univers monarchique à relents sexistes et patriarcaux nauséabonds, un échiquier condense toutes les inégalités et toutes les discriminations.
À Columbia, la présidente, Nemat Shafik, dite Minouche, avait dû faire appel à la police sur le campus pour déloger les étudiants pro-palestiniens de leurs campements et des locaux universitaires où ils n’avaient rien à faire, Hamilton Hall en particulier. Une centaine d’entre eux avaient été arrêtés : cela les a quelque peu décontenancés, ayant été élevés dans l’absence de contradiction et ne pouvant admettre qu’on leur reproche de harceler ceux qu’ils croient responsables ou approbateurs de la guerre au Moyen-Orient et qui n’ont que le « tort » d’être Juifs.
Best-of juin 2024 de Woke-Machine, havre de toutes les déconstructions…
Best-of mai 2024 de Woke-Machine, havre de toutes les déconstructions…
Je voudrais lors de ce colloque évoquer une transition personnelle pleinement réussie. Depuis 50 ans environ, je savais que je n’étais pas dans le bon corps…
Une enseignante en sciences de la gestion de l’université de Montpellier 3, Bénédicte Gendron, met en place un master 2 dont le programme est digne des colonnes du Gorafi et a rapidement fait le tour des humoristes du net.
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