Le rôle de la violence dans l’histoire du wokisme
Le cadre laïque de la sécularisation des espaces partagés est menacé. On promeut la « race » comme une « grille de lecture du monde », selon les mots mêmes du Président du CNRS. En réalité, la violence est bien du côté de la pensée décoloniale qui entend imposer le silence à ceux qui n’entrent pas dans le cadre qu’ils prétendent imposer au nom d’une idéologie qu’ils peinent à nommer. La société ouverte, donnée comme un improbable horizon, n’est qu’un prétexte à légitimer aux yeux de ses zélés promoteurs l’exercice de la force pour l’avénement d’un « avenir ouvert ». Qui ne voit pas les ferments de la tyrannie dans cette mascarade ?